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- Venez-vous chasser, comte ?

- Nenni, nenni ! Je ne saurai faire de différence entre mon épouse et un pesant goret ! Je laisse à d'autres le soin de l’abattre pour n'être point condamné !

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- Vous l'avez pu voir sur ce collier, Catherine, la sorcellerie ne peut rien contre moi, pas davantage que vos manigances. Vous l'avez pressenti, je viens vous le révéler, mes pouvoirs sont immenses et aucun de vos sorciers ne saura les contrer. Oubliez-moi comme je veux vous oublier, vous, les vôtres et jusqu'à ces lieux où je me suis promenée, lors vous vivrez en paix ! Approchez-vous de quelque manière que ce soit de mes enfants une fois encore et les furoncles vous éclateront dans la gorge à vous étouffer jusqu'à ce que mort s'ensuive. Cette fois, je le jure devant Dieu et le diable, rien ne vous en fera réchapper. Suis-je assez claire ?

Catherine était livide.

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C'était une catholique dont la foi puissante exécrait celle des luthériens. Si elle avait su que Marie les soutenait dans l'ombre, sans doute jamais ne lui aurait-elle confié combien l'odeur des chairs brûlées facilitait ses prières et la berçait !

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On conduisit Jean Pointet au bûcher. Attaché sur le monticule de fagots et de bois sec, on lui extirpa la langue de la bouche. D'un coup sec, le bourreau la trancha pour l'exposer aux acclamations d'une foule sanguinaire. "Celui-là ne blasphémera plus !" grondait la houle humaine.

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- Si j'ai d'autres enfants un jour, je jure qu'ils seront de toi, Constant.

Puis elle se laissa emmener.

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"Sorcière, grondait une petite voix dans sa tête. Ils me voient comme une sorcière." Et cette voix amenait en elle un relent de chair brûlée.

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Barberousse à Marie

- Vous êtes un bien précieux pour le royaume de France. Cet animal n'avait d'autre maître que moi. Qu'Allah vous protège si votre Dieu ne le fait pas.

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D'une voix timbre que des sanglots brouillaient, Isabeau lâcha dans la froidure de l'aube :

- Pardon, ma fille.

Puis la porte claqua, et la rue emporta son secret.

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- Te souviens-tu des initiales au dos de ta médaille ? l'interrogea Albérie.

- Oui, non, répondit Marie en haussant les épaules. Je l'ai depuis que je suis toute petite. Je n'ai jamais...

Machinalement, elle avait porté la main à son cou pour ramener la chaînette sur son corsage.

Isabeau et Albérie échangèrent un regard d'inquiétude.

- Ma chaîne... je l'ai perdue, constata Marie en contemplant ses doigts vides.

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Il éclata d'un rire démoniaque et jeta dans le vent :

- À nous deux, Albérie de la Faye !

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