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Commentaires de livres faits par Larepubliquedeslivres

Extraits de livres par Larepubliquedeslivres

Commentaires de livres appréciés par Larepubliquedeslivres

Extraits de livres appréciés par Larepubliquedeslivres

J’avais entendu parler de ce livre dans l’émission Le Magazine de la santé. Il avait attisé ma curiosité. Il a été proposé lors de la dernière Masse Critique. Je remercie Babélio et les éditions In Press.

Ce livre parle d’un sujet commun à toutes les femmes mais dont on ne parle peu : les règles. Ce livre aide à comprendre pourquoi on en est arrivé là.

L’autrice remonte jusqu’à l’antiquité et aux textes religieux pour nous expliquer les origines de ce tabou. Avec elle, on traverse les siècles pour voir la perception qu’avait les hommes et les femmes autour de ce phénomène naturel.

L’autrice nous parle des règles à tous les âges de la vie et dans pas mal de sociétés, qui bien que différente, partagent le même tabou autour des règles.

J’ai aussi aimé, que malgré le tabou, la perception des règles a changé ces dernières années. Les règles sont devenues l’un des signes de la fécondité et de la santé des femmes.

L’autrice abordent des sujets plus « pratique » tel que la contraception, la ménopause, la grossesse.

Le seul petit bémol de ce livre est que certains passages qui expliquent, les fondements de ce tabou au travers des textes religieux et philosophiques étaient trop abstrait pour moi.

En bref, un livre court mais qui devrait être lu par tout le monde pour que les règles soient moins tabou dans notre société.
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Ce livre a beaucoup fait parler de lui au moment de sa sortie. Il avait attisé ma curiosité mais pas assez pour l’acheter. J’ai aperçu ce livre sur les étagères de la bibliothèque où je suis bénévole.

Dans ce livre, j’ai surtout apprécié l’écriture de l’autrice qui n’hésite pas à tourner en dérision ces collègues et supérieurs hiérarchiques. Elle nous plonge au cœur d’un service d’une mairie où personne ne travaille à part une seule qui fait tenir tout le service.

Tout au long du livre, je me suis demandée si l’autrice ne forçait pas le trait pour aboutir à des situations absurdes (ex. : une semaine pour changer la police d’un document). Mais au bout du compte, c’est bien cela que l’autrice dénonce : le laisser-aller du service public, l’incompétence des fonctionnaires et l’inefficacité des services.

Même si les situations racontées par l’autrice sont drôles voire consternante pour le service public, j’aurai aimé que ce livre soit plus bref car au bout d’un moment les mêmes problèmes reviennent et c’est lassant.

Je comprends mieux pourquoi l’autrice a été mise à pied après qu’on est découvert sa véritable identité. Elle révèle au grand public les dysfonctionnements du service public.

Même si l’autrice a écrit deux livres pour raconter la suite de ces aventures, je ne suis pas sûre de les lire car je pense que ce premier tome se suffit à lui-même pour avoir un aperçu de l’envers du service public.

En bref, un livre intéressant sur les dérives du service public mais c’est aussi un livre répétitif qui aurait mérité d’être écourter.
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date : 27-02-2018
J’ai retrouvé Sonia et Lou pour leur première année en coloc à Paris. Je m’attendais à une année calme et créative. C’était bien trop simple…

Lou et Sonia ont une vision idyllique de leur future colocation, mais elles n’ont jamais vécu ensemble et par conséquent ne connaisse pas les habitudes de chacune. D’autant plus qu’elles vont adopter un comportement opposé à l’éducation qu’elles ont reçu.

Même si j’ai été surprise du comportement des deux jeunes filles au départ, je dois dire que j’ai compris en partie cette réaction. Lou a été trop cadré par sa mère et rêve de liberté alors que c’est l’inverse pour Sonia. C’est de ces différences que vont naitre pas mal de tension.

Malgré ces tensions qui m’ont parfois faite trembler, cette année est la première de la vie d’adulte de Sonia et Lou. C’est l’année de la maturité mais également de l’évolution de leurs projets professionnels et artistiques.

J’ai aussi aimé voir les personnages évoluer face aux difficultés qu’elles rencontrent. J’ai particulièrement apprécié la prise de conscience de Sonia et l’ouverture de Lou.

Cette année a été marqué par des victoires, des doutes, des désillusions mais ce que je retiens de cette année-là c’est l’amitié qui grandit entre ces deux jeunes femmes.

J’aurai aimé pouvoir suivre ces deux personnages encore et encore. L’épilogue et les entêtes des chapitres tout au long de ces trois romans m’ont donné un aperçu du futur de Lou et Sonia.

En bref, même si mon cœur a moins battu sur ce dernier tome, j’ai eu un coup de cœur pour l’ensemble de la saga. C’est une très belle saga que je conseille à tous.
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A l’occasion du week-end à 1000, j’ai voulu découvrir la plume de cette autrice dont j’entends beaucoup de bien. Ce livre regroupe les deux premiers tomes de cette saga : Nos âmes jumelles et Nos âmes rebelles. Je ne voulais lire que Nos âmes jumelles au départ mais j’ai eu un tel coup de cœur que j’ai voulu lire la suite.

J’ai été plongée dans le monde de ces deux adolescentes qu’au premier regard tout oppose mais qui se ressemblent bien plus qu’elles ne laissent paraitre. Sonia est en première L en Normandie, c’est une jolie blonde qui attire les regards. Son rêve : être écrivain. Lou est en première S à Angoulême, elle est brune et invisible au regard des autres. Elle rêve d’entrer à l’école des Gobelins pour être dessinatrice.

L’amitié qui nait entre elle est très belle. J’ai aimé voir leur rencontre sur ce forum, voir leur amitié naitre au fil des échanges. J’ai surtout aimé leur complémentarité à la fois artistique mais également sur le plan humain.

Les histoires qui sont racontés sous les deux points de vue sont plutôt simple mais c’est ce qui fait la beauté de cette histoire. Les premiers amours, l’amitié, les fêtes, le lycée, le baccalauréat, l’orientation sont les sujets principaux de cette histoire. L’autrice m’a donné l’impression d’avoir 16 ans. C’est sans doute parce qu’elle nous raconte en parti son histoire.

Sonia est un personnage assez superficiel en apparence : la blonde qui fait attention à son look, enchaîne les mecs et qui adore les soirées. Pourtant j’ai découvert une excellente élève avec un cœur en or enfermée dans un rôle qu’elle a de plus en plus de mal à supporter. Lou est son opposé, sans amis au lycée et première de la classe, elle parait plutôt intello. Chacune a ses travers, j’ai souvent eu envie de les secouer mais pourtant je les aime beaucoup parce qu’elles sont authentiques.

Cette intégrale m’a permis de suivre Sonia et Lou en première puis en terminale. Les points de vue alternée mois après mois en sélection l’essentiel de leur vie est une excellente idée. Au fil des années scolaires, j’ai vu ces deux jeunes filles évoluer mentalement et s’accrocher pour décrocher le Graal : le baccalauréat.

En plus de leur amitié, j’ai adoré découvrir la naissance et l’évolution de leurs projets artistiques communs. C’est eux qui révèlent toute l’alchimie qu’il y a entre Lou et Sonia. Et je croisais les doigts à chaque étape pour que leur talent soit révéler au grand public.

En bref, c’est un coup de cœur pour ce roman, je pense encore à Lou et Sonia. Deux personnes unies par une amitié intense, une alchimie artistique pour des projets audacieux mais également l’évolution de ces deux personnages, voilà tout ce qui m’a séduit dans ces deux tomes. J’ai déjà lu le troisième tome, je vous en reparle bientôt.
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J’avais beaucoup aimé les deux précédents tomes. Je me suis lancée dans ce dernier tome avec joie et appréhension.

Charlotte, qui veut protéger Grave, prend la fuite de la Nouvelle Orléans. D’autant plus que la résistance comporte un traitre qu’elle veut découvrir.

J’aime toujours autant cet univers steampunk mélangeant époque victorienne et machines futuristes. L’autrice me fait rêver notamment avec la cité flottante. La description qui en est faite me fait dire qu’une telle structure ne pourra pas être créée avant longtemps voire jamais.

L’autrice nous plonge dans l’action dès le départ avec la fuite de Charlotte. Sa traque du traitre et son désir de voir s’écrouler Britania permettent à ce roman de ne pas perdre de rythme. J’ai eu peur pour elle mais en même temps j’avais tellement envie qu’elle réussisse.

L’autrice m’a fait pénétrer dans la partie la plus sombre de l’Empire. La pire invention de l’Empire est sans nul doute le Creuset. On ne peut imaginer pire machine de torture pour faire souffrir les prisonniers et entrainer une agonie très lente.

Charlotte a toujours ce lien particulier avec Grave, qui est de l’amour mais pas comme envers son amoureux mais envers un frère. C’est cette relation qui permet à toute l’histoire d’avoir lieu depuis le premier tome. Charlotte est aussi une jeune fille qui n’a peur de rien et qui veut atteindre ses idéaux. Les personnages secondaires sont toujours aussi présent et bien développer.

Le seul petit bémol pour ce roman, c’est la fin qui est allé beaucoup trop vite. Je m’attendais à une fin telle que celle-ci mais j’aurais aimé que l’autrice prenne davantage de pages pour nous la raconter. J’aurai également aimé un épilogue un peu plus long, mais là c’est mon attachement à l’univers qui parle.

En bref, c’est un très bon roman qui permet à cette saga de se conclure en beauté même si j’aurais aimé que ce dernier tome n’aille pas aussi vite.
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date : 15-02-2018
Attirée par ce résumé, je l’ai choisi dans ma sélection pour la masse critique Babélio. J’ai été sélectionnée pour ce livre.

J’avais été attiré par le côté épée de Damoclès pesant au-dessus de la tête de Lina. Et aussi à cause de la découverte d’une ville par les autres sens et de l’attente de l’opération qui va lui permettre de retrouver la vue.

Lina est diabétique et subit l’une des complications du diabète, c’est-à-dire la cécité. Surtout que l’histoire se déroule dans les années 80 où la prise en charge des diabétiques était rudimentaire par rapport à maintenant surtout au Chili.

Le fonds est respecté par rapport au résumé. Malheureusement je n’ai pas du tout accroché au style de l’autrice. C’est une écriture trop poétique qui s’est présentée à moi. Je n’ai pas pu ressentir le drame qu’’a tété la perte de vision de Lina. Au contraire j’ai eu l’impression qu’elle s’y faisait et que la fameuse opération était presque secondaire.

Je ne pourrais rien dire de plus sur ce roman. J’ai lu la première moitié du roman et les dix dernières pages pour voir comment se finissait cette histoire.

En bref, un résumé séduisant mais un style d’écriture qui m’a laissé de marbre.
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date : 09-02-2018
J’ai ce livre dans ma Pile à Lire numérique depuis un bon bout de temps. J’ai profité du fait qu’il soit le livre du mois du Club de lecture féministe de Carnet Parisien pour le sortir de ma PàL.

J’ai dû m’accrocher au début du roman. J’ai été immergé dans un univers que je ne connais pas, c’est-à-dire la vie au Moyen Orient. Il y a pas mal de prénoms et diminutif aux sonorités différentes des nôtres. Tout comme j’ai du mal à différencier l’histoire de Rahima et celle de Shekiba.

Je me suis accrochée, et j’ai bien fait. Une fois familiarisé avec l’univers j’ai pu apprécier ma lecture et comprendre le parallèle entre les deux histoires qui se déroulent à cent ans d’écart.

Rahima vit avec ses 4 sœurs dans une société où les femmes n’ont pas leur place. Pour aider cette famille, elle est déguisée en garçon pour devenir un bacha posh. De l’autre côté, Shekiba a la moitié du visage brulé, ce qui fait que personne ne veut d’elle. Elle va suivre un chemin similaire à celui de Rahima.

Si les deux histoires sont séparées de 100 ans, j’ai eu pourtant l’impression qu’elle se déroulait à la même époque. La femme n’est là que pour faire des enfants et s’occuper de la maison, qu’elle est entièrement soumise à son mari et doit tout supporter. La polygamie est encore bien présente en 2007. J’avais envie de secouer Rahima pour qu’elle se révolte et lui montrer qu’elle n’est pas qu’un utérus.

Comme dit précédemment, cette histoire c’est celle des femmes en Iran qui n’a pas évolué en 100 ans. Mais l’histoire de Shekiba comme celle de Rahima sont porteuses d’espoir pour ces femmes.

Outre l’inexistence de la condition féminine dans ce pays, ce qui est révoltant, c’est que le gouvernement veut faire croire au monde qu’elle fait des efforts en accordant aux femmes d’entrer au Parlement, mais ce n’est qu’une mascarade. J’ai aussi vu toute la corruption de ce pays.

L’autrice m’a fait douter sur l’avenir de ces deux jeunes femmes. Car dans cet univers machiste, j’ai vu peu de lumière pourtant l’auteur arrive à en apporter.

En bref, malgré un début laborieux, j’ai beaucoup aimé ce roman qui ne montre l’existence difficile des femmes en Iran. Pourtant l’autrice nous amène un vent d’espoir inattendu. Je lirai avec grand plaisir les autres romans de cette autrice qui me font découvrir la vie des femmes dans d’autres pays.
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date : 04-02-2018
Je cherchais un livre qui rentrait dans le menu « Stalactites ensanglantées » du Cold Winter Challenge. Le genre policier/thriller n’est pas celui que j’apprécie le plus. J’ai choisi ce livre jeunesse en me disant que ce serait peut-être mieux qu’un roman adulte.

Edward fuit la réalité à travers ses jeux vidéo et son blog. A la mort de son père adoré, il se retrouve seul face à une mère avec qui il n’a jamais pu tisser de lien. Son comportement maternel soudain lui fait se poser des questions sur sa mère.

L’auteur met en place un univers sombre dans un pensionnat pour riches avec les travers de ce pensionnat commun à tous les établissements scolaires. Mais il nous montre aussi la face sombre d’une mère qui pour les autres est parfaite et qui en réalité l’est bien moins que ça.

L’auteur nous plonge dans la tête d’Edward mais également dans celle de son meilleur ami. L’auteur m’a mis le doute à plusieurs reprises, est-ce lui est fou ou bien sa mère ? Je me suis demandée comment aller finir ce roman dont je ne voyais pas l’issue positive.

L’auteur a une plume qui m’a embarqué dès le départ. J’ai voulu savoir comment allait finir ce roman mais surtout mieux comprendre le comportement de la mère d’Edward.

Edward est un garçon brillant mais renfermé sur lui-même. Il n’hésitera pas à avoir des idées audacieuses pour convaincre le monde de sa vérité. J’ai détesté sa mère tout comme pas mal de monde autour de lui sauf son meilleur ami, la policière et Jean, le meilleur ami de son père.

Je ne m’attendais pas à cette fin. L’auteur m’a bien surprise et rend ce roman encore plus sombre qu’au début. L’épilogue est parfait est permet de laisser les personnages dans leur montagne.

En bref, moi qui n’aime pas les thrillers, je dois dire que celui-ci pourrait bien me faire changer d’avis. C’est un roman à lire pour ceux qui aiment et ceux qui n’aiment pas les thrillers.
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Attirée par cette couverture rouge et le résumé ci-dessus, je n’ai pas hésité à m’acheter ce livre lors du salon de Montreuil en 2016. Il est pourtant resté longtemps dans ma pile à lire, si longtemps que la trilogie complète est maintenant disponible.

Le prologue pose les bases d’un univers sombre. Puis au début de l’histoire j’ai rencontré Kassandre (ou plutôt Ka), ado rebelle issue d’une famille riche et sa meilleure amie Mina, fille de domestique. Par la suite, c’est Georg que j’ai rencontré dans une prison italienne. La Terre est menacée par une épidémie que les scientifiques n’arrivent pas à arrêter.

Le lien entre tous ces éléments ? Le fait que ces adolescents possèdent des pouvoirs puissants. Et autant dire de suite qu’ils sont convoités par pas mal de mafias et groupes religieux.

C’est un univers sombre qui est présent dès le départ et cela ne s’arrête pas puisque l’autrice m’a fait ressentir le monde sombre dans lequel vive ces adolescents, malgré les apparences. J’ai surtout senti la menace qui plane sur eux.

L’autrice ne prend pas de gants avec ses personnages. J’ai eu du mal à faire le lien entre les trois personnages et les événements, c’est le point fort de cette histoire. J’ai pensé à une chose puis l’autrice m’envoie sur une piste complétement différente.

Les rebondissements s’enchainent entre la Suisse et l’Italie. La Camora et les Enfants d’Enoch sont prêt à tout pour mettre la main sur ces adolescents. Pour comprendre sauver le monde mais pas que.

Ka est une jeune fille qui a grandi dans une prison dorée, qui s’habille en garçon et se comporte comme tel. Elle a un fort caractère et est parfois trop intrépide mais a bon fond. Mina est une jeune fille plus discrète mais son lien avec Ka l’entraine souvent dans des situations périlleuses. Georg est un orphelin qui a survécu de petit trafic qui l’ont conduit en prison. C’est un jeune homme endurci par les années passées seul. C’est sans doute le personnage que j’ai le plus de mal à cerner.

L’idée de l’autrice pour justifier de l’existence de ces pouvoirs est tout simplement géniale même si au niveau scientifique cela l’est moins. Mais j’ai aimé voir le message que fait passer l’auteur autour des modifications génétiques.

En bref, un excellent premier tome. Une bonne mise en bouche avec rebondissements et révélations et un univers sombre à explorer dans les deux tomes suivants.
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date : 26-01-2018
J’avais beaucoup de bien sur ce livre qui évoque une femme méconnue de l’histoire de France, seule survivante de la famille royale après la révolution. J’ai attendu sa sortie en poche pour me plonger dans ce livre.

Cette histoire est racontée par la fille ainée de Louis XVI et Marie-Antoinette. J’ai eu l’impression de lire le journal de cette femme qui a entrepris à la fin de sa vie de raconter son histoire. L’autrice s’est basée sur les écrits laissée par Marie-Thérèse pour écrire ce livre.

Comme dit précédemment, ce n’est pas un roman mais une biographie romancée. Pas d’ennuis ici mais pas mal de rebondissements et de surprises.

Avec ce livre, j’ai pu vivre la révolution française du côté de la famille royale, un point de vue que je n’avais encore jamais lu, les récits que j’avais lu jusqu’à présent étant présenté du côté du peuple.

Ce livre m’a fait voir la violence de cette époque, on le sait tous plus ou moins, mais être dans la peau de cette jeune fille fait voir la révolution sous un autre angle. L’inhumanité des geôliers est criante, notamment face au jeune Louis XVII qui ne supportera pas les mauvais traitements qui lui sont infligés.

Le récit de la révolution française prend une part importante de cet ouvrage, mais j’ai aussi apprécié voir comment évolué Marie-Thérèse après sa libération. En effet, c’est une jeune femme brisée qui est libérée. Elle garde à tout jamais le traumatisme de ces trois années de détention à la prison du Temple.

J’ai aimé le personnage de Marie-Thérèse, son courage pour supporter tout ce qu’elle a vécut et se relever, mais également son humanité face aux geôliers inhumains. J’ai aimé également découvrir ce cercle familial bien loin des idées que je me faisais de la famille royale.

En bref, un bon livre autour de la révolution française mais surtout autour d’une femme méconnue de l’histoire qui par ses écrits a contribuer à faire connaitre les horreurs de la prison du Temple.
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C’est avec plaisir que j’avais lu le premier tome de cette saga. Je me suis plongée dans ce deuxième tome sans appréhension.

Nous retrouvons Francesca peu de temps après la fin du premier tome et l’élection de Rodrigo Borgia comme pape. Peu de choses ont changé pour elle, sauf son lieu d’exercice. Elle passe beaucoup de temps dans les cuisines du palais papal pour contrôler qu’aucun aliment n’a été empoisonné.

J’apprécie toujours autant Francesca, elle est vive, intelligente et n’a peur de rien. Vraiment de rien, au vu d’une des décisions qu’elle a prise dans ce roman. J’ai trouvé qu’elle se laissait parfois trop guider par ses émotions et qu’à d’autres, elle en était dépourvue. Mais je peux comprendre son comportement vu son métier et son passé.

J ai aimé découvrir Rome avec son œil. Des palais aux quartiers les plus pauvres, des toits aux tunnels. Ces tunnels couvraient toute la ville à cette époque, une ville sous la ville en quelque sorte, ce qui ne facilite pas la tâche ni des gardes ni de Francesca.

Un autre aspect que j’ai beaucoup aimé, c’est de découvrir l’impact qu’a eu la découverte d’un Nouveau Monde par Christophe Colomb tant au niveau politique que religieux.

L’autrice porte toujours une attention particulière à chaque personnage. J’ai presque envie de dire que j’aurai pu m’attacher à chaque personnage qui gravite autour de Francesca. La présence d’un triangle amoureux ne me dérange toujours pas, parce qu’elle fait avancer l’histoire même si Francesca ne sait plus où donner de la tête.

Le seul petit bémol est que l’action a mis beaucoup de temps à débuter. Mais ces longueurs sont compensées par la découverte de Rome.

En bref, j’ai été séduite par ce deuxième tome malgré quelques longueurs. Rome, une empoisonneuse, des complots, voilà tout ce qu’il faut pour faire un bon roman et c’est un pari réussit. Je souhaite me plonger au plus vite dans le troisième et dernier tome.
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Comme beaucoup de monde, j’ai choisi ce livre comme calendrier de l’avent c’est-à-dire lire un chapitre par jour du 1er au 24 décembre.

Nicolas vit sur une petite ile de Laponie. La veille de Noël, ses parents amènent Aada, sa petite sœur malade, sur le continent. Ils ne reviendront pas, les habitants du village le plus proche de l’île vienne le chercher. Mais dans ce village pauvre, impossible pour les familles de nourrir une bouche de plus jusqu’à l’âge adulte. Ils décident que Nicolas changera de famille à Noël pendant 12 ans.

Cette histoire m’a touchée à cause de Nicolas, qui ne veut plus souffrir et ne veux donc plus s’attacher aux gens. Mais ce petit garçon regorge pourtant d’amour. Et cela se ressent lorsqu’il décide de distribuer des jouets en bois à tous les enfants du village à Noël.

Il m’a été bien difficile de m’arrêter à la fin de chaque chapitre. L’auteur réussit à amener un peu de suspens dans cet univers magique.

Car ce qui prédomine dans la magie. La lumière et la joie que Nicolas apporte dans ce coin reculé de Finlande. A cause de ses cadeaux bien sûr mais aussi à cause de la création du mythe du Père Noël. C’est la plus belle histoire que j’ai pu découvrir autour de Saint Nicolas et du Père Noël.

Si l’ensemble de l’histoire m’a plu, je dois dire que j’ai eu du mal avec le personnage de Nicolas. J’ai eu du mal à comprendre certaines de ces décisions bien qu’avec les explications, j’ai pu savoir pourquoi il avait fait ces choix

Je dirais qu’il y a pas mal de personnages secondaires mais qu’ils sont assez peu approfondis mais ils apportent chacun un petit plus à l’histoire, en particulier Aada.

En bref, un roman que j’ai aimé lire sur 24 jours autour de l’histoire du Père Noël et de la magie de Noël. Mais un personnage principal aux réactions parfois étonnantes.
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date : 07-01-2018
Je me suis jetée dans ce livre sans même lire le résumé, connaissant très bien les écrits de l’autrice qui m’ont souvent fait voyager.

J’ai été plongée dans un univers futuriste où toutes les ressources sont limitées et où un virus indétectable tue les personnes infectées en 2-3 jours.

Dans cette histoire, l’héroïne principale est Alix, la fille du créateur du virus qui a disparu quatre ans plus tôt. Le fil rouge de cette histoire est assez simple en apparence : trouver un moyen d’arrêter le virus.

J’ai été conquise par l’univers créé par l’auteur. Il est riche et original. Si le fil rouge parait simple, l’autrice a su mettre en place une histoire où les révélations successives m’ont fait douter à plusieurs reprises de mes hypothèses.

J’ai aussi beaucoup aimé l’alternance des points de vues qui permet de voir toute la complexité et la noirceur de cet univers.

L’héroïne de ce roman est forte tête, peut-être un peu trop mais c’est grâce à ça que l’histoire avance. J’ai surtout été touchée par l’amour qu’elle porte à son frère qui peut lui faire faire n’importe quoi. J’ai été surprise par la maturité de Scooty, Alors qu’il n’a que 12 ans, j’ai eu l’impression que c’était un adulte qui s’exprimait mais d’autres points m’ont fait voir que s’il a un cerveau d’adulte, il a bien un cœur de petit garçon.

Les personnages secondaires sont importants surtout les couches dehors. Un autre point fort de l’autrice, c’est d’avoir mis quelques notes de romance qui ne prennent pas le pas sur le reste de l’histoire.

J’ai cogité longtemps pour savoir où était l’antidote. Lors de la révélation, j’ai été bien surprise car la solution était sous mes yeux depuis le début de l’histoire.

En bref, un roman rythme et addictif dans un univers qui m’a particulièrement plu.
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Pour mon Cold Winter Challenge, j’ai choisi ce livre parce que c’est une lecture légère qui se passe à Noël.

Kayla n’a qu’une obsession dans sa vie : son travail. Noël est le moment de l’année qu’elle déteste le plus. En acceptant de travailler une semaine à Snow Crystal, elle pense échapper à ce qu’elle déteste. C’était sans compter sur la famille O’Neil pour laquelle Noël est une fête sacrée.

Même si on sait dès le départ que l’histoire va bien finir parce que c’est une romance, j’ai su apprécier ma lecture. La chose la plus intégrante dans cette histoire, c’est bien sûr pourquoi Kayla déteste autant Noël. Quand j’ai compris, je n’ai pu que comprendre son comportement et être émue par son histoire.

La romance est assez rapide puisqu’elle se déroule sur une semaine, le temps que Kayla passe à Snow Crystal. Pourtant je n’ai pas eu cette impression de rapidité. L’autrice prend son temps pour dérouler la romance tout au long de son roman.

Kayla apparait comme une personne assez froide au départ mais au fil de l’histoire, elle montre son cœur bien fragile qu’elle a peur de briser. Jackson va droit au but, il sait qu’il aime Kayla et fera tout pour la convaincre et l’empêcher de fuir.

La famille O’Neil et leurs amis donnent à cette histoire un côté magique digne de Noël. J’ai beaucoup aimé la mère de Jackson pour son amour débordant, le grand-père pour son caractère bien trempé mais également Tyler et sa fille Jess dont la vie permettent à cette histoire de ne pas être trop centrée sur la romance. L’ensemble des personnages permettent à cette histoire d’être riche en rebondissements.

En bref, une jolie romance de Noël assez rythmée et riche en émotions. Je prendrais plaisir à lire le prochain tome centré sur Sean, le frère jumeau de Jackson, et Elise, la chef du restaurant de Snow Crystal.
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date : 02-01-2018
Un résumé intriguant et une maison d’édition que j’aime beaucoup. Quoi de mieux pour commencer cette nouvelle lecture.
J’avais été attirée par le côté fin de seconde guerre mondiale et aventures d’enfants dans l’Amérique profonde. On était à des lieux de ça.
Au cœur de cette histoire, la disparition d’un enfant que l’on retrouve dévoré. Ces jeunes qui n’ont rien à faire décident de se substituer à la police pour trouver le coupable.
Ce qui m’a le plus marquée c’est cet univers mystique autour de cette disparition, l’auteur nous force à accuser tout le monde tout en mettant en avant une créature effrayante.
Je dois dire que, malgré les efforts de l’auteur pour mettre du rythme et du mystère, je me suis rapidement ennuyé. Je me suis très vitre retrouvée face à des ados qui cherchent un passe-temps. Leur recherche leur permet tout, les adultes sont relégués à l’arrière-plan.
Cette créature mystérieuse était intrigante au début mais je me suis rapidement lassée même si on est parfois dans sa tête.
J’ai par contre beaucoup aimé les rares descriptions de cette Amérique profonde, ce village perdu au milieu du Colorado.
Je ne peux pas dire grand-chose sur les personnages à part que Suzy, le seul héros féminin, est un casse-cou qui n’a peur de rien. C’est un personnage qui aurait mériter d’être plus développé. Les autres garçons sont peu décrits, je ne me rappelle plus de leur prénoms et comme dit précédemment, les adultes sont quasi-inexistants.
En bref, un roman qui aurait pu être intéressant mais qui manque de cohérence et d’intérêts. Une belle description des Etats-Unis après la Seconde Guerre Mondiale cependant.
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Voilà un livre dont j’ai entendu beaucoup de bien de ce roman, je l’ai acheté pour achat trimestriel de France Loisirs.

J’ai été plongé dans un système de castes classique dans les dystopies. Elia fait partie de l’élite Kornésienne alors que tout en bas de l’échelle se trouve les Nosoba, les esclaves de ce régime.

L’histoire est plutôt basique au départ avec une société autoritaire dans laquelle Elia évolue sans peines même si elle ne comprend pas comment elle peut être passeuses d’âmes alors qu’elle ressent des émotions, chose impossible normalement. Je sentais venir le fil de l’histoire dès le départ.

Pourtant, l’autrice m’a surprise bien des fois en plaçant des révélations sur la société ou sur Elia qui ont remis en cause pas mal de mes certitudes.

Elia est une jeune fille qui voit son monde s’écrouler. Pourtant elle est battante, dès son arrivée dans les mines de Phosphonium, elle se bat. J’ai surtout aimé le lien tissé avec sa sœur. Pour elle, elle est prête à tout même à mourir.

Les deux personnages secondaires, amis et guides d’Elia, sont chacun bien différent. Chacun va contribuer à la suivie d’Elia dans le monde difficile des mines. J’ai craint au départ le triangle amoureux, mais à la fin de ce premier tome je n’ai encore rien vu et j’espère que cela va durer.

L’autrice prend le temps de mettre en place des actions cohérentes. Le rythme est soutenu tout au long du récité entre les révélations et les actions. Pourtant j’ai regretté que l’autrice ne prenne pas plus de temps pour décrire les lieux dans lesquels évoluent Elia surtout la grotte où vivent les Nosoba. J’ai également apprécié ce mélange entre dystopie et Germinal.

En bref, une dystopie au schéma de départ qui a su me surprendre au fil des pages. J’ai envie de découvrir le prochain tome pour savoir si Elia arrivera à sauver sa petite sœur.
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date : 19-12-2017
L’univers futuriste annoncé dans le résumé m’a donné envie de lire ce livre et de le demander à la dernière Masse Critique. Je remercie Babelio et les éditions Le Muscadier pour leur confiance.

J’ai été propulsé dans une France et un monde ravagé par le virus Emma qui fait perdre toute humanité à ceux qu’il contamine. Un vaste système a été mis en place pour éviter le contact avec ce virus. Pourtant les contaminations se font encore facilement et le seul moyen qu’à trouver l’Homme pour survivre et de s’isoler.

L’univers de l’autrice est riche. Elle nous plonge dans un univers qui nous réservera bien des surprises au fil des pages. Ce que je croyais être vrai au début du roman ne l’est peut-être pas… Et si le meilleur moyen de protéger la plupart des survivants c’est de leur en dire le moins possible ?

J’ai beaucoup aimé Azur, l’héroïne de ce roman. Cette jeune adolescente s’endurcit très vite au fil des révélations qui lui sont faites. Elle garde cependant un cœur en or, elle n’oublie pas la promesse qu’elle s’est fait à ses quinze ans.

L’autrice a su maintenir un rythme soutenu dans son roman avec ses révélations faites au compte*goutte qui m’ont surprise la plupart du temps et m’ont permis de remettre en question l’image que je me faisais de ce monde. Elle lie bien à la fois aventures, émotions et suspense.

Mais le petit plus de ce roman, c’est de faire réfléchir à ce qu’est l’humanité. Est-ce la version présenté par les autorités de ce monde c’est-à-dire l’absence de maladie ou alors est-ce autre chose.

En bref, c’est un roman que j’ai beaucoup aimé. Il mêle les émotions, l’aventure et le suspense dans un univers futuriste originale, tout en nous faisant réfléchir à l’humanité. Un roman à lire par tout le monde.
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date : 11-12-2017
J’aime beaucoup les romans de cette autrice qui permet à tous de découvrir une époque historique.

Cette fois ci, nous sommes plongés à l’époque de Louis XIV, l’époque où a vécu Mme de Sévigné, qui a écrit des milliers de lettres qui racontent la vie de la cour. Mais ce n’est pas cette dernière que l’on suit mais sa fille, Mlle Françoise de Sévigné.

Au cœur de cette aventure, Françoise tombe sur une lettre entre sa mère et Fouquet, le surintendant des finances. Cette lettre éveille la curiosité de Françoise et notamment pour savoir si Fouquet est son père biologique.

Cette découverte est le fil conducteur de l’histoire. Les recherches de François crée pas mal de rebondissements et la place dans des situations dangereuses ou cocasses. Cela un donne un rythme à l’histoire.

L’autre partie du roman, c’est la vie à cette époque et surtout du point de vue d’une adolescente. Françoise est encore libre même si sa mère lui donne une éducation assez stricte. On y voit la séparation entre les nobles et les domestiques, les règles de bienséances qui régissent la vie des femmes.

Pourtant Françoise ne se laisse pas faire et essaye de casser ça à son niveau. J’ai beaucoup aimé ce personnage à contre-courant de son époque, qui finira pourtant par suivre le chemin tracé par sa mère.

Mme de Sévigné apparait comme quelqu’un de sévère, mais il faut dire qu’elle ne fait qu’appliquer ce qu’on lui a appris. Les amis de Françoise ne sont pas assez présent à mon goût. Mais il faut dire que sa mère ne voit pas d’un bon œil toutes ses relations.

L’autrice écrit toujours aussi bien. Une plume simple, des mots pas compliqués qui permet à ce roman d’être lu dès le collège.

En bref, un roman toujours aussi plaisant. Un roman qui permet en rythme une époque mal connue des jeunes. J’ai hâte de lire son prochain roman, 42 jours qui se déroule pendant la Seconde Guerre Mondiale.
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date : 11-12-2017
J’ai choisi ce livre pour le match de la rentrée littéraire de PriceMinister. Ce livre parle de la guerre d’Algérie. C’est un thème que je n’ai pas l’habitude de voir dans mes lectures historiques.

Nous retrouvons donc Antoine, jeune appelée en Algérie. Il travaille au sein de l’hôpital de Sidi-Bel-Abbès. Il a appris la grossesse de sa femme avant son départ, cette dernière vient le rejoindre pour accoucher en Algérie.

C’est un roman qui m’a particulièrement plu car il permet de voir la guerre d’Algérie du côté des combattants mais également, via le regard de Lila, des pieds noirs. On voit la situation se tendre au fils des mois entre les algériens et les français. Les pieds noirs se méfient de plus en plus des algériens.

J’ai également apprécié la description des paysages faites par l’autrice qui m’a permis de m’immergé dans cette ville d’Algérie. J’aurai peut-être aimer découvrir un peu plus la casbah mais je peux comprendre pourquoi Antoine et Lila sont rester dans le quartier français.

J’ai aussi aimé la présence d’un troisième personnage dans ce roman, Oscar, soldat amputé d’une jambe qui est également muet. Pourtant cela ne va empêcher la création d’un lien fort entre Oscar et Antoine. Son point de vue permet de voir l’histoire différemment.

Si j’ai aimé le contexte de ce roman, je regrette cependant de n’avoir q’effleurer la guerre d’Algérie. J’ai eu l’impression qu’il n’y avait qu’un malade à l’hôpital c’est Oscar. On ne voit également pas ce qui se passe en dehors de cet hôpital à part lors des quelques sorites d’Antoine sur le terrain. Mais il est vrai qu’il est compliqué de montrer toutes les facettes de la guerre d’Algérie.

Antoine, Lila et Oscar sont les trois personnages qui sont le plus détaillés. Les autres personnages secondaires ont tout juste un prénom alors que certain joue un rôle important dans cette histoire.

En bref, un bon roman pour découvrir une facette de la guerre d’Algérie. Il manque cependant du relief au personnages secondaires et de la vie à cet hôpital.
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date : 25-11-2017
J’ai été attiré par le résumé de ce roman lors de la Masse critique de Babélio. Je remercie Babélio et Livr’S de m’avoir accordé leur confiance.

Alénor est capable, depuis qu’elle est tombée dans le puits du jardin de ses parents quand elle était enfant, de voir les fantômes qui s’y trouvent. Ces derniers sont là pour purgés leur peine avant d’avoir accès au paradis.

L’histoire créée par l’autrice est originale, c’est mon premier roman avec des fantômes. J’ai beaucoup aimé le fait que tous les fantômes n’aillent pas au paradis. Les humains les plus mauvais vont quand ils meurent dans le puits des âmes pour faire « oublier » leurs crimes. Le seul problème c’est que quand ils entrent dans ce puits, c’est qu’ils deviennent amnésiques.

J’ai également beaucoup aimé le combat entre les anges d’un côté et les démons de l’autre. On croit savoir de quel côté se trouve un personnage et puis finalement c’est l’autre. La lutte entre ces deux côtés est sans doute ce qu’il m’a le plus plu.

Par contre, je regrette que l’autrice ait créé un triangle amoureux dans cette histoire. C’est vrai qu’il aide à faire avancer l’histoire. Mais j’aurais aimé que l’histoire puisse avancer grâce à un autre moteur.

La fin de l’histoire est surprenante. J’ai également apprécié l’épilogue qui nous permet de poursuivre l’histoire bien des années plus tard.

En bref, une histoire originale au sein d’une lutte entre anges et démons mais un triangle amoureux qui m’a fait grincer des dents.
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date : 08-11-2017
J’ai été attiré par le résumé de ce livre proposé en Masse Critique spéciale par Babélio. Je remercie Babélio et les éditions Buchet Chastel de m’avoir fait confiance.

Ce livre est en fait un recueil de six nouvelles d’une trentaine de pages chacune. C’est un bon point car j’ai pu lire progressivement ce livre particulier.

Ce livre est accès autour du désir et des mystères autour de l’être désiré. Je m’attendais à du mystère et du désir. Je n’ai rien eu de tout cela.

Si j’ai accroché aux deux premières nouvelles, les quatre autres m’ont parues sans queues ni tête dans un univers parfois futuriste parfois contemporain.

C’est dommage que la troisième nouvelle, celle qui m’a fait décrocher de ce livre, soit si éloigné de l’univers des deux nouvelles. J’aurai aimé que l’auteur glisse plus progressivement vers un univers inventé.

La nouvelle qui m’a le plus plu est sans doute la première « La retenue » autour des violences conjugales, sujet au combien d’actualité.

En bref, c’est un livre dont je ressors très mitigé. Aimé deux nouvelles sur six, c’est bien peu. Mais peut-être que je ne suis tout simplement pas le public cible de ce livre.
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date : 03-11-2017
De bonnes chroniques sur ce roman d’un éditeur que j’affectionne, quoi de plus pour me plonger dans ce roman sans lire le résumé ?

Vania a, selon elle, tout pour être quelconque. Un père avec une profession embarrassante, des rondeurs et un œil handicapé qui lui vaut pas mal de moqueries. Le jour où elle reçoit un mail anonyme qui lui fait un électrochoc et lui fait comprendre qu’elle n’a rien de banal.

L’histoire est intéressante, on voit cette jeune fille évoluer au fil des pages et c’est particulièrement touchant. L’autrice y place pas mal de scènes cocasses qui m’ont souvent fait sourire.

Vania est un personnage pour lequel j’ai eu envie d’éprouver de la sympathie mais pas mal de ses actes m’ont dérangé. C’est surtout ses mensonges et sur un sujet en particulier qui m’ont dérangée. Mais j’ai aussi compris que si elle en est arrivée là, c’est qu’elle souffre beaucoup.

Pierre-Rachid, son meilleur ami, le papi qu’elle garde en l’absence de sa petite-fille et son père sont des personnages fantasques qui apportent une touche de gaieté à cette histoire. Ils contribuent tous aussi d’une certaine façon à faire évoluer Vania d’une fourmi noire à une fourmi rouge.

Tout au long du roman, je me suis demandée qui avait écrit ce mail. Et comme Vania je pense que j’ai soupçonné tout le monde. J’ai été bien surprise mais aussi touchée par l’identité de l’auteur de ce mail.

En bref, c’est un roman émouvant sur l’évolution d’une jeune fille qui se trouve banale mais qui apprend à s’aimer à petit pas. Avec une mini enquête au travers de ça, cela fait passer un moment très agréable.
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Une de mes amies me parle souvent de cette saga. J’ai profité de la sortie de cette saga chez France Loisirs pour acheter le premier tome et le découvrir.

J’ai été happé par les aventures de cette héroïne qui pense avoir trouver un lieu propice à sa fuite en emménageant à Burlington.

Elle se retrouve malgré elle à enquêter pour trouver qui sème la zizanie au sein des créatures fantastiques. Elle accepte juste à une condition : qu’on ne lui demande plus rien une fois sa mission accomplie.

J’ai aimé cette histoire qui mélange bien l’aventure, le fantastique et la romance. Chaque élément est bien dosé, aucun ne prend le pas sur l’autre, l’histoire est parfaitement équilibrée. Au contraire, chaque élément permet une avancée de l’histoire.

L’histoire est mouvementée et riche en rebondissements tant au niveau de l’enquête que les intriques érotico-amoureuses de notre héroïne. J’ai aimé que l’autrice me surprenne ou me fasse râler à cause de la tournure que prenait l’histoire.

Rebecca est une jeune femme attachante mais qui n’a qu’un but, rester la plus discrète possible depuis qu’elle a fui son clan d’origine. Pourtant elle est pétillante, drôle et courageuse. J’ai beaucoup apprécié sa fille qui est très mature pour son âge et sa meilleure amie qui est prête pour la protéger même à transgresser les règles de son clan.

Un point fort de l’autrice également, c’est qu’elle place un triangle amoureux, chose que j’aime de moins en moins, qui ne m’a pas dérangé parce qu’il fait avancer l’histoire.

La fin est surprenante et donne envie de découvrir la suite que je possède déjà. C’est avec plaisir que je lirai la suite que je possède déjà d’ailleurs.

En bref, un premier tome riche en rebondissements avec une héroïne attachante. Une saga prometteuse.
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J’avais entendu beaucoup de bien de cette saga mais également moins bon. J’ai acheté ce premier tome au salon de Montreuil et je l’ai fait dédicacer par l’auteur.

Je suis tout de suite rentrée dans l’histoire. Vivre l’expérience au travers des yeux de Léonor est une merveilleuse idée tout comme celle de proposer d’autres points de vue pour nous permettre de voir toute la complexité de cette aventure.

L’idée de l’auteur d’associer une télé réalité avec une mission spatiale est une bonne idée. Je m’attendais seulement à lire des romances dans une capsule spatiale. Pourtant l’auteur m’a surprise en faisant de Génésis plus qu’une téléréalité mais une mission dont la finalité n’est peut-être pas celle à laquelle on s’attendait au départ.

Léonor est un personnage attachant même si j’ai eu du mal à comprendre sa logique pour les prétendants. Comme sa manière de vouloir à tout prix cacher son défaut, qui n’en n’ai pas un pour moi. Mais j’ai aimé qu’elle fasse preuve d’initiative pour démasquer les supercheries de cette télé-réalité scientifique.

Les personnages secondaires sont soit très bien détaillé soit à peine esquissé. Kirsten, la meilleure amie de Léonor, et Marcus et Mozart sont assez bien détaillé. Ce sont des personnages que j’ai aimé découvrir car ce sont des êtres à la personnalité si différente. A l’opposé, Kenji est un être à peine évoqué alors qu’on sent qu’il y a quelque chose autour de ce personnage. Serena McBee, la chef d’orchestre de ce spectacle, est une femme dont on découvre vite la double personnalité à mesure que l’on en apprend davantage sur Génésis.

L’auteur ne nous laisse pas un moment de répit entre les speed-dating, les découvertes de Léonor sur la véritable finalité de cette mission et les autres points de vue.

En bref, un roman avec de très bonnes idées. Un roman riche en rebondissements dont je lirai le prochain tome avec plaisir pour découvrir la suite des aventures des douze prétendants sur Mars.
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J’ai lu ce roman parce que mon copain m’en parle depuis toujours. C’est l’une des meilleures sagas qu’il n’ait jamais lu. Tentée par ce qu’il me racontait, je me suis plongée dans le premier tome de cette trilogie.

L’univers dans lequel j’ai été plongée est riche. J’ai particulièrement apprécié l’idée des Daemons. Celui de Lyra est particulièrement attachant et le lien entre les deux êtres m’a particulièrement touché.

J’ai trouvé que l’histoire met beaucoup de temps à s’installer. Mais je comprends que ce temps soit nécessaire pour que l’aventure commence. L’intrique autour de ces autres royaumes et de la Poussière m’a particulièrement intéressée et j’ai voulu savoir ce qu’était cette Poussière et pourquoi elle attire autant de convoitises.

Si l’intrigue générale de l’histoire m’a particulièrement plu, j’ai regretté certaines facilités de l’auteur. J’ai regretté que certains problèmes trouvent des solutions trop facilement ou trop rapidement. Peut-être est-ce parce que je lis ce roman en étant adulte et non adolescent comme mon compagnon ?

Lyra est une petite fille vive et intelligente mais qui ce met dans des situations périlleuses d’où elle doit se tirer. Pantalaimon est un compagnon attachant qui s’est aussi bien montrer ces griffes pour défendre Lyra que se faire discret pour ne pas attirer l’attention. Une multitude de personnages entoure Lyra et il n’est malheureusement pas possible de tous les citer ici. Je retiendrai cependant Lors Asriel et Mme Coulter, ces deux personnages qui ont une double face, tantôt des êtres gentils, tantôt des êtres méprisables.

Si j’ai eu des doutes sur la cohérence de cette histoire, j’ai été agréablement surprise par la plume de l’auteur avec un style travaillé et un vocabulaire riche et agréable. L’auteur invente des mots à partir du latin pour mieux enrichir son univers si particulier.

Même di j’ai été bousculée par la fin assez rapide de ce premier roman, j’ai envie de lire la suite de cette histoire notamment pour mieux connaitre ces autres mondes.

En bref, un roman avec un niveau riche, passionnant, une héroïne particulièrement attachante. Les quelques facilités que j’ai pu relever ne m’empêcheront pas de lire la suite.
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date : 15-10-2017
Voilà un résumé bien intriguant associé à une maison d’édition qui ne m’a jamais déçue.

Dans ce roman, Zoé rencontre par hasard le Nez qui lui offre un emploi pour l’aider dans les taches quotidiennes et pour s’occuper de Jules enfermé dans une prison de verre depuis plus de vingt ans.

L’histoire amenée par l’autrice est assez originale. La raison de l’enfermement de Jules est surprenante et on ne peut imaginer sa souffrance.

L’amitié qui lie le Nez à Jules est magnifique. Ce don de la nature aurait pu lui permettre d’avoir une belle carrière chez un parfumeur mais non il a choisit de passer ces journées à tenter de guérir son meilleur ami.

J’ai aimé suivre le quotidien de Zoé, Jules et le Nez qui se lient d’amitié et même plus encore. La romance est bien présente, c’est l’un des moteurs de cette histoire mais elle n’est pas le centre de cette histoire.

Zoé est une jeune femme que j’aime beaucoup, enjouée et motivée, rien ne lui fait peur, en particulier déterrer le passé de Jules. Jules est un garçon touchant et qui ne perd pas espoir de pouvoir sortir de sa prison.

J’ai également apprécié les personnages secondaires, peu nombreux, ils sont assez développés. Cela permet de voir autre chose que la maison où travaille Zoé et de mieux comprendre le passé de Jules. Le village où se déroule l’histoire a l’air d’un lieu paisible où il fait bon vivre. Dommage qu’il n’existe pas, j’aurai aimé m’y rendre.

En bref, un roman contemporain original par le handicap de Jules, qui met en avant l’amitié et l’amour dans un cadre idyllique où je replongerais volontiers.
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