Le Chœur singulier de Milly Davis

Dans cette histoire, découvrez les destins entremêlés de Milly Davis, jeune écrivaine en mal de confiance en elle et son héroïne, la jeune Lady Templeton en quête de liberté.

Après l'écriture du premier roman d'une fresque historique à succès, Milly, en digne perfectionniste reprend ses études et décide d'aller parfaire ses connaissances historiques dans l'espoir de rendre son récit aussi réaliste que possible.

Avec le soutien de sa fantasque grand-mère Maggie, sa confidente Lyra et l'aide inattendue du professeur Alphard Burton, professeur d'archivistique, Milly relève le défi d'écrire ce deuxième roman tant attendu. Tout au long de ce processus, Milly sera amené à écrire son destin tout autant que celui de son héroïne

J'ai passé un très beau moment de lecture, les pages se tournaient toutes seules et pourtant, j'ai mis du temps à le refemer définitivement tant j'étais à mon aise dans le petit cocon que s'était tissé Milly.

Il y a bien eu un petit élément du récit qui m'a fait grincer des dents, mais je m'y suis faite en cours de lecture et j'ai achevé le dernier chapitre avec l'envie de prolonger davantage ce voyage en si charmante compagnie.

Des personnages attachants, une ambiance Dark academia très réussie et un récit mené d'une main de maître, j'ai tout simplement adoré 📚. Très beau coup de cœur pour ce roman qui m'a totalement emportée.

Milly, Milly, Milly...

A travers près de 800 pages tu m'as fait pleurer, tu m'as fait rêver et rire aux larmes. Je t'ai adoré dès les premières lignes. Toi, tes proches et tes singularités qui faisaient écho aux miennes. Ton histoire m'a parlé et tu resteras à jamais gravée dans ma mémoire.

Maggie, Daria et les autres ont réchauffé mon cœur et donné des crampes aux joues. Leur différences et leur tolérances ainsi que leur force et leur amour sans limite m'ont touché en plein cœur.

Chaque page était une douceur et je n'en regrette aucune.

Le voyage en Ecosse (que j'ai moi même réalisé la même année que ma lecture) ma permise de rêver à nouveau de ces lieux, des ces rues, de cette Brumes et de cette atmosphère unique et mystique.

Merci Milly d'avoir partagé ce beau et doux voyage avec moi.

Ta dévouée lectrice.

J'ai adoré cette héroïne. Pour une fois on peut-être introverti et ce n'est pas un problème et personne ne l'oblige à changer. Sa relation avec sa grand-mère est très belle ! Un très bon roman pour moi plein de douceur et d'amour.

Gros coup de cœur !

J'ai adoré la plume, le style, cette ambiance littéraire et douce. Je l'ai dans une période où je n'étais pas très bien et il était mon réconfort en rentrant chez moi.

Les personnages sont incroyables, bien construit et surtout très attachant.

Chacun d'échange ce charme et ce charisme et j'ai adoré Milly et Alphard qui arrive a créer une harmonie dans leur relation.

Une très belle découverte que je recommande vivement.

Que dire à part que j'ai adoré ce roman, comme beaucoup d'autres d'ailleurs. Les avis dithyrambiques que j'ai pu lire m'ont donné envie, moi aussi, de plonger dans l'univers de ma chère éditrice que je connaissais comme cheffe d'entreprise, éditrice et j'ose espérer aujourd'hui, comme amie ! En plus d'être une véritable révélation amicale j'ai découvert sa plume et j'ai été subjuguée.

Les romans contemplatifs, ce n'est pas trop ma tasse de thé d'habitude mais ici, j'ai été transportée, entre Ecosse et les bancs de la FAC. Mais c'est surtout ses personnages hauts en couleurs que j'ai adoré : Maggy, la grand-mère qui ne veut pas être définie par ce que la société veut faire d'elle, le groupe de mamies végans, Daria et son amour de jeunesse et surtout Milly, cette jeune femme hypersensible qui raconte le mal-être de beaucoup de personnes y compris le mien.

Au premier abord, on pourrait penser que Milly esr agaçante à être toujours aussi distante avec son groupe d'amis, à ne pas s'ouvrir aux autres mais seuls ceux qui ne comprennent pas les introvertis ne pourront pas trouver Milly touchante. Comme elle, je me suis souvent sentie seule quand un tas de personnes m'entouraient, à ne pas me sentir à ma place ou ne serait que sûre de moi dans des moments où j'aurais pu me sentir en confiance. Comme elle, l'attention, même si je l'apprécie, me rend fragile et c'est ce qu'est Milly, une jeune femme douce, fragile, sensible.

Sa relation amoureuse avec son professeur d'archivistique, Alphard Burton, a tout d'une histoire sans problème, mais qui cache bien plus que ce que ce dernier ne veut laisser voir. Alphard, que j'imagine, au grand regret de mes éditrices d'Hurlevent, comme un Armie Hammer, nous charme par son esprit et sa dynamique avec Milly et que dire de ses amis ! Larry notamment, qui m'a tapé dans l'œil, et la fameuse Lyrah qui est une sorte de bouée à laquelle se raccroche beaucoup Milly.

LSC a été pour moi un roman doudou que j'ai eu du mal à quitter tant j'avais aimé ces personnages au fur et à mesure de ces 700 pages, mais comme tout, il faut bien une fin et quelle fin ! Si le roman emprunte un rythme de croisière assez sympathique, la fin précipite toutes les espérances et les idées que nous nous sommes forgées pour venir nous bouleverser.

A travers ces quelques pages, Sarah se livre comme jamais et je peux assurer, sans l'ombre, d'un doute, qu'il s'agit de ma meilleure révélation littéraire comme humaine de l'année ! Je ne peux que vous encourager à vous précipiter sur les exemplaires de LSC qui restent chez Hurlevent !

Milly Davis à 25 ans est l'auteure d'une saga au début très prometteur et bien accueilli par le public. Néanmoins des anachronismes relevés et pointés du doigt vont ébranler sa confiance déjà fragile. Mais c'est sans compter son souci du perfectionnisme et sa soif de connaissances qui vont la pousser à reprendre des études en histoire de l'art, pour mener à bien ses projets. C'est ainsi que Milly et son héroïne Isadorah Templeton se font échos pour conjuguer leur destin

En pénétrant dans l'univers de Milly, on a le sentiment d'avoir été choisi et d'être un peu privilégiée. L'atmosphère est intime avec des tableaux et des situations qui nous enveloppent et que nous faisons nôtres. Et c'est aussi délicat, qu'immédiat.

La singularité de Milly est émouvante, alliée à un charme désuet. Son noyau familial et amical est à son image, complexe et attachant. Elle s'est entourée de personnalités bienveillantes qui ne demandent qu'à mieux la connaître, sans pour autant heurter une réserve aussi essentielle qu'incarnée.

L'écriture est belle, romanesque, équilibrée avec un mélange des lieux, des époques, jugulé aux échanges épistolaires, qui donnent la résonance de ce roman. Les émotions sont vives, omniprésentes. On y dit les liens, les légendes et la magie. La romance est secrète presque interdite où le jeu et les symboles expriment la sincérité des sentiments.

On évoque ici de nombreux sujets qui vont de l'anxiété sociale à l'homosexualité, de l'écologie au féminisme...

J'ai passé des moments intenses d'évasion et de plénitude connexion. J'ai été conquise par le gang des mamies véganes, fantasque et spontané. La relation qu'a nouée Maggie avec sa petite fille est fraîche et décomplexée, nous arrachant des sourires et de multiples attendrissements. 

Un récit capiteux aux notes florales et boisées dont je ne me lasserais pas de humer les parfums, une fois l'objet livre refermé.

Milly Devis, jeune autrice à succès, décide pour parfaire ses connaissances et clore le bec aux quelques critiques malveillante en quête du moindre anachronisme, de reprendre des études d’histoire. Personnalité riche et complexe, elle se retrouve alors au cœur d'un tourbillon émotionnel inattendu. Ella va alors tisser à la fois son histoire et celle d'Isadorah...

Soyons honnête, j’étais assez dubitative face à ce livre sur lequel j’avais lu quelques critiques acerbes et prétentieuses, et j’ai eu beaucoup de mal à me le procurer (les tentatives en librairies se sont soldées par des échecs cuisants), je l’ai donc commandé directement sur le site.

En ce qui concerne la forme, j’ai reçu un ouvrage magnifique et en parfait état, au papier épais, d’une solidité à tout épreuve et parfaitement corrigé.

Sur le fonds : il est toujours difficile d’exprimer une émotion ressentie dans une lecture, surtout quand elle ne vient pas du suspense et des rebondissements… Je dirais donc que ce livre a sûrement été une de mes plus belles surprises littéraires. L’écriture de l’autrice est très riche, précise, sans être lourde. Il est empli d’une bienveillance, d’une honnêteté, et d’une justesse peu égalée. J’ai été tellement touchée par les problèmes de Milly, par leurs banalités, leurs exactitudes, leur résonnance face à mes propres soucis. Mais ce livre c’est aussi un scénario soigneusement tissé, une histoire passionnante, des personnages amusants et authentiques, des descriptions réalistes… Je me suis tellement attachée à ce livre que je gardais les péripéties en tête toute la journée, la fin est parfaite, et achever ma lecture m’a laissé une impression de vide.

Vous l’aurez compris, je recommande donc ma lecture sans aucune réserve, j’ai tout simplement été impressionné, et je lirai leurs prochaines parussions avec un immense plaisir.

Bon, je te préviens, cette chronique risque fort d’être brouillonne et de partir dans tous les sens. Parce que j’ai été tellement foudroyée par cette lecture que je ne sais même pas par où commencer cet avis. Mais je vais essayer de faire de mon mieux.

—Rareté—

Alors, commençons par le commencement et mettons tout de suite les choses à plat : *Le Chœur Singulier de Milly Davis* fut un énorme coup de cœur. Quelque chose d’assez fracassant pour qu’une fois entrée dans mon livre, je ne veuille plus retrouver la réalité du dehors. Ce fut une plongée immersive et totale auprès de Milly, ce personnage auquel je me suis tant attachée et que je me suis tellement approprié. À tel point que chacune de ses épreuves, de ses doutes, de ses joies et de ses rencontres sont devenues les miennes. J’étais Milly. Je suis Milly.

Parce que cette lecture est une salvation. Pour toutes les personnes que l’on qualifie de “différentes”, celles et ceux qui ne rentrent pas vraiment dans le moule formé par la société. C’est une ode au non-conformisme et à la singularité qui nous encourage à être nous-même, sans maquillage et sans détour.

Vraiment, je ne crois pas qu’une autre histoire puisse être comparée à celle-ci. Parce qu’elle est aussi inclassable. Elle fait fit des genres préétablis pour emprunter à chacun d’eux une spécificité, et finir par devenir un assemblage de tout ça. Une sorte de Frankenstein absolument magnifique qui aurait trouvé l’amour qu’il mérite. (Pardonne-moi cette métaphore qui n’est pas des plus élégantes.) À la fois roman initiatique, roman historique, roman d’amour, roman épistolaire, roman de voyage, qui mêle le comique, au tragique et au feel-good, tout cela avec une ambiance dark academia juste parfaite… Ça fait beaucoup, me direz-vous. Et bien figure-toi que pas du tout. C’est parfois un peu surprenant, peut-être. Mais tout s’accorde si parfaitement que *Le Chœur Singulier de Milly Davis* finit par former une œuvre unique et idéale.

—Incarnation—

J’ai adoré rencontrer chacun de ses personnages, que ce soit Milly, sa famille avec sa grand-mère Maggie et son gang de septuagénaires véganes, ou ses amis Larry, Alphard, Lyrah et Isadorah. Nous voyons les destins de chacun s’écrire, se croiser, s’entremêler et évoluer de façon à ce qu’on s’attache à eux, forcément. Personnages principaux comme secondaires, peu importe, puisque chacun va être mis en lumière à un moment ou un autre du récit et beaucoup vont évoluer dans des directions que l’on n’aurait pas nécessairement soupçonnées en entrant dans le roman.

Mais je veux surtout m’attarder sur Isadorah, qui est pour moi le second personnage principal du *Chœur Singulier de Milly Davis*. Alors que techniquement, celui-ci est encore moins tangible que tous les autres. Parce qu’Isadorah est en réalité un personnage de fiction dans la fiction. Elle est l’héroïne des *Espérances des femmes Templeton*, la saga historique et féministe qu’écrit Milly.

On rencontre Isadorah en douceur, en apprenant à la connaître petit à petit grâce aux extraits du journal d’écriture de Milly. Et très vite, cette jeune fille est devenue pour moi tout aussi importante qu’elle ne l’est pour son autrice. Parce qu’Isadorah se fait le reflet de quelque chose d’essentiel : la place des femmes dans notre société. Et on se rend vite compte que, finalement, les résonances entre passé et présent sont là, de manière indéniable. Mais je crois aussi qu’Isadorah est une sorte de double de Milly. Que la première aide la seconde à prendre du recul sur sa propre vie. Très sincèrement, si j’apprenais demain que *Les Espérances des femmes Templeton* sortait en librairie, je me jetterai dessus sans hésiter une seule seconde !!

—Pluralité—

Parce que oui, *Le Chœur Singulier de Milly Davis* parle de processus d’écriture. Mais pas que. Les amoureux de la papeterie ne pourront que s’y retrouver. Tout comme celles et ceux qui chérissent l’écriture, sous toutes les formes qu’elle peut prendre. Les adeptes du teatime se retrouveront au paradis puisque, chez Milly, pas une journée ne passe sans avoir eu au moins une tasse fumante entre les mains. (Tu n’imagines pas à quel point ma “Wishlist Thés & Infusions” à pu grossir au cours de ma lecture.) Les fans des paysages magiques de l’Écosse et des Highlands seront servis, eux aussi. Tout comme les adeptes de la mode. Ou encore toutes celles et ceux qui se retrouvent dans les valeurs véganes et féministes.

Enfin voilà, je ne pense pas qu’il soit nécessaire que je m’étende plus puisque je ne ferais que ressasser l’essentiel, c’est-à-dire que cette lecture fut un gros coup de cœur, de ceux qui marquent une vie de lectrice. Et je ne peux donc que t’encourager à te tourner vers elle !

—En bref—

En bref, *Le Chœur Singulier de Milly Davis* de S. A. Yarmond fut un énorme coup de cœur placé sous le signe de l’atypique et du non-conformisme, ce qui ne l’a rendu que plus beau. Avec son héroïne si attachante, ses personnages si vivants et ses thématiques si variées et réconfortantes - ce roman devient une véritable lecture cosy, un doudou qui ne nous épargne pas toujours, mais qui saura à coup sûr nous redonner de la joie de vivre.

Le Choeur singulier de Milly Davis relate un récit aussi atypique que sa protagoniste. Pas de ces textes étranges ou qui dérangent. Non, c'est une narration durant laquelle il faut prendre le temps de lire entre les lignes pour capturer l'essence même de la singularité de Milly Davis. Pour entendre l'inaudible dans les tréfonds émotifs d'une personnalité aussi inusité qu'attractive.

C'est au travers d'une plume travaillée, immersive et fluide que le lecteur arpente le quotidien d'une jeune écrivaine retournant sur les bancs de l'école pour consolider la véracité des us et coutumes historiques de son héroïne afin de couper l'herbe sous le pied des critiques pointilleux ayant décriés des anachronismes dans son premier opus.

Dès les premières pages, nous sommes happés par la bulle fragile de Milly. Le détail de ses tenues vintages, les ambiances épurés, cocoonings parfois gothiques ou loufoques des lieux qu'elle foule, confèrent plus de corps, de force aux atmosphères qui forment le monde de Milly Davis. L'auteure joue avec les sens du lecteur permettant de vivre pleinement les ressentis de la jeune femme et son point de vue sur chaque évènement, chaque environnement. Les perceptions de Milly font la solidité de sa singularité. Sa capacité d'analyse si intelligente sur le monde, si profondément humaine encourageront les personnalités qui se sentiront si proches de sa manière de voir à déculpabiliser de ne pas "être dans le moule". Cette sensibilité à aborder des thématiques comme l'agoraphobie ou l'hypersensibilité entre autre, dont on marginalise à tord les comportements, m'ont touché. Les préjugés sont décrédibilisés par des arguments remplis de véracités. Cette donne apporte une tendre et belle évolution au personnage principal.

Au-delà de Milly Davis, le groupe de mamies véganes fit mon admiration. Excentriques, déjantées, elles abritent des coeurs généreux, aimants et défendent d'une verve acérée et humoristique leurs idéaux avec passion. L'échange épistolaire qui finit par nous tirer des larmes tant l'amour qui l'emplit est poignant, ainsi que le roman dans le roman sont des plus-value au sein d'un récit déjà attractif.

Au-delà des mots pour bien appréhender ce roman, il suffit de s'abandonner aux odeurs de papier vieilli, aux costumes en tweed et aux exhalaisons de thé. Il faut simplement le vivre. Se laisser imprégner de sa douce poésie, de ses sentiments silencieux et pourtant si éloquents dans le monde singulier de Milly Davis.

Une très belle lecture, douce, poétique, qui touche des thèmes qui me passionnent comme l’histoire, les vieux livres et l’Écosse. Si au début je lisais doucement m’imprégnant de la magie des mots, j’ai dévoré le voyage en Écosse et la troisième partie.

J’ai aimé chaque personnage, chacun à sa façon de par leurs histoires profondément touchantes, la narration tantôt épistolaire tantôt plus traditionnelle. La plume est très immersive, j’ai partagé tant d’émotions avec Milly, j’ai été émerveillée par les descriptions et l’atmosphère de ce roman. Je suis triste de quitter ce cocon de bienveillance mais pleine de gratitude pour cette si jolie lecture.🥰