Isla est toute la lumière dans mon obscurité, et ce, à tout jamais.

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Elle prend ensuite le temps de se rhabiller avant de se caresser le ventre, ce qui me provoque une puissante vague d’émotion que je peine à décrypter.
— Je te protégerai jusqu’à ma mort, lui promet-elle.
On sera deux.

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— Tu tentes encore de fuir ? grogne-t-il sans ouvrir les paupières, d’une voix hachée par la fatigue.
— Quelle heure est-il ?
— Je suis un criminel, pas un horloger, sers-toi de ton téléphone.

Je cessai de respirer.

— Très spéciale ? répétai-je. Comment ?

— Tu t’es infiltrée sous ma peau pour envahir une partie de mon cœur et je t’ai laissé faire.

Je choisis la lumière plutôt que l’obscurité de mon âme

Je suis Eden. Eden Santoro. Et si tu m’insultes encore une fois, je t’enfonce mon couteau dans les yeux. Puis je découperai tes minuscules couilles et je les ferai manger à mes chiens. Entiendes ?

– Alhan, continué-je durement, je veux que tu analyses la situation de très près.
Je me rapproche de lui.
– Parce que si tu laisses un homme, quel qu’il soit, s’en prendre à une femme, pour quelque raison que ce soit… tu ne seras qu’une pauvre merde, et je t’écraserai.

Je me retiens d’insulter tous ses morts, tout en posant mon sac à mes pieds.

– Tu sais, murmuré-je en caressant le haut de ma tasse, à force d’enfermer les chiens, ils finissent par mordre leur maître

— Elle est à moi, Mikhail, l’avertis-je, l’appelant par son nom de famille. Le seul à s’occuper de Juliet, c’est moi

— Incline-toi ou fais encore une révérence en ma présence, Juliet, et la prochaine fois je te mordrai. (Je frottai mon nez contre sa pommette, ce qui la fit frissonner, avant de reculer pour croiser son regard.) Et j’attends de ta part que tu me regardes quand je te parle.

— Oh… je n’en demande pas moins. C’est exactement ce que je veux. Un Joker n’est rien sans sa reine. J’ai besoin de ta folie. Je. Te. Veux. Toi.

— Tu aurais dû prendre soin de cette femme. Un diamant pur comme ça, avec autant d’audace, de folie, de fantasmes pervers, d’une beauté à faire pâmer tous les hommes, il fallait la vénérer… Il fallait faire d’elle… ta reine.

Je suppose que je le serai toujours. Mais tu m’aimes quand même.
― Ah oui ?
― Garrick !
Il éclata de rire et roula sur elle.
― N’en doute jamais, Brenna. Jamais. Tu es mienne, désormais, que tu l’admettes ou pas.
― Oh, je l’admets… avec plaisir.

— J’en ai fini avec vous. J’en ai fini avec toute cette merde. Je suis libre.

Elle.
Toujours elle
Éternellement elle.

Je suis née pour toi.
Il plissa les yeux. Sa pomme d’Adam tressauta. Il était aussi nerveux que moi. Ma respiration se fit plus courte.

— Trop tard pour essayer de me changer, esclave. Tu m’as épousé en connaissance de cause.
Ce qui faisait de moi le plus heureux des salopards

— Alors c’est toi qui finiras par le briser…

— Tu promets de me le dire si je vais trop loin ? Tu promets que tu ne me laisseras jamais détruire ton caractère, ta combativité, ton audace ? Tu promets de toujours rester forte…

Je souris sans pouvoir m’en empêcher, les mains enfoncées dans mes poches. Quelle magnifique garce

Je laisse un mot sur le comptoir de la cuisine avant de partir, en espérant que Tito le verra. Rien de très poétique, juste un beau  : « Va te faire foutre. »

C’est dépravé et immoral.
C’est une plongée en eaux troubles.
C’est parfait.

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La seule chose qui soit plus belle qu’une femme, c’est une femme enceinte. Quand votre graine prend racine en elle et que ses seins s’arrondissent, remplis de la promesse d’une vie nouvelle. Le ventre qui porte votre enfant prend du volume, et vous avez envie de l’aimer et de la baiser, tandis que le bébé se développe entre vous. Je sais que la beauté brute de Valentina, transfigurée par la maternité, me bouleversera.

Jace et Clary P791 avant dernière page du livre:

-ça te plaît, comme nom, << Herondale >> ? demanda Jace.
-C'est le tien, alors je l'adore, répondit-elle.
-J'aurais pu avoir pire comme nom de Chasseur d'Ombres, admit-il. Herondale, c'est assez mélodieux.
Imagine un peu : << Clary Herondale. >>
-Mon Dieu c'est horrible.
-Il faut savoir faire des concessions par amour, dit-il en souriant et en saisissant le Codex. C'est une citation du Paradis Perdu de John Milton.
-Evidemment, il fallait que tu le saches ! dit Clary avec tendresse en se collant contre lui.