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Clémentine met au monde des triplés. Mais la souffrance que lui a infligé cette grossesse et ces naissances la poussent à ne plus adresser la parole à son mari, Angel. Elle l'empêche ensuite de participer à l'éducation des enfants. Clémentine reporte alors sur ses enfants son besoin d'aimer, et est hantée par l'idée qu'il pourrait leur arriver quelque chose. Pour lutter, elle arrache les arbres du jardin, se créant une sorte de 'mur de protection'. .. Mais nous, qui restons sur la rive, nous voyons que Boris Vian décrit simplement notre monde. En prenant chacun de nos mots habituels au pied de la lettre, il nous révèle le monstrueux pays qui nous entoure, celui de nos désirs les plus implacables, où chaque amour cache une haine, où les hommes rêvent de navires, et les femmes de murailles.
Un livre dérangeant à souhait. L'absurde est plus que présent eu point qu'on ne comprends le sens du texte que très peu de temps avant la fin. entre les travers sociétaux généralisés et le concept de parent toxique on tient une bonne couche d'humanité pour un récit qui brasse.
C'est mon premier livre de Boris Vian mais ça ne m'a pas convaincue d'y retourner.
J'ai lu un peu plus de la moitié. Alors je sais pas si je n'accroche plus à Vian (parce que j'ai bien aimé d'autres que j'ai lu, mais y a un moment), mais là j'ai pas pu. L'histoire ne m'accroche pas, j'ai l'impression qu'elle va nulle part, et le côté fantasque est ici glauque et parfois juste on dirait que l'auteur était défoncé (alors que dans l'Écume des jours par exemple il y avait une cohérence dans le surréalisme).
Résultat je m'ennuie en le lisant, je n'ai pas l'impression qu'il y ait de fil rouge, aucune intrigue, juste un décor, et le seul plaisir est parfois dans certaines tournures et étrangetés de forme de l'auteur, qui lui sont propres et habituelles.
Bref, je perçois une qualité à laquelle je n'ai pas été sensible, mais du coup, comme d'hab dans ce cas, je ne me force pas : il y a trop de livre dans le monde pour me forcer à en lire un qui ne me plaît pas.
Un livre mêlant l'absurde au réel, de manière un peu étrange, à peine perceptible au début. Je n'étais pas une grande fan de Boris Vian, et je ne le suis pas devenue. Je n'ai pas accroché l'écriture et "l'histoire", moins poétique et parlante que L'Ecume des Jours :'(
Dernier roman de Vian ... et ce n'est pas le meilleur ! On y retrouve l'absurde, l'imagination et l'écriture si débridés de l'auteur de l'Ecume des Jours, mais la magie n'opère plus vraiment. Tout devient alors désespérément désespéré, sans même l'amour pour sauver le genre humain. D'une tristesse infinie du début à la fin. Encore un Boris Vian, qui, comme "l'Ecume des jours, bouleverse et emporte le lecteur dans un monde étrange. Il en devient presque difficile de suivre ses pensées, d'arriver au même point que le narrateur ou le personnage. On pert pied, on s'égare, mais on s'envole, on se laisse surprendre à chaque seconde. En bref, un superbe texte servi par une belle plume. réserver aux amoureux de Vian.
Mon second livre de Boris Vian dont la lecture m’a rendue perplexe.
Le récit est noir, déroutant, violent et triste avec un peu d'humour, beaucoup d'imagination. Malgré un texte court, il y a quelques longueurs et j'ai eu un peu de mal à accrocher à l'histoire. J'ai cependant bien aimé le côté surréaliste côtoyant la réalité. L'auteur nous plonge dans un univers étrange, onirique, surprenant, mélancolique et absurde des us et coutumes d'un village. Les réactions et la façon de vivre des habitants sont l'opposé de ce qu'on appelle notre "normalité". C'est choquant, immoral, avec une temporalité indéfinie.
Je ne saurai dire ce que j'ai vraiment ressenti à la fin de cette lecture. Je n'ai ni détesté ni aimé. Le style m'a plu, et j'ai trouvé l'histoire originale, mais il y a un côté vraiment malsain et cynique qui s'en dégage.
Le premier Boris Vian que j'ai pu lire, un peu trop jeune peut-être pour en saisir tout son sens, je devais avoir quatorze ou quinze ans mais je ne l'ai non moins apprécié.
Je pense le racheter d'ici quelque temps pour une seconde lecture avec un regard d'adulte sur ce roman.
J'ai trouvé le roman assez déstabilisant maos d'un côté la lecture est fluide et joliment bien utilisé pour les mots à la fois poétique et musicale. Je ne connais pas d'histoire similaire à celle-ci.
Tout d'abord le nom du personnage principal, Jacquemort s'annonce déjà bien la couleur du roman. Ensuite une mère extrêmement possessive de ses trumeau, que son obsession devient effrayant et de la pure folie.
Le curé et le sacristain me font rire et et c'est eux qui m'ont plus diverti dans la lecture.
Une histoire courte qui se lit vite avec un certain gêne ou troublant mais grâce à la plume de Boris Vian, nous parviendrons à le finir sans doute.
Je ne pense pas à conseiller ce livre à tout le monde, mais lire par curiosité est intéressante !
Un livre dérangeant à souhait, qui nous plonge dans un univers déformé et cruel, reflet de notre société actuelle et de toutes les horreurs qui peuvent s'y passer. J'ai fini le livre en une soirée, j'ai beaucoup accroché malgré que le récit m'ait remué au plus profond de moi
Ce livre me laisse perplexe, je ne sais pas si j'ai aimé ou non ...
C'est très bien écrit, pleins de métaphore et d'imaginaire. J'ai été à la fois émue et troublée par les émotions de clémentine et son amour destructeur pour ses enfants, et dégoûtée par le mode de vie des villageois. Jacquemort me semble être un personnage plutôt passif, alors qu'il est présent tout le long de la narration. Je suis totalement déroutée par cette lecture, je ne sais pas quoi en penser!
Découverte de Boris Vian, et je peux dire qu'elle fut belle. Si le début m'a déconcertée par sa singularité, je m'y suis vite faite, les yeux ravis par la poésie des mots qui m'étaient offerts.
L'intrigue est fascinante, les personnages déroutants. Entre attendrissement pour les "trémeaux" et dégout pour les membres du village, le récit ne laisse pas indifférent. Les problématiques soulevées interrogent, et les réflexions satyriques de l'auteur amusent en même temps.
L'écriture est sans doute le plus bel atout de ce roman, sifflotant malicieusement un récit entre imaginaire, impertinence, et prose.
Résumé
Clémentine met au monde des triplés. Mais la souffrance que lui a infligé cette grossesse et ces naissances la poussent à ne plus adresser la parole à son mari, Angel. Elle l'empêche ensuite de participer à l'éducation des enfants. Clémentine reporte alors sur ses enfants son besoin d'aimer, et est hantée par l'idée qu'il pourrait leur arriver quelque chose. Pour lutter, elle arrache les arbres du jardin, se créant une sorte de 'mur de protection'. .. Mais nous, qui restons sur la rive, nous voyons que Boris Vian décrit simplement notre monde. En prenant chacun de nos mots habituels au pied de la lettre, il nous révèle le monstrueux pays qui nous entoure, celui de nos désirs les plus implacables, où chaque amour cache une haine, où les hommes rêvent de navires, et les femmes de murailles.
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