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Commentaires de livres faits par laromantiqueeperdue

Extraits de livres par laromantiqueeperdue

Commentaires de livres appréciés par laromantiqueeperdue

Extraits de livres appréciés par laromantiqueeperdue

Après le petit cliffhanger à la fin du tome 1, il me tardait de connaître la suite !

Bien qu’il s’agisse d’une romance (et que par définition, la fin est connue), j’ai tout de même entamé ce tome 2 avec grande curiosité. Comment tout allait rentrer dans l’ordre ? Que restait-il à raconter, entre les protagonistes, pour leur consacrer encore un tome ?

La réponse fut vite répondue.
Cette suite, c’est du bon “S.L. Pennyworth” ! Bien décrite et imaginée, l’auteure possède un genre de sixième sens. Elle sait où se positionner, que décrire afin de rendre la lecture sensée, crédible et fluide.
Il est vrai que l’espace temps choisi m’a un peu perturbée, au début (j’avais imaginé une action qui court dans le temps, haha), mais j’ai vraiment accroché à la proposition faite.

Les aventures de Martina et Goran m’ont beaucoup plu.
J’ai apprécié assister à leur début, à la fois gourmand et timide et à cette vie épiée dans le moindre recoin de leur intimité, lourdée, en plus, du poids d’une couronne à porter.
J’ai donc lu – avalé, plutôt – cette suite.

Résumé ? “Muffin et Majesté” se consomme sans modération !
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“Ticket Gagnant” a correctement rempli son contrat de “Romance d’été” !

J’ai quand même eu un peu de mal à rentrer dedans, au début. Le côté “Miss catastrophe” de Laura, l’héroïne, m’a paru un peu gros.
Mais, dès que la romance se met en route, ce côté “Pierre Richard” s’assagit et je continue le récit avec beaucoup plus d’aisance et d’entrain.

Et cette histoire d’amour, eh bien, je l’ai adorée ! Une sorte “d’inconnus / ennemies to lovers” (beau mélange franglais, tiens ^^) bien scénarisée. Les avancées sont chouettes ; les sentiments, crédibles et le tout est dansé sur un rythme bien ficelé.
Les deux points de vue ici étaient d’ailleurs les bienvenus ! Ils appuyaient avec crédibilité le fait qu’une situation pouvait être perçue et interprétée de deux manières différentes… Sans dénaturer la personnalité de Laura et d'Antoine.

La cerise sur le gâteau est le voyage au Mexique. Lui non plus, sur le fond, ne se passe pas exactement comme prévu mais a le mérite d’être, sur la forme, là où on l’attend : Il anime avec panache le roman et sert de lieu de rapprochement pour nos héros.

Du fun, du soleil, de l’amour… Une Romance d’été comme je les aime !
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date : 06-10-2022
J’ai ressenti une grande bouffée de réconfort dès les premières pages !

Il se passe des choses intenses, essentielles pour l’histoire, les personnages et en même temps, le rythme s’écoule calmement. Pas de précipitation, mais pas d’ennui non plus.
Les morceaux commencent à s’assembler, le puzzle se dévoile au fur et à mesure.

C’est donc une très bonne suite que nous offre l’auteure.

Amour, révélation, trahison, retrouvailles, secrets… Une recette qu’il me tarde de retrouver dans le tome 3 !
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date : 26-09-2022
Bien que la fonction première de “Amours et lavande” a été parfaitement remplie – celle de passer un bon moment romantique en Provence, j’avoue être restée sur ma faim.

C’est vrai, ce récit sent super bon la “romance romantique“. Le cœur se fait tout léger dans ce décor de carte postale et les notes de romantisme s’égrènent au fil des pages.
Mais déjà, j’ai le sentiment d’être plongée dans un environnement un peu trop “bisounours”. Tout le monde était vraiment “trop beau et gentil” à mon goût.
Les personnages n’ont pas apporté assez de suspens selon moi.

En soi, ce n’est pas le côté tendre de la romance qui m’a pas dérangée.
Mais c’est tout ce qui gravite autour qui a légèrement manqué de pep’s à mon goût, en plus de ces personnages gentillets.
L’attention est donc focalisée sur cette tendre histoire d’amour et tout s’enchaîne un poil trop vite.
Certains ressentis manquaient de développement, voire de réalisme.

Néanmoins, “Amour et Lavande” reste une belle lecture. J’ai aimé la sensation agréable qu’elle dégage, les senteurs de lavande qui s’échappent des lignes et surtout l’arc narratif de la romance.
J’aurais en effet aimé un peu plus d’actions et de développement mais Cély offre un joli moment de détente.
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Je suis de nouveau époustouflée par Violaine Darmon !
Sa plume possède un charme fou auquel nul ne peut résister. Je me demande même comment tout ce récit sort de son imagination, tant il est spectaculairement mis au point.

Comme les plus grandes sagas fantasy, “Le cycle de Taramanda” nous emmène sur les traces de plusieurs personnages, qui grandissent et vieillissent loin des autres pendant des décennies, sans connaître les liens qui les unissent (ou si, mais doivent garder le secret)… Liens qui se dessinent au grès des réconciliations, rencontres et trahisons.
On suit avidement l’histoire, impatient de connaître leurs réactions, tombant des nues quand un sacré retournement de situation nous est projeté au visage, tremblant de peur, émerveillé, heureux, bouleversé par le destin qui semble échapper à tous (hormis peut-être à Violaine).

Pourtant, je dois avouer avoir été plus touchée par le destin des héros (passés) de Taramanda du tome 1 que ceux présents ici. Sûrement pour le côté “histoire d’amour / Romance”, qui, je trouve, a eu une place plus prépondérante précédemment.
De plus, j’ai eu un peu de mal à faire le pont avec le premier tome. Lu il y a deux ans, ma mémoire m’a fait un peu défaut. Mais replonger dans l’univers de Violaine fut tellement jouissif, et les retrouvailles avec certains personnages emplies d’une certaine émotion, que j’ai reconnecté quelques trains en route et ai pris plaisir à lire le reste de leurs aventures.

Mais, d’un point de vue objectif, ce tome 2 est une suite impeccable.

Moi qui n’y suis pas très friande de Fantasy à la base, l’auteure a une telle capacité pour captiver les lecteurs que j’ai bu son histoire et y ai même pris goût.
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“Green Dreams” a été une lecture particulière. Plusieurs “défauts” sont venus me titiller, mais en même temps… Je l’ai dévorée !

Malgré cette énigmatique fièvre qui me pousse à enchaîner les pages, donc, je commence à tiquer.
L’utilisation de la troisième personne du singulier ne me semble, ici, pas très adéquat et le décor n’est pas assez poussé à mes yeux. Si quelques noms de villes américaines n’étaient pas glissées par-ci par-là, j’en oubliais où nous nous trouvions.
J’ai fini tout de même par m’y faire, Ella Baya possédant un entrain assez contagieux.

Je passe aux deux gros “points noirs” – selon moi – du récit :
Le premier est la connexion jamais clairement établie entre les personnages secondaires et nos héros. Plusieurs fois je suis restée sur le qui-vive, attendant ENFIN qu’on m’explique d’où sort ce personnage, pourquoi et comment ils se connaissent et sont devenus proches.
Et le second point : des informations, primordiales à la construction de notre empathie envers les héros, étaient manquantes ou partagées trop tardivement.

Pourtant donc, je l’ai avalée, cette histoire. Impossible de m’arrêter.
Il y avait une force qui me poussait à aller au bout.
L’attirance entre Alexandra et Damien m’a plu. En fait, c’est l’aspect Romance qui m’a plu. J’avoue que certaines intrigues étaient un peu “too much“, même pour le genre, mais globalement, c’était très addictif.

Pour résumer, j’ai vite lu “Green Dreams” grâce à la partie Romance très bien exécutée. Les aspects secondaires m’ont en revanche perdue et ont entaché mon ressenti final.

Cependant, je trouve qu’Ella Baya a fait une belle entrée en la matière. Pour un premier essai, c’est vraiment pas mal !
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Bon sang mais quel voyage ! Les cinq sens en alerte, j’ai suivi Margot et ses compagnons d’aventure en immersion totale dans ce stage de survie.
Il y avait une telle grâce de véracité dans la description des lieux, qu’il était impossible de rester en Métropole le temps de la lecture.

On rentre directement dans le vif du sujet, et en même temps, Gwendoline Rose n’en oublie pas pour autant de nous dévoiler quelques tenants et aboutissants essentiels. Elle garde aussi quelques recharges de suspens dans sa poche, qui seront dévoilées plus tard, à des moments que j’ai trouvé très bien pensés.
Les différentes personnalités des personnages secondaires m'ont plu, car très facilement et rapidement identifiables (ils ont aussi humblement servi le récit) ; mais aussi les différentes péripéties qui jalonnent le récit ainsi que la personnalité et l’histoire aboutie de Margot.

Le seul petit hic, c’est que pour une comédie romantique, eh bien… L’aspect romance est restée en retrait trop longtemps à mon goût et n’a pas été aussi présente que je l’aurais souhaité.

Pour résumer, à part la partie Romance trop timide pour une “comédie romantique”, j’ai vraiment adoré “Un jour, j’irai toucher les nuages“.
Petit bonus : La signification du titre, qui m’a beaucoup touchée.
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date : 15-07-2022
“A l’Aune des Souvenirs” n’est pas un simple voyage dans le temps, ni une simple romance historique.
Non. C’est beaucoup plus sage, profond, sensé et recherché.

Au travers d’une douce plume et d’une nuit chargée de souvenirs, Lily Flynn nous offre une petite excursion dans le passé et un fin moment de psychologie. Elle a brodé son héros d’une manière fine et calculée. Alessandro se découvre, couche par couche, entre ombre et lumière. Se dénude de toute sa fantasy pour partager, en tout intimité, ce qui l’a poussé à être ce qu’il est aujourd’hui.
J’ai fini par lui vouer un profond respect et une grande admiration.

Il y a aussi cette belle histoire d’amour qui m’a tenue en haleine des pages entières et qui est, à l’image de son héros, dévoilée avec un coup de pinceau admirablement minutieux.
Et ces quelques autres personnages secondaires qui, par leur prestance naturelle, servent au récit sans dénaturer le fond.

Là où ça me chagrine un peu, c’est la sensation de “manque” que j’ai ressenti. Ce récit semblait être une pièce d’un grand puzzle. Une belle pièce, certes, mais dont les contours m’échappent un peu. Comme si “A l’Aune des Souvenirs” était le préquel d’un autre roman, ou un spin-off. Du moins les éléments semés par l’auteure pouvaient faire partie d’un tableau plus grand que ces pages.

A moins que ce soit déjà dans les papiers de Lily Flynn…
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***Avis basé sur la version auto-éditée sortie en 2020***

Je pensais naïvement que “Je vais buter mon boss” m’emmènerait dans une lambda “romance au travail”.
Quelle grossière erreur !
Bravo à A.D. Martel d’avoir su faire preuve d’une incroyable originalité dans le genre ! J’en étais vraiment toute retournée, tant par la force d’attraction qui m’a poussée à finir ce livre, que par l’immense coup de cœur ressenti.

Bon, le début s’y apparente un peu quand même, hein, il faut le dire. J’ai vraiment cru à un “ennemies to lovers au travail” en bonne et due forme.
Néanmoins, même “classique”, ce début me plaît déjà. Beaucoup, même. Je me prends rapidement au jeu, d’autant plus que la guerre-guerre entre l’héroïne et son boss me fait mourir de rire.
Bref, j’accroche totalement.

Et puis, arrive ce retournement de situation totalement inattendu.
Loin d’avoir loupé ce dangereux virage à 90°, A.D. Martel s’en est formidablement bien sortie ! Déjà bien à fond avec ce début “classique”, ce twist impressionnant, qui aurait pu être mortel, m’a littéralement scotchée ! J’enchaîne, j’accélère, je bois, j’avale les intrigues, le suspens, les actions, les secrets, les rapprochements, l’électricité, la tension entre les personnages, les révélations…
Bref, je vis le récit à 10000%.

Enfin presque, en réalité. La fin* m’a légèrement frustrée, je dois l’avouer. J’aurais voulu avoir un épilogue plus pertinent, surtout vis-à-vis de l’histoire d’amour qui se termine un peu brutalement à mon goût.

*NB : En discutant rapidement avec l’auteure à la fin de ma lecture, cette dernière m’a confié que la fin, dans la nouvelle édition du roman sortie chez J'ai Lu, a été modifiée ! 😉
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Je ressors de ce tome 2 avec le même ressenti que le tome 1. J’y retrouve les mêmes qualités et le même petit défaut : un fond génialissime et complètement addictif, qui m’électrise et frôle le coup de cœur… Mais un format qui va beaucoup trop vite à l’essentiel pour moi.

En effet, les actions sont bien menées, les retournements de situations, bien trouvés. Sabine a vraiment de très bonnes idées et une plume saillante.
Sur la nature des intrigues, je n’ai à redire, l’histoire est dingue !

Mais on ne prend pas le temps d’établir une mise en scène correcte, que déjà les héros sont venus, ont fait leurs actions et sont repartis aussitôt. Il manque des petits détails et des temps de récupération.

Néanmoins, je m’incline encore une fois face à la Romance qui joue sa partition avec une éclatante sensibilité et perfection. Les sentiments sont très bien dépeints, et bien accordés pour un récit Young Adult.

Ce n’est que mon ressenti et ça ne m’a pas empêché d’enchaîner les pages. Je me dis juste que si ce récit était fleuri d'un peu plus de détails et de temps de pause entre les actions, les révélations et les retournements de situation, le coup de foudre pour cette trilogie serait SIDERAL !

Et ce sera la même conclusion que le premier tome : Malgré la vitesse à laquelle tout va, je suis accroc à cette trilogie et j’ai vraiment trop, trop hâte de connaître la suite !!
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date : 25-06-2022
C’est la deuxième romance que je lis de cette auteure et vraiment, j’aime beaucoup sa patte.

L’histoire se déroule au gré de plusieurs protagonistes et c’est ce qui fait sa marque de fabrique. Laure connait les règles du jeu d’une narration à plusieurs points de vue et les maîtrise.

Dans “November Love“, nous suivons Matt, le héros “principal”. Matt, c’est aussi (entre autres), le frère de Marina, le meilleur ami de Jay et le protégé de Denis.
Et c’est en ce sens que j’apprécie les romans de Laure Arbogast.
Oui, c’est une romance, mais les autres personnages ne sont pas là uniquement pour conseiller le héros sur ses relations amoureuses ou n’ont pas la parole que pour ça (parce que vraiment en romance contemporaine, bon sang j’en croise beaucoup des personnages vide de caractère et de vie…). Ils vivent aussi ! Ils font partie de l’histoire dans sa globalité et apportent leur pierre à l’édifice. J’ai pris autant de plaisir à les découvrir que Matt.

Matt, d’ailleurs, est aussi un artiste de Street Art. Ca ne m’avait jamais intéressée… Jusqu’à ce premier tome et la manière, à la fois passionnée et pudique, dont le sujet est abordé. J’avais tellement la sensation que les héros partageaient leur passion, que j’en oubliais l’auteure derrière sa plume !

On pourrait croire à un coup de cœur, mais à regret, ce n’est pas le cas. Du moins pas à l’issue du tome 1. Oui la forme du récit est bien sculptée, et j’apprécie beaucoup la plume de Laure.
Mais je coince un peu au niveau de la romance principale, dont j’attends encore quelques tenants et aboutissants. J’ai bien conscience que ça fasse partie du pack “intrigue” mis en place et qu’il faudra attendre les tomes suivants. Mais au niveau de l’histoire d’amour, je trouve le suspens un chouia trop à mon goût, et ce, dû en partie au comportement pas très logique (à mon sens) d’un des personnages et ça me déstabilise.

Ceci dit, ça ne m’empêche pas d’attendre le deuxième tome ! J’ai hâte de retrouver tout ce beau monde (Matt & Co) et aussi les autres intrigues font carburer aussi le récit (romance secondaire, mystère familial…).
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Avec une plume incisive, enrichie d'un vocabulaire soigné, de descriptions vivantes et de fins détails historiques, il n’y a pas à dire, de toutes les romances historiques que j’ai pu lire jusqu’ici, Morgane Destrée est l’auteure qui m’immerge le mieux dans le passé.

Ce premier tome de "Le Caldoche" est donc un coup de cœur.

Des héros palpitants, des intrigues qui s’amourachent et se déchirent, des coup de pistolets et de trahisons… Avec cette auteure, c’est une véritable valse qui nous entraînent sur le rythme du passé. Ici, la vie parisienne d’après-guerre est aussi secrète que cruelle.
Et, en guise de souffle vitale pour redonner un peu de couleur rose à cette atmosphère grisâtre (quoi que… Rien n’est jamais acquis avec Morgane), une vivifiante romance. Ses scènes d’amour et d’érotisme parfument les pages engluées par le sang et la crasse des bas-fonds de Paris (oui oui, Morgane écrit tellement bien que tu peux sentir tout ça à travers les pages).

Bref, la romance historique sous la plume de Morgane, n’est jamais de tout repos.

Comme ses autres héros, Léo et Anabelle ne m’ont pas laissée indifférente. J’ai aimé leur personnalité, leur trajectoire de vie, leur histoire, leurs qualités et défauts ainsi que leur alchimie.

Il y a juste deux petits minis “couacs” que j’ai eus : Certains passages m’ont légèrement échappé, je n’ai pas bien compris leurs tenants et aboutissants et d’autres m’ont paru être répétés.
Mais ce sont que de modestes détails face à l’ampleur du coup de cœur ressenti. Et puis surtout, ce n’est qu’un sentiment personnel…

Inutile donc de préciser que je me languis de connaître la suite !
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J’ai passé un très bon moment lecture !

Comme pour son premier tome “L’envol du papillon“, l’auteure se pique d’emblée avec les épines des roses qu’elle cueille. Elisa, héroïne du premier tome, tombe amoureuse d’un homme promis à sa cousine ? Ellie, héroïne de “Le ballet des libellules“, elle, s’éprend d’un homme de l’âge de ses parents. A une époque historique où le mariage n’est qu’une question de raisons, les voici à devoir se battre pour faire entendre leur choix de cœur.

L’historique proposé est tout doux, mielleux et romantique à souhait.
Nadine a cette petite touche très “austenien made in France” dans laquelle il est plaisant de se balader.

Si j’écoutais mon côté tatillon, j’aurais aimé plus de “débats” intérieurs pour Paul, l’homme dont Ellie s’éprend. Malgré les difficultés rencontrées, Paul passe trop facilement je trouve, d’un Don Juan à un homme prêt à se marier.

Mais sur l’ensemble du récit, ce n’est qu’un détail. “Le ballet des libellules” reste une très bonne romance historique et romantique ! Si tu avais apprécié le premier tome, pour sûre que tu apprécieras ce second.
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J’ai lu ce premier tome rapidement, éprise par les idées, l’histoire d’amour et les intrigues.
Même si, je l’avoue j’ai rapidement froncé les sourcils.
Je ne suis vraiment pas une adepte du… “dessert rapide” dans la romance. Je préfère largement qu’on passe d’abord l’entrée, le plat principal (voire le fromage) avant ledit "dessert".
Et là, j’ai paniqué. J’ai déjà lu plusieurs romances où le sexe résume le jeu de séduction au sein d’un couple, charge au lecteur d’y voir l’attachement mutuel et franc à la fin du récit. Et cette manière de faire me déplaît totalement.
Ici, eh bien… J’aurais dû faire confiance à l’auteure ! S.L. Pennyworth a réfléchi, travaillé et poli son choix.
Je reste sur le fait que la première scène érotique arrive beaucoup, beaucoup trop vite à mon goût ; néanmoins, sur le reste du récit, mon côté fleur bleue y a trouvé son compte (Merci Simonne !).
J’ai tout de même accéléré les quelques scènes érotiques que je n’estimais pas réellement propices à l’histoire. Même si, dans l’ensemble, je le reconnais volontiers, elles sont bien écrites et n’étouffent pas les autres intrigues (là aussi, c’est un défaut de beaucoup de romances érotiques...).

Hormis le contexte “histoire d’amour pimentée” qui prend une bonne partie du récit, j’ai grandement apprécié que “Muffin et majesté” ne soit pas réduit uniquement à ça. Goran est avant tout un prince, Martina, une pâtissière et les deux doivent gérer leur vie professionnelle. Nous avons aussi l’opportunité de suivre d’autres intrigues, avec des personnages secondaires animés, évoluant au sein d’un cadre royal structuré.
J’aurais juste voulu avoir quelques précisions supplémentaires concernant La Soavie mais dans l’ensemble, l’environnement est bien mis en scène.

Il me tarde de lire la suite !
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J'ai frôlé le coup de cœur !

Ce premier tome prend vie avec des ingrédients familiers et pourtant, j’ai été conquise.
Sa richesse provient de l’organisation de tous ses composants, le suspens qui en jaillit et l’addiction que ça entraîne.
La romance YA est c’est ce que j’ai préféré. Bravo à Sabine Loppe pour l’avoir travaillée avec beaucoup de finesse et d’adrénaline.

J’ai été à fond dedans rapidement et impossible de m’arrêter avant la fin, les 50 dernières pages entamées.

Mais, mais…Voici pourquoi ce n'est pas un coup de cœur.
J’aurais voulu un peu plus de mise en situation au début. On rentre trop vite dans le vif du sujet sans un minimum de préparation au préalable.

L’autre point est que la narration va beaucoup trop vite. J’ai la sensation d’avoir lu le synopsis de la vraie trilogie et pas un “vrai” premier tome complet. Bien que l’écriture est saillante et prenante, les idées, harmonieuses et fournies, il m’a manqué des pages.
Ce n’est pas précipité, juste que beaucoup de scènes ont été ellipsées et auraient mérité plus de descriptions, de profondeur, d’explications.

En résumé, c’est un gros coup de cœur pour le fond (et la romance !!) mais la façon très rapide d’exposer les choses et le manque d’informations générales (surtout pour un récit de ce genre) m’ont laissée sur ma faim.

Je reste cependant curieuse de la suite parce que ce cliffhanger à la fin du tome 1… Ouhao !!
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Mélangeant les tropes “enemies to lovers avec “friends to lovers” à l’insu de ses héros, Valérie Delahaye insuffle un élan d’originalité dans le genre !

J’applaudis tout particulièrement l’idée de l’application de rencontres. Elle ose la touche de romantisme, là où le consumérisme à tendance à dominer de nos jours.
Au même titre que les héros, j’étais excitée de découvrir sa manière de fonctionner et les différentes étapes de rapprochement. Et puis, bien sûr, le clou du spectacle : LA révélation. Surtout qu’ici, elle n’était pas aussi commune qu’elle aurait pu paraître…
L’ensemble des (re)sentiments de Piper, comme de Martin était bien joué et forgeait une belle cohérence au récit. Parfois, il suffit de ne pas trop appuyer sur le bouton “romantisme” pour, justement, le faire ressortir.

Néanmoins, je déplore quelques "couas" sur le fond comme sur la forme du récit. J’aurais adoré suivre plus en détails le travail de Piper, qui auraient amené plus de piment à l’histoire, je pense.
Autre point, j’ai trouvé la meilleure amie de Piper un chouia toxique. Insister pour qu’elle boive parce que “tu comprends, Piper, tu es plus drôle bourrée”… Mouais…
Sur la forme c'est l'utilisation des mots "tutoiement / vouvoiement"... Pour une histoire qui se déroule aux USA avec des protagonistes américains qui parlent anglais, ils devraient pas apparaître à mon sens...

Malgré tout, j’ai passé un bon moment lecture. “Blind feelings” est la preuve qu’une romance peut être originale, romantique et bien amorcée.
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Amours et Fines Dentelles” est un mignon récit historique !

Pourtant, ça ne débutait pourtant pas très bien… Le premier chapitre s’ouvre sur un léger cafouillis au niveau de la forme (répétitions, phrases trop longues...) et puis cette sensation a fini par se dissiper. J'ai fini par être à fond dedans.

L’autre point où je me suis dit “ohlàla, ça ne va pas le faire“, c’était sur la diversité des points de vue. Beaucoup de personnages interviennent dans l’histoire et offrent leurs pensées à travers des chapitres qui leur sont dédiés. J’avais peur d’être perdue, que ça tourne en rond et que ça n’apporte rien de plus à l’histoire et là aussi… Pouf ! La magie de Madison a opéré et j’ai, au final, grandement apprécié la narration.
Le seul bémol est la confusion dans le temps (parfois les personnages revenaient en arrière pour refaire vivre une scène, parfois on avançait et ce n’était pas toujours clair...)

D’ailleurs, heureusement qu’ils étaient là parce que si la romance était l’unique présence dans ce roman… Je n’aurais pas accroché. L’histoire d’amour est beaucoup trop fragile et légère à mon goût pour conduire le fil rouge du récit. Il m’a manqué un patchwork de conversations, de sensations, de scènes fortes et poussés, d’actions concrètes entre les protagonistes avant de parler “amour”.

Cette remarque rejoint mon sentiment général : Tout va beaucoup trop vite. Tout s’enchaîne à grande vitesse et pourtant avec tous les différents points de vue et intrigues, il y avait de quoi doubler, je pense, la notion du temps. J’ai eu l’impression de lire le synopsis d’une série de dix épisodes en moins de 300 pages (version numérique).

En résumé, avec une romance beaucoup plus forte et mieux travaillée, une temporalité plus élastique et étendue, ce roman aurait sûrement été un coup de cœur. Car au niveau des idées, des décors et des personnages, c’était vraiment très bien !
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date : 21-03-2022
De nouveau sous le charme de la plume de Florence Charbaut ! Cette auteure possède un je ne sais quoi qui m’embarque dès les premiers chapitres.

Florence est très habile de sa plume. Ses personnages sont intéressants, entiers (ils ont background fourni, un métier, des qualités, des défauts). Ses histoires sont structurées et l’animation se fait toujours par un mariage d’intrigues. Chez Florence, la romance est souvent associée à un autre genre. L’union empêche l’ennui d’arriver et rend le rythme très agréable.

Si dans son ensemble, ça fonctionne allégrement bien ; du côté de la romance, ça se gâte légèrement à mon goût…
En effet, l’histoire d’amour part sur un “coup de foudre”. Je n’ai rien contre ce dernier, mais je trouve qu’il fait 70% du travail à lui seul.
L’auteure suit les codes et d’un point de vue global, ça fonctionne. Là où ça me chagrine un peu, c’est que le “coup de foudre” allège un peu trop le poids de la romance dans le récit. Comme il fait la majorité du job au début, l’histoire d’amour a tendance à vivre en “filigrane”. Il y a peu de jalousie, de jeux de séduction… Si l’autre intrigue, celle avec qui la romance est couplée, n’était pas présente, l’histoire tournerait très vite en rond.

Pour finir sur une note positive : j’ai beaucoup apprécié le clin d’œil à “Au bonheur des Fleurs” (précédente romance de Florence). Discret, bien inséré dans le roman, il fera plaisir aux connaisseurs. Pour les autres, leur introduction se fait d’une manière très naturelle, vous n’y verrez que du feu.

Comme d’habitude, je chipote, je chipote… mais je suis toujours aussi fan de la plume de Florence Charbaut.
J’aime les structures cadrées dans lesquelles ses histoires d’amour prennent place, les péripéties de ses héros, et sa plume que je trouve bien adroite et addictive. Bien sûr, même si la romance palpite un peu moins par moment à mon goût, elle reste attachante.
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date : 24-02-2022
J’en attendais beaucoup de ce récit, au vue de ses commentaires et notes élogieuses sur internet (et de cette sublime couverture).
Et peut-être que j’en ai attendu trop, justement...

J’ai bien accroché à “Résistement vôtre“ grâce à la romance.
L’histoire d’amour entre Ninon et Wilhem m’a beaucoup plu. Caroline Mertz a su leur fournir de sacrés bagages d’aventures, d’embûches, de secrets, d’évasion et de silences afin de mettre leurs sentiments à rude épreuve. Je ne pensais vraiment pas à aller aussi loin avec eux !
Les intrigues sont structurées, bien décrites et surtout, cohérentes.
La Romance a su parfaitement remplir son rôle. Elle oblige les héros à se surpasser et le récit à se mouvoir vers d’autres chemins qu’initialement prévus.
Le seul petit bémol que j’aurais à avancer, c’est le changement d’égard de Ninon envers Wilhelm qui m’a semblé trop facilement effectué.

Là où mon ressenti dégringole, c’est sur l’immersion historique.
Je ne me suis pas sentie emportée à l’époque de la Seconde Guerre Mondiale. Je reconnais certains passages plutôt bien décrits, mais dans la grande majorité, le ton n’y était pas.
L’historique aurait été un récit fantastique ; les allemands, des vampires, j’aurais ressenti la même chose.
Certes, la romance est picorée de faits historiques, de mots allemands et du champs lexical attribué à cette période historique mais ça n’était pas suffisant pour moi.
Condenser tous les éléments de cette guerre dans une “simple” romance était compliqué, je peux l’entendre. De plus, il ne s’agit pas non plus d’un reportage sur Arte. Mais l’Histoire a été trop écrémée à mes yeux, trop “auto-centrée” sur les besoins des intrigues et de la romance.

Il y a aussi la forme qui a joué en ce sens. L'utilisation du “je + présent” donne un air beaucoup trop contemporain au récit. Au travers de certains passages, j’ai senti la romancière de vingt ans vivant au XXIème siècle, avec ses connaissances du passé (et son jugement, aussi, parfois) et pas la jeune femme du même âge qui vivait l’Histoire.

En réalité, la questions que je me pose c’est “Est-ce que “Résistement vôtre” est à destination d’un jeune public ou d’un public adulte ?” Si c’est le premier cas, alors je peux concevoir que l’Histoire ait été très succincte et apportée avec pudeur et pédagogie. En revanche, si c’est bien l’option deux, ce n’était clairement pas assez pour une romance historique.

Par ailleurs, j’ai bien aimé la volonté de l’auteure à vouloir rendre humain l’ennemi.
Si je plussoie Caroline d’avoir choisi cette voie pour Wilhelm, je déplore le fait que ça n’a pas été appliqué à son héroïne, Ninon. Je l’ai trouvé égoïste, égocentrique et très mesquine. Elle oubliait qu’elle était en guerre (une autre explication plausible sur le fait que je ne me suis pas sentie complètement immergée dans l’Histoire).
Parfois Wilhelm aussi se montrait trop “compassion / jugement XXIème siècle” mais je l’ai senti beaucoup plus terre-à-terre et alerte vis-à-vis de la situation. Il avait un comportement plus cohérent.

J’ai également trouvé plusieurs “tics” dans l’écriture. Beaucoup de phrases comportaient la même structure et avaient un “même si” / “et pourtant” / “Bien que”.

Néanmoins, d’un point de vue global, tout se déroule bien. Le rythme est très bon, le suspens est présent malgré tout. C’est assez fourni en personnages secondaires et en action, on ne s’ennuie jamais. Et puis, comme souligné ci-dessus, la romance est à la hauteur de ce genre de récit.

Pour conclure, si l’histoire d’amour m’a plu, l’aspect historique m’a déçue. Je m’attendais à un récit plus prenant et pertinent sur l’Histoire. Ce n’est pas totalement dénué d’incohérences, loin de là, mais même en n'étant pas historienne, j’ai décelé certains propos inexacts et un manque d’immersion.
Un grand oui pour la partie romance, un gros “MAIS” pour la partie Histoire.

Si tu aimes les belles histoires d’amour sans te soucier de l’esthétique précise de la période historique, alors tu devrais beaucoup aimer “Résistement vôtre“. Mon avis n’est pas aussi enthousiaste que les autres, mais je reconnais le travail de Caroline Mertz, le cadrage impeccable de ses intrigues et sa romance très bien ficelée.
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date : 17-02-2022
Il y aurait tant à dire sur la beauté de l'écriture de Gaëlle Ausseré que je pourrais passer des heures à lui faire des éloges. Ce n’est pas qu’une simple auteure de romance, non. Gaëlle est aussi une auteure de Vie, une écrivraine d’Espoir, une conteuse d’instant suspendu, de rencontres et de destin. Elle souffle, à travers ses récits, de jolies bulles de sensibilité et d’Amour.
Jamais je ne m’ennuie, jamais je ne reste de marbre devant l’histoire de ses héros.

Dans “Couleur de lac“, Gaelle a, une nouvelle fois, réussi à m’émouvoir. L’histoire de Gabrielle et Melvil, c’est un morceau de vie, un instant d’Amour, de réalité, une énigme du destin avec une délicieuse touche de fantastique.
J’ai intercepté cette histoire comme un “bisou volant” et l’ai attachée à mon cœur.
Si j’ai préféré la lancinante et silencieuse douleur de la Seconde Guerre Mondiale dans “Qu’une parenthèse“, la déchirante tragédie qui subvient dans “Tu sais où me trouver” ; “Couleur de lac” n’en reste pas moins dénuée de beauté ni de sens.
C’est excellement bien écrit. Le ton est juste et l’harmonie qu’elle dégage pétille de sagesse.
La patte de Gaëlle Auserré ? La narration d’une belle romance avec ce sentiment que… quelque chose cloche. Un sentiment pesant, une sensation lourde se met en place. On nous cache quelque chose… Mais quoi ?
Un mystère se met en place, attrapant suspens et questionnements avec lui.

J'apprécie beaucoup le pouvoir délicat et subtil qu'à l'auteure, au travers de ses romances, de nous rappeler l’antithèse de la vie. La vie ne tient qu’à un fil. Elle est fragile, instable. Mais aussi tellement belle !

Bref, si tu n'as jamais rencontré la plume de Gaëlle Ausseré, il faut y succomber au plus vite :) !
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Cette suite est à la hauteur du premier tome ! Rythme et suspens maîtrisés ; structure des intrigues, cadrée ; personnages, complets. Tout est au rapport, millimétré et judicieusement bien placé. Il ne reste plus qu’à se laisser glisser sur les pages et vivre l’histoire.

J’ai tout aimé dans ce récit. Bien que moins peuplée d’actions fortes et de découvertes, la majorité du fil rouge ayant été dévoilée dans le tome 1" , cette suite souffle des notes de fraîcheur et d’impulsivité. Il y a de nouveaux personnages, des révélations et les réponses aux questions laissées en suspens dans le tome 1.
“Gaïa” porte avec beaucoup de charisme ce rôle de “second et dernier tome”.

Megära a une plume magnifique. J’admire le soin donné à chaque aspect de son récit.

Bravo pour cette duologie, c'est un coup de cœur !
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date : 17-01-2022
M.G. Le Floch possède un je-ne-sais-quoi qui envoûte rapidement l’attention.

Le combo “enquête, mystère et romance” est une recette qui fonctionne. Mais encore faut-il avoir les bons ingrédients, une touche d’originalité et la maîtrise d’une plume pour offrir un spectacle enivrant.
Pari réussi pour M.G. Le Floch !

J’ai été saisie par le parallèle troublant entre nos deux héroïnes et sa mise au point adroite. En effet, le destin d’Edwige et celui d’Hermine, qu’un siècle sépare, se retrouvent étroitement liés ; résultat d’une minutieuse coordination qui prouve tout le talent de l’auteure !
J’ai failli ne pas dormir de la nuit tant j’étais obsédée et avide de découvrir le fin de mot de cette histoire.

Mon minuscule bémol est de ne pas avoir été transcendée par la résolution. Après avoir vécu tout ça, il m’a manqué un “OH P***IN !” pour clore ce récit à la perfection. Mais occulter le côté sensé de cette fin, ainsi que tout ce qui précède : les énigmes cohérentes, l’électricité qui crépite à chaque chapitre, et surtout la peur (ohlalala, ne pas lire ce roman seule en pleine nuit !) ne serait pas respectueux de ma part.
M.G. a vraiment fait un somptueux travail !

La romance, sur les deux parties de l’histoire, m’a enchantée. Elle s’est parfaitement fondue dans ce décor énigmatique et a joué le savoureux rôle de “cerise sur le gâteau”.

Pour finir, j’aurais juste un petit “beug” sur la forme à soulever. Plusieurs fois, je pensais que les personnages étaient à un tel endroit, puis en fait deux lignes plus tard on les retrouve ailleurs. Par exemple, sur un paragraphe, j’imaginais nos deux amoureux avoir une discussion dans le lit, mais finalement, on parle de capot de voiture. Il m’a manqué des liens, quelques lignes pour mieux suivre l’action, car parfois j’étais perdue.
(Ou bien était-ce moi, qui, hypotonisée par l’action, n’avais pas correctement lu ?)

Quoi qu’il en soit, je retiens juste la vitesse à laquelle j’ai avalé cette histoire et le coup de cœur que j’ai eu au fil de ma lecture !
Je suis devenue une grande fan de cette auteure et il me tarde de lire sa prochaine sortie.
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date : 09-01-2022
Elodie Morgen a une plume merveilleuse !
Sur la forme, je n’ai rien à redire.

Aborder l’Egypte ancienne en tant que “tournant” fantastique était une sacrée bonne idée !
(Rien à voir, mais je trouve dommage que cet aspect soit peu exploité en littérature du genre. Il y aurait tellement à faire.)
Il en va de même pour notre héros Auguste. J’ai pour habitude de lire des romances portées par des héroïnes et de ressentir ce besoin de m’identifier à elles pour m’imprégner d’une histoire. Ici, eh bien… J’ai glissé sans souci dans la tête d’un vieux monsieur de 99 ans et c’était fascinant.
Et comme chaque détail est dépeint avec pudeur et beaucoup de douceur, notre héros m’a beaucoup touchée.

Malheureusement, et c’est un avec le cœur lourd que je m’exprime, l’association “Egypte / Vieux monsieur en EHPAD” ne m’a pas transportée plus que ça. J’ai adoré la partie sur les dieux égyptiens. J’ai beaucoup apprécié la vie d’Auguste. Mais les deux ensemble ne m’a pas déclenchée de coup de cœur.
Quand deux mondes se rencontrent, j’aime voir que l’univers de l’un sublime l’autre. Dans “Le Don d’Anoukis“, je n’ai pas trouvé cette étincelle. La finalité de ce mélange m’a un peu échappé. Peut-être est-ce le fait que ce soit “trop” original, pour le genre ?
L’auteure a pourtant trouvé quelque chose de cohérent, une structure solide et une histoire concrète. Tous les personnages sont intéressants à suivre, font bouger le récit, animent l’histoire, poussent les intrigues, apportent une touche de suspens…
La connexion se fait entre ces deux mondes, mais ça ne m’a pas transcendée plus que ça.
Si ces deux univers ne s’étaient pas croisés, ou qu’un autre aurait pris leur place, je trouve que chacun d’eux aurait pu maintenir sa trajectoire sans souci.
Néanmoins, la partie romance était très touchante. Chez l’un comme chez l’autre, elle a su apporter une touche de malice et de suspens.

Ceci dit, je réitère mon admiration pour le talent d’Elodie Morgen. Si je suis allée jusqu’au bout du récit, c’est en grande partie grâce à sa plume.
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J’ai adhéré rapidement à la plume de l’auteure. Grisante, fluide et intrépide, elle emmène le lecteur avec une incroyable facilité, et ce, dès les premiers mots.
La forme ici, embellit à merveille le fond !

Et cet aspect, je l’ai beaucoup, beaucoup aimé pour la romance. S.L. Pennyworth a su mettre sa palette d’émotions au service de son histoire et le résultat est très jouissif. La relation entre Lilly et William ne comporte aucun mot pimenté, aucune notion déplacée, aucune vanne graveleuse ni de proposition indécente. Et pourtant… Que j’ai eu chaud ! L’auteure a privilégié des situations périlleuses, des regards et mots échangés avec une certaine intention ainsi qu’une sourde et latente électricité
J’ai aimé la synergie qui les entoure et la tension grandissante à chaque chapitre.
Le courage et la ténacité de Lilly ont fait beaucoup, j’étais vraiment à fond derrière elle !
J'ai juste deux petits "bémols" concernant la romance :
Spoiler(cliquez pour révéler)
La scène charnelle que j'aurais voulu un chouia plus détaillée et des explications plus fournies quand William prend sa décision à la fin.


J’ai également beaucoup aimé les autres éléments qui entourent la romance. Le décor américain était très adéquate pour l’histoire d’amour.
Et aussi – et surtout – l’intrigue secondaire sur le fameux carnet Cherokee évoqué dans le résumé. Elle a réussi à animer le récit tout en servant la romance sans prendre sa place et c’était vraiment pas mal.
Il est d’ailleurs question d’un prochain roman centré dessus et Dieu que j’ai hâte !
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date : 02-01-2022
"Hot Chocolate" narre une romance aux abois d’une sombre intrigue prenant place à la période de Noël.
J’apprécie beaucoup la plume de l’auteure. Le récit est palpitant, cadré et travaillé.
J’ai été embarquée du début à la fin, tenue en haleine jusqu’au bout ! Mais je n’ai pas été sensible à son mariage avec la période Noël qui n’a, à mes yeux, apporté aucune plus-value à l’histoire.

La romance ne m’a pas embarquée plus que ça. J’ai apprécié les héros et leur histoire dans leur globalité ainsi que l’antagoniste qui m’a prise au dépourvu. Cependant, le début de leur relation est trop “facile” à mon goût. J’ai eu un peu de mal à leur trouver un réel attachement et la conclusion de l’histoire est précipitée.
Noël se retrouve donc mis de côté par le côté “thriller” de l’histoire, obligé de faire acte de présence parce que l’histoire se déroule en décembre, et sert très peu d’appui à l’histoire d’amour.

Ce roman a été tout de même un bon moment de lecture, avec une histoire originale et saisissante. Je suis déçue de ne pas avoir eu ma romance de Noël, comme le résumé laisse à croire je trouve, mais ce récit démontre la qualité de la plume de Sara Flores.
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“Un noël sous tension” n’est pas une romance de noël ordinaire. En effet, derrière son titre et quelques éléments éloquents au début, l’ambiance de Noël n’est finalement que peu présente au sein de l’histoire.

J’ai l’habitude de croiser la plume de Florence Charbaut sur la route des comédies romantiques, et, au vu du résumé super alléchant, je m’attendais réellement à lire une histoire digne des meilleurs téléfilms.
Néanmoins, la romance ne m’a pas totalement déplu.

Une fois l’idée ingérée que la magie de Noël ne prendra pas part au récit, l’histoire reste très addictive.
Je suis une grande fan de la plume de l’auteure et c’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai finalement bien aimé son récit. La romance m'a paru un peu trop "facile". Mais pour le reste, c’est très bien écrit, original, fluide et cadré.
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