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Extrait ajouté par Croquignolle 2023-08-23T08:26:27+02:00

A la hâte, comme si elle courait à un rendez-vous d'amour, elle jeta son peignoir, commença à s'habiller : elle enfila ses bas, ses souliers, sa robe, avec l'agilité particulière de celles qui, toute leur vie, se sont passées de femmes de chambre.

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Extrait ajouté par Didie6 2015-04-20T12:35:57+02:00

Si on te demande quelque chose, […] tu diras que nous habitions le Midi toute l’année… Tu n’as pas besoin de préciser si c’était Cannes ou Nice, dis seulement le Midi… à moins qu’on ne t’interroge ; alors, il vaut mieux dire Cannes, c’est plus distingué…

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Extrait ajouté par rabanne73 2021-11-20T19:10:32+01:00

Comme sa mère avait dit : "Je veux vivre, moi, moi..." Peut-être, au fond, cela faisait plus mal encore que le reste... Jamais Antoinette n'avait vu dans les yeux maternels ce froid regard de femme, d'ennemie...

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Extrait ajouté par rabanne73 2021-11-20T19:10:00+01:00

Elle posa sa tête sur l'oreiller trempé de larmes et ferma les yeux ; une espèce de molle et lâche volupté détendait doucement ses membres las. Elle toucha son corps à travers la chemise, avec des doigts légers, tendrement, respectueusement... Beau corps préparé pour l'amour... Elle murmura :

- Quinze ans, ô Roméo, l'âge de Juliette...

Quand elle aura quinze ans, la saveur du monde sera changée...

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Extrait ajouté par Didie6 2015-04-20T12:38:26+02:00

Et puis, ils étaient devenus riches un beau jour, tout d'un coup, elle n'avait jamais bien pu comprendre comment. Ils étaient venus habiter un grand appartement blanc, et sa mère avait fait teindre ses cheveux en un bel or tout neuf. Antoinette coulait un regard peureux vers cette chevelure flamboyante qu'elle ne reconnaissait pas.

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Extrait ajouté par Didie6 2015-04-20T12:38:10+02:00

Une espèce de vertige s'empara d'elle, un besoin sauvage de bravade et de mal. Les dents serrées, elle saisit toutes les enveloppes, les froissa dans ses mains, les déchira et les lança toutes ensemble dans la Seine. Un long moment, le coeur dilaté, elle les regarda qui flottaient contre l'arche du pont. Et puis, le vent finit par les emporter dans l'eau

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Extrait ajouté par Didie6 2015-04-20T12:37:45+02:00

Elle vit le visage de sa mère où les larmes coulaient, se mêlant au fard, un visage plissé, grimaçant, empourpré, enfantin, comique... touchant... Mais Antoinette n'était pas touchée ; elle ne ressentait rien d'autre qu'une sorte de dédain, d'indifférence méprisante.

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Extrait ajouté par Didie6 2015-04-20T12:37:28+02:00

Sales égoîstes; c'est moi qui veut vivre, moi, moi,moi je suis jeune, moi Ils me volent, ils volent ma part de bonheur sur la terre...Oh pénétrer dans ce bal par miracle, être la plus belle, la plus éblouissante, les hommes à ses pieds.

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Extrait ajouté par Didie6 2015-04-20T12:37:13+02:00

- ça par exemple, c'est magnifique, cria-t-elle d'une voix enrouée de colère: cette gamine, cette morveuse, venir au bal, voyez-vous ça!... Attends un peu, je te ferai passer ces idées de grandeur, ma fille...

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Extrait ajouté par Didie6 2015-04-20T12:36:59+02:00

- (...) Dis donc, Alfred, est-ce qu'on leur donne leurs titres en parlant ? Je pense qu'il vaut mieux, n'est-ce pas ? Pas monsieur le marquis, naturellement, comme les domestiques, mais : cher marquis, ma chère comtesse... sans cela les autres ne s'apercevraient même pas que l'on reçoit des gens titrés...

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