Le Syndrome du spaghetti

J'aime les romans de Marie Vareille et celui-ci ne fait pas exception

Ce roman est plus personnel on le sent et on comprend à la fin du roman

J'ai été touchée et émue par Léa cette jeune fille qui devra se reconstruire

Une belle leçon de vie

Le seul bémol de ce livre est qu'il se lit trop vite

Un coup de cœur pour cette lecture passionnante ! L’auteur aborde avec beaucoup d’émotions des thèmes forts comme le deuil et la maladie ; les mots choisis sont justes et sincères. Une lecture très fluide, j’ai dévoré le roman et me suis beaucoup attachée à Léa. Un petit plus pour le côté médical qui nous permet d’en apprendre plus sur une maladie peu connue. Bref, j’ai adoré !

Ce livre, c’est une guérison. Si un jour vous m’aviez dit que je lirai un livre de cette autrice, je ne l’aurais pas cru : pour moi, elle n’avait écrit que des livres d’adultes qui ne me toucheraient sûrement pas. Et puis @about_estelle est passée par la, a fait grandir une étincelle dans mon corps « Et si je lisais ce livre ? ». Ma mère a finalement été le poids qui a fait pencher la balance : elle voulait lire ce livre, moi aussi, le bon compromis. Et je ne regrette absolument pas cette lecture. Bien au contraire.

« Le syndrome du spaghetti », c’est de l’amitié, de l’amour pour les personnes qu’on rencontre au fur et à mesure de sa vie, mais surtout, pour les personnes qui ont toujours été là pour nous. Celles qui au final vous perce le plus le cœur de leur absence.

Léa est une basketteuse hors pair depuis des années : son enfance n’a jamais été que basket, basket et basket. Son père, son coach, ça a toujours été son model, la personne qui comptait le plus a ses yeux.

Jusqu’à ce qui lui arrive quelque chose. Et que son monde s’écroule.

Léa va devoir apprendre à vivre dans un monde si fade ou le basket n’y a pas sa place et où tout son avenir n’est plus. Et c’est la qu’elle va rencontrer un gars, ce gars : Anthony. Le seul qui puisse être sa bouée de sauvetage dans cette mer déchaînée. En espérant qu’il suffise à lui faire garder la tête hors de l’eau…

J'ai beaucoup aimé ce petit livre, très poignant, ça nous fait découvrir ce syndrome méconnue mais c'est surtout une belle leçon de vie ! Très bien écrit.

Quel bonheur de retrouver la plume de Marie Vareille que j’aime tant ! Avec ce roman young adult qu’est Le syndrome du spaghetti, l’autrice nous plonge dans une histoire puissante et émouvante qui nous renverse totalement. J’ai aimé faire la rencontre de Léa, une jeune fille de 16 ans, passionnée de basket, qui va voir son monde s’écrouler et qui va devoir traverser des épreuves bien difficiles. En tournant les premières pages de ce roman, je me suis laissée porter par l’histoire et tout comme notre personnage principal, je n’ai rien vu venir et j’ai été percutée de plein fouet par les événements. Les sujets abordés tout au long de ce roman m’ont beaucoup intéressée et j’ai passé un excellent moment de lecture. Je ne vous en dis pas plus et je vous laisse découvrir ce roman qui en vaut le détour !

Je connaissais Marie Vareille de nom, mais sans jamais réellement me lancer dans l’un de ses écrits. Quelle erreur ! J’ai pu découvrir sa plume fluide, prenante et très touchante. On se laisse très facilement bercer par l’histoire et c’est pratiquement impossible de s’arrêter, à un moment donné, puisqu’on est bien trop happé par l’évolution du récit. De plus, la poétique de cette histoire pourrait facilement s’adapter à diverses situations et cela prouve le réel talent de l’autrice. J’aime beaucoup le sport qui est décrit, c’est-à-dire le basket, et je trouve qu’il n’est pas assez représenté dans les livres. Pourtant, c’est un sport réellement prenant, facile à décrire, et l’autrice a vraiment réussi à créer des scènes d’entraînements fascinantes. C’est par le point de vue de Léa, une jeune basketteuse prometteuse, que l’on va suivre ce sport ainsi que cette histoire. J’ai trouvé que sa psychologie était vraiment développée et que l’on pouvait facilement se mettre à sa place, quand notre vie s’écroule... Un autre protagoniste que j’ai beaucoup aimé découvrir, c’est Anthony. On ne va pas forcément le croiser tout le temps, mais il représente vraiment l’espoir et la volonté de réussir coûte que coûte. Ce sont deux personnages fort attachants et très touchants également, que j’ai vraiment aimé rencontrer.

Un roman accessible à la fois aux jeunes et aux plus grands. On est à la fois porté par la fiction et émus par le sujet traité (le syndrome de Marfan) qui touche l'autrice elle-même. Même si le thème du basket ne vous enchante pas (comme moi, je dois le reconnaitre) vous passerez un bon moment en lisant ce livre. Le seul "reproche" que je pourrais faire concerne la longueur du récit, étant assez court je pense qu'il ne sera pas très mémorable pour moi (lu en une seule journée) mais je retiendrai les caractéristiques de ce syndrome et, qui sait, un jour peut-être que ça me permettra d'aider quelqu'un ?!

J’ai aimé en apprendre plus sur ce syndrome inconnu et traverser les mêmes émotions que Léa parce que c’est réellement ce que fait la plume de Marie Vareille, elle transporte dans une réalité. Mais nous fait comprendre quand même comprendre qu'”on ne vit pas dans un film américain avec une happy end à la con”. Bon, j’ai un peu été déçu du léger manque de présence d’Anthony dans le livre, mais j’ai compris pourquoi. On ne peut pas prendre comme base quelqu’un d’autre pour se reconstruire au-dessus.

Léa Martin, à 16 ans, voue sa vie au basket depuis son plus jeune âge, coachée par son père. Ses grands rêves et toute son énergie sont dédiés à cette passion. Cependant, lorsque son père décède tragiquement et qu'elle doit renoncer à son admission à l'INSEP pour des raisons médicales, tout son monde s'effondre. Et si refuser d'accepter la réalité était, sinon la solution, le début du chemin ?

L'autrice aborde ici le thème poignant du deuil et de l'adversité, mettant en scène une héroïne aussi forte que fragile, traversée par les épreuves de la vie.

On est témoin de son déni et de sa colère qui camouflent sa peine, perturbant son discernement au point de l'éloigner de ses proches et de se mentir à elle-même. Elle s'étourdit dans sa rencontre avec Anthony, avec qui elle brave les interdictions, continuant à jouer et à vivre pour le basket. Leur relation, inattendue et séductrice, est teintée de contrastes, suscitant l'adhésion du lecteur pour leurs différences et leurs rapprochements.

Cette citation poignante révèle la profonde connexion émotionnelle de Léa avec le basket, soulignant l'importance de cette passion dans son processus de guérison et de reconstruction après la perte de son père.

L'écriture fluide et émouvante permet de resserrer des liens qui auraient pu être ébranlés. Léa peut compter sur la sincérité de ses amis, qui ne mâchent pas leurs mots et se soucient réellement d'elle. Si la relation avec sa famille est complexe, l'amour n'y est pas à démontrer. Les douloureuses épreuves rétablissent les vérités, démontrant qu'à force de convictions et de résilience, les rêves ne s'éteignent pas lorsqu'ils semblent impossibles ; ils grandissent avec le cœur et se transforment.

Ce récit témoigne d'une belle sensibilité associée à un sens aigu de la combativité. À lire absolument !

Livre "lu" en audio. Lecture sympathique et fluide.

J'aime beaucoup la plume de Marie Vareille, qui n'est pas assez reconnue à mon goût.

On s'attache facilement au protagonistes qui vivent leur premier amour d'adolescents.

L'univers du basket était un peu trop présent pour moi, même si c'est logique vu que c'est le thème du livre.