Des jeux et des activités pour les plus petits et un quiz pour toute la famille. Il faut avoir du cran pour ouvrir ce livre. Un tueur franchement psychopathe, une tribu de cannibales qui a les crocs, des morts un peu trop vivants, une maison hantée... Préparez-vous à ne pas fermer l'œil ! Ces neuf histoires noires pour nuits blanches vous tiendront éveillés jusqu'au petit matin. Ce qui est mieux pour vous, d'ailleurs, chers lecteurs... Car avez-vous entendu ce bruit et pensé à regarder derrière la porte et dans votre armoire ?
Pourquoi a-t-il fallu que mon père arrête la voiture ? J'ai pourtant essayé de l'en dissuader. Je savais que c'était une mauvaise idée. Évidemment il ne m'a pas écouté. Les parents n'écoutent jamais. Rien de tout cela ne se serait produit s'il avait continué de rouler.
Nous étions partis en promenade, rien que nous trois, et cela avait été une journée vraiment formidable. Pour mon quinzième anniversaire, mes parents m'avaient emmené à Southwold, une petite ville balnéaire sur la côte du Suffolk. Nous y étions arrivés juste à temps pour déjeuner et avions passé l'après-midi à nous balader sur la plage, à faire du lèche-vitrines et à perdre de l'argent dans la minable galerie de jeux vidéo sur la jetée.
On pourrait penser que Southwold est un endroit plutôt moche, surtout pour fêter un anniversaire. Mais c'est faux. En réalité c'est un coin assez original, avec ses cabines de plage multicolores qui datent probablement de la reine Victoria, et ses canons postés sur la falaise qui sont là depuis plus longtemps encore. Il y a un phare, une brasserie, et un parc en pente douce qui semblent sortis d'un roman d'Enid Blyton. Les magasins proposent des articles que personne n'aurait envie d'acheter. Mais l'un d'eux, dans la rue principale, vend de fantastiques jouets en bois, notamment un cirque au complet qui s'anime avec une pièce de vingt pence, et la tête parlante d'Horace Nelson qui lève sa longue-vue devant son oeil borgne et se met à chanter. Et puis, à Southwold, on trouve d'authentiques fish & chips. Le poisson frétille encore quelques minutes avant que vous vous mettiez à table. Il y a aussi de vrais puddings qui baignent dans de la crème anglaise. Bref, c'est tellement démodé et tellement anglais que ça donne envie de sourire.
J'ai adoré ces nouvelles ainsi que de découvrir Anthony Horowitz dans des textes plus courts que ce que je lis habituellement de lui. Ses histoires sont excellentes, surtout la dernière qui, bien qu'elle soit la plus courte, n'en est pas moins bien pensée. L'humour noir de l'auteur dans certaines histoires m'a également beaucoup plu.
On peut dire que c'est un livre qui passe le temps mais c'est tout. Il n'y a aucun suspense, on ne s'attaque aucunement aux personnages et sa ne fait mais alors pas peur dutout, durtout. Faut dire aussi que je ne savais pas que c'était pour ado, même si je l'ai deviné quand j'ai commencé à lire ce livre.
Anthony Horowitz est un peu ma madeleine de Proust. J’ai grandi avec ses romans et il faut être honnête tout n’a pas bien vieilli. J’ai donc abordé ce recueil avec une légère appréhension que j’ai très rapidement rangé dans un coin. Les neuf nouvelles réussissent leur objectif de proposer des textes jeunesses pour frissonner. On peut les classer en deux catégories. La première correspond à des histoires où l’angoisse est posée dès le départ et offre une chute aux petits oignons. Pour les nouvelles de la seconde catégories, le début voire la majorité de l’histoire est assez banale, quelconque et au rythme un peu mou puis la peur arrive crescendo. Je suis friande des nouvelles à chute et j’ai été servie. J’ai aussi apprécié osciller entre noir et fantastique. Folie, meurtrier, cannibale, mauvais pressentiment, malédiction, vengeance… le programme est varié et fonctionne à chaque fois. Il y a juste une nouvelle axée religion, enfer et paradis qui est en dessous des autres et dont je n’ai toujours pas compris la raison d’être.
C’est une bonne lecture dont le niveau d’angoisse est adapté aux plus jeunes et aux adultes qui comme moi n’aime pas trop l’horreur.
Je ne me rappellais de pas grand chose à vrai dire ! (lu il y a lonnngtemps, et oublié depuis)!
Mais ces nouvelles d'horreur sont très sympathiques, et après le dégoût succède l'humour noir.
Ce sentiment de jubilation quand un dévoilement de l'auteur sur les événements nous surprend puis nous fait exhulter est tout simplement addictif.
Pas une histoire ne se ressemble, les personnages et les situations sont vraiment bien imaginés, jusqu'au trait d'humour de la fin à destination du lecteur, que je trouve brillant.
Un très bon livre qui à défaut de vraiment faire peur, nous embarque dans une noirceur originale, teintée d'un humour subtil.
Anthony Horowitz. J'avais maintes et maintes fois vu et entendu ce nom. J'avais choisi ce livre au hasard sans voir tout de suite qui en était l'auteur. J'ai vraiment adoré ! Déjà, parce que j'aime beaucoup les recueil de nouvelles. Et surtout parce que c'est rare de trouver de bonnes histoires d'horreur ou des thriller jeunesse. Je ne tarderai sûrement pas à ajouter d'autres de ses livres dans ma liste.
Musiques écoutées durant la lecture : The Witch's House OST.
9 nouvelles aussi frémissante et terrifiante qui vous subjugue autant qu'elles vous effraye. Sincèrement j'ai adores ces 9 nouvelles toutes différentes mais elles ont tous le point commun de faire peur ! Alors si vous avez le cœur accrocher lisez ce livre !
Très bon livre, avec 9 petites histoires pas très longue et qui se lisent rapidement. Je m'attendais plus à de l'horreur, qui m'aurait soit fait frémir soit hurler. Mais non, je suis rester neutre, aucune peur, aucun frisson, que du plaisir à lire.
Ma nouvelle préféré reste toujours " L' Ascenseur". un petit résumé: Pendant les achats de Noël avec ses parents, un petit garçon rentre dans l'ascenseur opposé à celui de ses parents. Dans cette ascenseur, il y a d'autre personne soit une vieille dame, un homme avec une canne, un homme qui mâche de la gomme, un autre qui a un ballon de foot dans son bras etc. Le problème? Quand l'ascenseur arrive, le petit garçon ne sort pas, il n'est pas là, pfiou il a disparu. Sauf qu'on sait qu'il est entré...
"L'Auto-stoppeur : 9 nouvelles noires pour nuits blanches" sont en réalité 8 histoires et demi, le dernier récit étant plutôt un défi, pourvu que les jeunes lecteurs à partir de 13 ans à qui s'adresse ce recueil, se prêtent au jeu caché dans le texte. Parmi les huit courtes nouvelles à la chute surprenante, abordant (e.a.) un tueur (?) ramassé sur la route (l'Auto-stoppeur), la télépathie par prothèse interposée (Le son du meurtre), une disparition inexplicable et un goût prononcé pour la viande humaine (l'Ascenseur), un rêve prémonitoire (Vol 715), le téléphone de l'au-delà (Abonné absent)...., ma favorite a été "Brûlé", nouvelle à proscrire à tous les adorateurs de bronzage sur la plage ! Parce que c'est certainement dans celle-ci que l'humour, grinçant, est le plus perceptible. Mais toutes ces nouvelles au suspense captivant, effleurant par cinq fois le surnaturel, procurent ce délicieux petit frisson qu'on est en droit d'attendre d'une bonne histoire dans laquelle l'inattendu domine.
Je ne suis pas le genre de personne qui a peur devant un film d'horreur ou un livre traitant e sujet généralement. Et pourtant je me souviens d'avoir lu ce livre il y a quelques années et qu'il m'avait angoissé et rendu parano ahah.
Les histoires sont bien menées et marquantes, vu qu'aujourd'hui encore il m'arrive de me référer à ces histoires pour faire peur aux gens.
Résumé
Des jeux et des activités pour les plus petits et un quiz pour toute la famille. Il faut avoir du cran pour ouvrir ce livre. Un tueur franchement psychopathe, une tribu de cannibales qui a les crocs, des morts un peu trop vivants, une maison hantée... Préparez-vous à ne pas fermer l'œil ! Ces neuf histoires noires pour nuits blanches vous tiendront éveillés jusqu'au petit matin. Ce qui est mieux pour vous, d'ailleurs, chers lecteurs... Car avez-vous entendu ce bruit et pensé à regarder derrière la porte et dans votre armoire ?
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