je sais que c'est dur crois-moi
je sais que tu as l'impression que demain ne viendra jamais et qu'aujourd'hui sera la journée la plus difficile à traverser mais je te jure que tu la traverseras la douleur passera comme elle le fait toujours si tu lui donnes du temps et la laisses être la laisses s'en aller lentement
comme une promesse rompue la laisses partir

ma langue a le goût aigre de la faim du manque de toi

quelqu'un peut-il expliques cela. comment se fait-il que même quand l'amour part il ne part pas. comment est-ce possible que même quand je suis si loin de toi je suis si inexorablement ramenée vers toi.

- Lois ?
Il me débarrasse de mon masque de beauté et ricane en découvrant ma figure marbrée de bouffe. Il m'enlève le morceau d'oignon qui s'est logé dans mes cils, et je combats l'envie qui se réveille dans mon ventre.
- Je te déteste, j'assène en prenant une inspiration entre chaque mot.
C'est tout l'inverse, en réalité. Et c'est douloureux.
J'arrête de respirer quand Lane se penche vers moi, mais c'est seulement pour attraper un mouchoir sur la table basse. Imbécile!
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- J’ai envie d'une pizza, je lui confie en faisant une petite moue.
-Le prospectus n'a pas changé de place.
-Non, je veux une pizza maison. On a tout ce qu'il faut dans la cuisine, viens la faire avec moi !
-Lois, tu ne vas pas le croire, mais il y a des gens qui font ça très bien et qui les amènent même à domicile.
-Allez, s'il te plaît ! C'est notre dernière soirée!
Je retiens mon souffle et force mes lèvres à s'étirer.
- Tu sous-entends que tu ne viendras plus jamais chez moi après ça?
- Non, non ! Bien sûr que non. Mais ce ne sera pas pareil.
- Je ne te trouverai plus en train de ronfler sur mon canapé le lendemain matin, il débite d'une voix songeuse.
- Voilà.
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Sa main glisse dans mon dos et se pose sur ma taille. Mary rigole tellement qu'il lui faut trois essais pour parvenir à immortaliser ce moment.
- Envoie-moi cette photo sur mon téléphone,
maman.
- Si tu la diffuses, je te découpe en petits
morceaux.
- Je savais que tu étais un psychopathe, elle rétorque en me pinçant le flanc. Heureusement que j'aime vivre dangereusement.
- Heureusement que je t'aime, je marmonne sans réfléchir.
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Alors, pour s'y retrouver dans la vie, pour ne pas se perdre en chemin, il faut écouter la voix du devoir. Penser trop par soi-même, c'est trahir. Celui qui comprend ce secret a des chances de vivre en paix.
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Sidney est mon univers à lui tout seul, et je ne crois pas me tromper en disant que je suis le sien.
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Tu es si petite, pourtant tu prends tellement de place.
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On ne naît pas féministe, on le devient.
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La maternité n’est ni un devoir ni l'unique moyen d’accomplissement d’une femme.
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Une chose est sûre : l’Europe ne se fera pas sans les femmes. Mais de l’avenir des femmes peut naître celui de l’Europe.
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Le viol est comme une mort inoculée aux femmes un jour de violence. Elle coexiste avec leur vie en une sorte de parallélisme angoissant.
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Luke m’attrape le menton et relève mon visage pour joindre ses lèvres aux miennes. Dans ce baiser se déverse tout ce que l’on ne se dit pas, nos peurs, nos désirs, nos rancœurs, nos nécessités.
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Il s’en rendait compte désormais : l’aimer était son destin.
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Alors, j’ai pensé à ce qu’avait dit ma mère à Sean.
« Je me suis dit qu’un meilleur ami était plus précieux qu’un amoureux. »
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Rien n’avait changé : aujourd’hui comme hier, pour braver le courant, nous nous tenions la main.
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- Je pense, continua-t- il lentement, que si je vous emmenais là-haut contempler les étoiles, cela ne susciterait pas une trop vive agitation.
Poppy se figea.
- Que venez-vous de dire ?
Le capitaine se retint visiblement de sourire.
- Vous avez très bien entendu.
- Il faut que vous le disiez, chuchota Poppy. Il faut que vous prononciez les mots.
Il fit un pas en avant, juste suffisant pour s'incliner galamment devant elle.
-Ma chère mademoiselle Bridgerton, murmura-t-il, aimeriez-vous m'accompagner sur le pont ?
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Billy : A la fin du coup de fil, Camila a dit qu'il fallait qu'elle y aille. J'ai dit : "D'accord" et, je me souviens, elle a répondu : "D'accord, chéri, on t'aime.'
Je n'ai pas compris. "On ?"
"Le bébé et moi"
Et ça m'a... Je crois que j'ai raccroché le téléphone avant même de dire au revoir
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- Le faisceau lumineux ne va pas te manquer ?
Elle le dévisagea, puis s'intéressa de nouveau à la mer qui clapotait, semée de reflets dorés.
- C'est toi, ma lumière, répondit-elle doucement.
Il la serra contre lui, et s'enfouit le visage dans son abondante chevelure.
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— J’espère qu’Hector te tuera ! crache-t-elle.
La respiration d’Achille est rauque.
— Tu ne crois pas que j’espère la même chose ?
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« Tout seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin… »

- Je lui ai déjà dit de m'attendre à la plage cet après-midi pour discuter. Personne n'a le droit de traiter ma soeur comme ça.
Je me hausse sur la pointe des pieds pour l'embrasser.
- Il y a quelques mois, tu n'aurais jamais dit cela.
- Il y a quelques mois, tu n'étais pas avec moi.
Il se penche pour me donner un baiser.
- A ce soir !
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- Désolée, moi, je déteste Scooby-Doo ! fais-je pour voir sa réaction.
En réalité, moi aussi, quand j'étais petite, j'aimais bien regarder ça à la télé.
Il m'observe en silence quelques secondes, tandis que j'essaie de garder mon sérieux.
- C'est terrible ! commente-il. Mais, chose bizarre ça ne m'empêche pas de t'aimer encore plus.
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- Hé, mon cœur, je plaisantais ! murmure tendrement Cameron.
Il prend doucement mon visage entre ses mains. Mes yeux se remplissent de larmes tandis que je le serre fort contre moi.
- J'ai eu peur de t'avoir perdu, je lâche, bouleversée.
- Tout va bien, mon cœur. Ne t'inquiète pas.
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- Dis plutôt prévisibles et banals ! Ils finissent tous de la même manière. Tu n'as pas besoin de films d'amour quand tu vis une histoire vraie avec un garçon qui est fou de toi !
Soudain, Cam s'écarte.
- Tes parents sont à côté. Je m'efforce de leur faire bonne impression, et tu ne m'aides pas..., dit-il en repoussant une mèche de cheveux derrière mon oreille.
Je l'embrasse sur la joue.
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