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Le Papillon



Description ajoutée par Stephanelefort 2017-01-02T17:12:59+01:00

Résumé

On avait découvert ce fabuleux conteur estonien avec L'homme qui savait la langue des serpents. Voici que nous découvrons son premier roman, best-seller en Estonie dès sa sortie, mais qui nous emmène dans un tout autre registre.

Ici, pas ou peu de surnaturel, mais beaucoup de fables sans aucun doute puisque le narrateur va nous conter l'histoire épique et tragique de l'Estonia, grand théâtre de Tallinn, et de sa troupe mélancolique. Baignant dans une ambiance feutrée, mettant en scène des sentiments subtils, ce roman est aussi une allégorie puissante sur la force l'art, de la manière dont la culture peut empêcher tout un peuple de sombrer pendant ses heures les plus sombres. Histoire d'un pays, Le Papillon est enfin une histoire d'amour, de celles qui naissent doucement et ne finissent jamais.

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Classement en biblio - 30 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Aquarelles 2024-02-13T20:04:28+01:00

Mais où donc, vous le public, iriez-vous chercher la vérité ? Des souvenirs, pures mises en scène mêlant sincérité et affabulation, voilà tout ce que vous pouvez espérer. Consolez-vous plutôt en pensant que dans l'avenir, vos descendants devront à leur tour se contenter de vos propres mémoires et qu'ils n'auront rien de plus. Soyez donc sans souci, et laissez le passé briller dans la lumière qu'il s'est choisie.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par KarineDS 2023-06-20T22:28:24+02:00
Or

Je plonge à corps perdu dans ce texte d’un autre temps avec délice.

August Michelson raconte son enfance, ses débuts au théâtre qui ont comblé son père, sa dulcinée apparue tel un mouvement d’ailes de papillon, des bribes de ses souvenirs de vie, ses espoirs, le théâtre, l’Estonie.

 

Il dépeint l’existence sans saveur du quotidien de l’employé moyen, accompagné heureusement d’une joie simple, sous le joug russe. C’est une rencontre en 1906 qui bouleverse sa vie et ce jusqu’à sa mort. Il découvrira son véritable talent, celui d’une vie.

Le chemin conté ne suit pas forcément de chronologie directe ce qui est un point déroutant et agaçant par instant, mais comme cela est toujours décrit avec bienveillance je pardonne à l’auteur. Sa rencontre avec sa moitié pétille, Erika l’ensorcelle aux premières lueurs avec tendresse. Les souvenirs affluent avec générosité, ils sont porteurs de nostalgie et d’effluves d’amour inconditionnel.

 

La prose est douce, chaleureuse et mélancolique, très agréable à découvrir, savoureuse et délicate. L’auteur ajoute au récit un soupçon de surnaturel qui me fait rêver et méditer sur cette mort qui plane en permanence aux alentours de l’Estonia.

Les anecdotes glissées avec mignonnerie de cette troupe soudée qui grâce au théâtre vit plusieurs vies, meurt à volonté, fait rêver, détend l’atmosphère avec humour et une sincérité désarmante, je suis captive des mots. Car la face cachée de la guerre s’invite au chevet des personnages qui malgré tout combattent avec véracité de manière théâtrale et apportent une lueur d’espoir au centre du chaos au peuple à bout de force.

 

Je suis enveloppée de moments forts, d’émotions puissantes et sensibles. C’est l’avènement de plusieurs vies au comble des combats, à la survie de la comédie, cette lueur d’espoir qui peut soulever des montagnes et décupler les rêves devant une mort qui rode.

Une très belle histoire à découvrir.

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Commentaire ajouté par catf 2022-08-24T15:09:36+02:00
Bronze

Il me restait un livre à lire d'Andrus Kivirähk (celui-ci). Et de plus, j'avais besoin de douceur, de poésie, d'imaginaire, de féerie… Rien de mieux qu'un conte estonien peuplé d'animaux pour sortir de la violence de certaines lectures.

Je me suis laissé embarquer, même si j'ai été moins enthousiasmé par ce récit que par son talentueux livre : « L'homme qui savait la langue des serpents ». C'est son premier livre, moins abouti, mais qui m'a quand même fait du bien à mon cerveau ? Il en avait besoin.

Un conte qui parle de théâtre, d'animaux, de la mort, de l'amour, de la guerre et d'espoir…

Extrait :

Le public était plongé dans le plus grand silence. C'était le conte de fées le plus féerique que nous ayons jamais montré sur la scène — et en même temps le plus véridique. C'était notre vie. Et avec cela, une époque prit fin.

Bonne lecture !

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Commentaire ajouté par Eeeaienn 2022-04-01T22:39:19+02:00
Lu aussi

Beaucoup de personnages (tellement que je n'arrivais pas à les identifier correctement dans ma lecture), toujours cette pointe de fantastique, un peu de folklore et de poésie. Il s'agit de ma deuxième lecture de cet auteur. Si j'avais commencé par ce livre-ci, je me serai peut-être malheureusement arrêter là.

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Commentaire ajouté par Wonderbooks 2022-01-02T09:50:00+01:00
Argent

Si je l'ai moins apprécié que L'homme qui savait la langue des serpents, Le Papillon reste un très bon livre.

J'étais ravie de retrouver l'écriture d'Andrus Kivirähk que j'apprécie énormément. Sa plume est fluide, efficace, entraînante, mais surtout vivante. J'ai aimé la manière dont le narrateur s'adresse à nous et admet sans aucune honte qu'il nous ment. Ainsi, ne pouvant réellement démêler le vrai du faux, on se sent obligé de le croire.

J'ai aussi beaucoup apprécié l'ambiance magique qui se dégage du roman. Contrairement à mes attentes, on est pas sur du fantastique, mais plus sur une sorte de réalisme magique. Néanmoins, cela a des avantages pour l'auteur qui ancre vraiment le récit dans le contexte historique de son pays et transmet un beau message sur le pouvoir de l'art en temps de guerre.

Mon seul regret, outre la brièveté du roman, c'est le développement des personnages secondaires. Ils sont si nombreux qu'ils devient difficiles de s'attacher à eux ; ils paraissent distants.

Cela reste cependant une très belle découverte et je continuerai sans hésiter à lire cet auteur.

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Commentaire ajouté par Miney 2021-09-11T17:20:09+02:00
Or

Le Papillon, c’est à la fois le théâtre l’Estonia qui représente l’âme d’un pays et Erika, sa danseuse étoile qui représente l’âme du théâtre. C’est l’espoir dans un monde en guerre, dominé par la Mort sous l’aspect d’un affreux chien gris. C’est le dernier lien entre le monde moderne et les croyances du passé. C’est tout ce qui faisait battre le cœur d’August Michelson, le narrateur. Faisait. Parce que maintenant qu’il est mort, August peut raconter la vie de l’homme qu’il était.

J’ai l’impression de la décrire comme un récit triste et pourtant, j’ai retrouvé dans cette novella l’humour burlesque, absurde, souvent mordant et teinté de mélancolie qui semble être la marque de fabrique de l’auteur. C’est vraiment très drôle et on passe en quelques phrases du rire à la boule dans la gorge.

J’ai trouvé que la patte de Kivirähk avait un sacré caractère et une belle sensibilité pour un premier ouvrage. J’avais déjà lu L’homme qui savait la langue des serpents, un de ses romans suivants, et j’y ai retrouvé avec plaisir pas mal de ses thèmes de prédilections. Les personnages qui sont les héritiers de créatures folkloriques amenées à disparaître face à un monde dans lesquelles elles n’ont plus leur place. L’identité de l’Estonie, au fil de ses occupations et invasions. La magie du théâtre qui réinvente la vie…

Le récit n’est pas linéaire. Le narrateur fait des sauts dans le temps, revient dans le passé, s’arrête pour évoquer une anecdote sur l’un ou l’autre de ses compagnons hauts en couleur de la troupe de l’Estonia. Il enjolive, ment éhontément, si bien qu’on ne sait jamais ce qui est réel, allégorique, surnaturel ou pur baratin… et en tant que lecteur, ça nous est parfaitement égal, on accepte tout comme ça vient ! Plutôt que vers le fantastique, Le Papillon tend davantage vers la fable ou le réalisme magique, où l’étrange est admis ou simplement suggéré.

Deuxième lecture de cet auteur donc, et que du bon jusqu’ici, il ne va pas tarder à devenir une valeur sûre pour ma bibliothèque.

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Commentaire ajouté par Hathor13 2020-01-01T19:11:36+01:00
Lu aussi

C’est le premier roman de l'auteur et le livre est sans fausse note. L’auteur introduit quelques éléments fantastiques ce qui donne un peu de relief au texte, alors que l’on suit l’histoire du héros qui devient acteur et de son théâtre qui par moment donne l’impression d’être un personnage à part entière. Un texte qui a un petit quelque chose en plus malgré une fin un peu brusque.

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Commentaire ajouté par Givres 2019-11-27T19:27:01+01:00
Or

Premier roman de l'auteur mais troisième dans l'ordre de publication chez nous.

Ici l'écrivain nous laisse voir tout le talent et le style qu'il nous montrera plus tard sur l'homme qui savait la langue des serpents.

Ici une sorte de journal intime, tout y est subtile, beaucoup d'anecdotes mais avec une toile de fond des plus intéressantes.

Les éléments fantastiques sont utilisés avec finesse.

Beaucoup de sentiments ressentis au fils de cette lecture, certains passages petits passages sont très beaux.

Les deux défauts sont : romain beaucoup trop court (140 pages) et la fin tellement abrupte.

Point positif pour l'édition dont la police d'écriture est des plus agréables à lire.

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Date de sortie

Le Papillon

  • France : 2017-01-12 (Français)

Activité récente

Tom1970 l'ajoute dans sa biblio or
2022-08-20T21:29:17+02:00
Miney le place en liste or
2021-09-11T10:18:11+02:00
Givres le place en liste or
2019-11-27T19:20:05+01:00
Karria le place en liste or
2018-12-25T10:52:24+01:00

Évaluations

Editeurs

Les chiffres

lecteurs 30
Commentaires 7
extraits 5
Evaluations 9
Note globale 7.44 / 10

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