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Je constate. Nous nous gavons des ressources, nous pompons tout ce que nous pouvons, en songeant déjà à la prochaine planète qu'il nous faudra coloniser pour survivre. Heureusement, le mal est là, en nous, nous nous autodetruisons. On tente bien de colmater les brèches, mais la violence ne saurait être canalisée, les guerres surgissent par toutes les fissures du bandage. C’est par la violence que nous nous sommes hissés au sommet, c’est par elle que nous nous sommes structurés, elle est la pièce maîtresse de notre évolution, de notre suprématie, et maintenant on veut croire qu’on la contrôle, qu’on la maîtrise. Connerie. La haine, l’agressivité sont le cancer que nous portons en nous, et le paradoxe est cruel : sans lui nous aurions disparu quelque part dans la préhistoire, et pourtant il nous ronge, il a besoin de toujours plus d’espace, c’est la raison d’être de la violence : bouillonner, croître, exploser. On propage ce cancer de génération en génération, on le transmet à nos enfants. Faut juste espérer qu’il se généralise, qu’on s’entretue très vite, avant qu’on quitte la Terre, avant que l’épidémie ne contamine le cosmos.
Depuis le bureau et le cerveau hyperactif de Jay Crownover : Vous êtes en train de vous gratter la tête, perplexe, vous vous demandez d’où peut bien sortir ce livre ? Vous lisez et relisez le texte de présentation pour essayer de comprendre de quoi il parle ? N’ayez crainte, mes amis, avec ma franchise et mon honnêteté habituelles, je vais vous dire tout ce qu’il vous faut savoir pour la suite. Premièrement, si vous avez acheté ce livre uniquement car mon nom est écrit dessus, merci. Merci de me faire confiance. Merci de croire en moi. Et merci d’avoir foi en mes mots. Si vous l’avez acheté car vous aimez bien la couverture, que la présentation vous a intrigué, ou simplement en vous disant « pourquoi pas »... je ne vois aucun inconvénient à toutes ces raisons. Je veux vous dire que ce livre n’est pas un copier-coller de ce que j’ai écrit jusqu’à présent, donc si vous espérez voir des tatoueurs, des chanteurs de métal ou des voleurs de voitures, vous allez être déçus.
— Eh, je n’y peux rien si j’attire les gens comme le miel attire les abeilles. Ils rendent ça si facile.
— Tu as raté ta vocation de baron du crime.
— Qui a dit que je l’avais ratée ? lui demanda-t-il avec un clin d’œil. Disons que je suis ta femme fatale... si ce n’est que je ne suis pas une femme.
— Eh bien, j’espère bien. J’arriverais jamais à avoir le barreau sinon.
Paris fit un étrange bruit quand il pouffa d’un rire qu’il tenta désespérément de cacher, parce que rire sur une monstrueuse scène de crime n’était pas vraiment la bonne chose à faire. Roan dut ravaler son propre sourire narquois, mais avoir de l’eau à boire l’aida grandement.
Je suppose que vous devriez savoir dans quoi vous vous engagez avant de continuer. Si vous partez avant que l’histoire ne soit terminée, je ne vous blâmerais pas. Pas trop. OK, OK, je dirais sûrement que vous êtes une connasse derrière votre dos. Mais bon, c’est derrière votre dos, alors vous ne le saurez même pas. Donc, n’hésitez pas à partir. Connasse.