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Commandant Servaz, Tome 2 : Le Cercle



Description ajoutée par lillou 2013-09-28T09:30:49+02:00

Résumé

Un coup de fil surgi du passé, un e-mail énigmatique, qui signe peut-être le retour du plus retors des serial-killers, précipitent le commandant Martin Servaz dans une enquête dangereuse, la plus personnelle de sa vie. Un professeur de civilisation antique assassiné, un éleveur de chiens dévoré par ses animaux... Pourquoi la mort s'acharne-t-elle sur Marsac, petite ville universitaire du Sud-Ouest, et son cercle d'étudiants réunissant l'élite de la région ? Confronté à un univers terrifiant de perversité, Servaz va rouvrir d'anciennes et terribles blessures et faire l'apprentissage de la peur, pour lui-même comme pour les siens.

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Classement en biblio - 1 130 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Zandri 2014-05-21T11:11:55+02:00

On peut pisser sur le peuple s'il croit que c'est de la pluie.

Page 277 Parole de politicien.

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Commentaires les plus appréciés

Diamant

Je crois que ça pourrait se passer de mots en fait. J'ai vraiment adoré ce deuxième roman, qui suit la même logique du premier : atmosphère lourde, intrigante et inquiétante ; méli-mélo de personnages plus intéressants et complexes les uns que les autres ; crimes sanglants à faire froid dans le dos ; enquête personnelle qui prend au tripes. Non, vraiment, rien à dire si ce n'est chapeau bas ! Le seul bémol serait que Mr Minier s'arrête là et ne nous offre pas un troisième livre (ce qui, j'espère, n'arrivera pas!)

On retrouve donc Servaz dans une nouvelle enquête avec la même petite équipe que j'adore et un Pujol qui paraît peut être un peu moins con, quoique. Et quand, dans le résumé, on vous dit que ça va être l'enquête la plus personnelle de sa vie, c'est pas du baratin. Cette histoire prend vraiment aux tripes. Mais je suis resté sur ma faim, mon estomac est encore noué, comme s'il manquait quelque chose (et ce quelque chose, ce n'est pas un défaut du livre, c'est plutôt un manque que seul un troisième livre pourra combler, je pense que vous comprendrez).

Bref, c'est avec un vrai délice que j'ai retrouvé les personnages de Glacé (bon peut-être un peu déçue de l'absence de l'un d'eux malgré tout), le style d'écriture de Minier et son rythme effréné avec ses intrigues de malade.

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Pas apprécié

A 75% du livre (sur liseuse, on parle en pourcent et pas en pages), j’ai soudain été happée par l’histoire, au point que – enfin, je n’ai plus eu le loisir de prêter attention à autre chose qu’à l’action. Est-ce que Servaz allait s’en sortir ? Est-ce qu’on allait connaître le fin mot de l’histoire ? Est-ce qu’on allait savoir qui avait tué ? Non, ça, ça fait un moment que j’avais ma petite idée sur le qui et le pourquoi. Le suspense a bien duré jusqu’à… 95%. Ensuite, retour à la réalité, j’étais de nouveau assise dans mon salon, dans l’hémisphère sud, en plein hiver.

Ce qui est problématique, dans un sens, parce que Le Cercle se déroule dans le Sud Ouest de la France, en plein été.

Suivant la suggestion de mes amis Céline et Guillaume, j’ai entamé la lecture de la série dans l’ordre. J’avais passé un plutôt bon moment avec M, Le bord de l’abîme (un one-shot qui n’a rien à voir avec Servaz) et un moins bon avec Glacé. Comme j’avais le livre sous la main, je me suis entêtée avec Le cercle. Pour te la faire courte : je vais arrêter la série pendant quelques temps, histoire de lire des polars ou des thrillers qui me conviennent. Manifestement, Servaz et moi, nous ne sommes pas partis pour devenir grands copains.

Commençons par le positif :

Encore une fois, l’histoire est plutôt bonne et bien orchestrée – même si le prologue, très excitant, n’a à mon avis pas grand chose à voir avec l’intrigue principale et sert à exciter l’appétit des lecteurs.

Il y a une ambiance, c’est clairement le point fort de cet auteur. Que ce soit le village universitaire fictif ou l’ambiance de coupe du monde, on s’y voit.

Pour autant, Le cercle m’est complètement passé à côté, je n’ai pas réussi à y rentrer sauf entre 75 et 90% – ce qui, tu me l’accorderas, est un peu juste.

Pourquoi ?

J’ai été gênée par l’enchaînement des événements qui m’ont semblé manquer de logique. Des étapes cruciales sont expédiées alors qu’on nous noie sous les descriptions.

J’ai trouvé les trois premiers quarts extrêmement pédants. L’idée d’une cité universitaire fictive à l’image d’Oxford est intéressante – même je la trouve trop éloignée de la culture française pour y croire -. Par contre, elle n’est pas cohérente : on a d’une part l’action concentrée sur deux classes de khâgne et hypokhâgne qui se situent dans un lycée. Mais il n’y a pas de lycéens. C’est une cité universitaire mais il n’y a pas vraiment d’étudiant. En fait, j’ai eu l’impression que cette Oxford française tournait autour de deux classes de prépa, classes qui ont certainement leur prestige mais qui ne sont pas non plus des classes d’élites sur le plan universitaire dès lors qu’on a dépassé la licence.

“La culture, c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale”, disait-on quand j’étais au collège. Cette petite phrase m’a poursuivie pendant la quasi totalité de la lecture du livre. J’ai ressenti un grand mépris (déjà affirmé dans Glacé) pour tout ce qui est entreprise, encadrement, politiques. Bon point pour l’auteur, j’ai parfaitement retrouvé l’idée “nous sommes de purs esprits, l’élite de la nation” qui infuse les premières années d’études universitaires et qui corrompt inévitablement une partie des niveaux ultérieurs. Mais il arrive un moment dans les études et le développement de la connaissance où on arrête de se croire plus intelligent que tout le monde. On dirait qu’aucun des protagonistes du Cercle n’a dépassé le master, ce qui est un peu limité pour une élite. Quelle est cette idée de citer en permanence en latin ? Est-ce que ça existe réellement ? Je croyais qu’on arrêtait ça en seconde ou en première…

Je n’ai pas réussi à adhérer à l’idée de ce village uniquement peuplé d’étudiant et de villas secondaires de grands bourgeois. L’un ou l’autre, ok, mais les deux ensemble, non.

Aucun de ces détails n’est vraiment important pris individuellement. Aucun livre n’est parfaitement cohérent, aucun personnage n’adhère à 100% à sa propre psychologie, il y a toujours des trucs bizarres ou qui ne collent pas trop ou qui font froncer les yeux. La magie de l’écrivain, c’est d’entraîner le lecteur dans un tel tourbillon qu’il ne fait pas trop attention à tout ça, qu’il ne se pose pas toutes ces questions.

Avec Le Cercle, l’auteur n’a pas réussi à créer pour moi ce tourbillon ; je m’entendais lire dans ma tête (j’ai d’ailleurs trouvé le style assez laborieux), je relevais en permanence les yeux pour me demander si j’avais bien lu, j’étais agacée par la puérilité de Servaz dans son histoire sentimentale, agacée par sa pédanterie avec ces phrases en latin complètement indigestes qu’aucun latiniste ne se permettrait d’employer à un autre moment que devant un auditoire qui les comprenne, par cette hiérarchie établie entre les esprits supérieurs qui étudieraient en khâgne et les ratés qui finiraient flics, les pourris qui deviendraient politiques, les arnaqueurs qui deviendraient chefs d’entreprise ou encore par des coïncidences juste invraisemblables … La gaule de Servaz le matin, je n’en peux plus ; les goûts musicaux de son adjoint, c’est pareil ; les événements climatiques providentiels, ça commence à être lassant (mais si j’en juge avec M, le bord de l’abîme, ce n’est pas prêt d’être terminé).

Bref. Je n’ai pas été dedans sauf quelques brèves pages et j’ai été soulagée d’arriver au bout. L’ensemble m’a donné l’impression d’un assemblage de bric et de broc, comme une latiniste trop sérieuse qu’on essaierait de rendre sexy à grands renforts de rouge à lèvres (la fille séquestrée) et de jupe découpée (le retour d’un certain tueur en série).

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Commentaires récents

Bronze

Un retour rapide sur ce 2ème opus de la série du commandant Servaz.

L'auteur profite de son polar pour y glisser quelques magouilles dont nos politiciens sont capables, et nous plonger dans ce monde aussi pourri qu'une pomme tavelée.

Même si un certain suspense est présent l'intrigue peine à démarrer.

Certes Bernard Minier va nous entraîner sur diverses pistes pour le plaisir de nous faire douter et nous perdre, mais il y a aussi pas mal de passages aux détails et descriptions aussi inutiles que superflus.

Une bonne lecture aux côtés de cette équipe d'enquêteurs mais qui ne sera pas (pour moi) la meilleure de la série.

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Or

Dix-huit mois après l'évasion de Julian Hirtmann, le commandant Martin Servaz reste hanté par sa rencontre avec le tueur en série. Appelé à l'aide par une de ses anciennes conquêtes, dont le fils est accusé de meurtre, il espère laisser ce douloureux passé derrière lui en partant enquêter à Marsac. Cependant, un élément de la scène de crime le replonge droit en enfer : un CD de Mahler, son compositeur fétiche... méconnu de tous, sauf d'Hirtmann. Cette découverte ébranle Servaz au plus haut point, d'autant que sa propre fille étudie dans la charmante petite ville de Marsac. Coïncidence ? Le policier n'y croit pas... Et si le Suisse était de retour ?

Le deuxième tome de cette série démarre en douceur avant d'adopter un rythme plus soutenu mais très appréciable. Les chapitres défilent rapidement grâce à une histoire complexe multipliant les pistes, les suspects et les récits secondaires. J'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver Martin et son équipe loufoque, principalement composée de Samira et Espérandieu. Néanmoins, tous les autres protagonistes occupent un rôle décisif dans le déroulement de l'intrigue. J'ai d'ailleurs grandement apprécié le personnage d'Hirtmann ; charismatique, intelligent et distingué, il représente l'opposant parfait pour le commandant Servaz. J'ai également adoré découvrir Margot et ses talents d'enquêtrice amateure. En outre, j'ai aimé les subtils rappels du premier tome, le découpage du roman par jours ainsi que son ambiance polaire, sombre et glaciale. En revanche, le récit m'a souvent paru un peu "too much" et l'évolution de l'enquête assez banale. Malgré cela, j'ai passé un excellent moment de lecture avec la plume unique de l'auteur. Pour moi, les deux premiers tomes de cette saga sont de vraies pépites. Vivement la suite !

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Or

📚 Vendredi

Olivier Winshaw quatre-vingt dix ans a trouvé refuge à Marzac, ville universitaire depuis déjà trente ans.Ancien professeur d'anglais et écrivain à ses heures il aime écrire le soir dans son bureau,mais ce soir une musique qui provient de l'extérieur l'interpelle.Elle provient de la maison d'en face, étrange un homme est assis au bord de la piscine et des têtes de poupée flottent sur la surface de l'eau.Il appelle la gendarmerie.

Le commandant Servaz est appelé par une ancienne amie et amante de jeunesse Marianne Bokhanonsky,son fils Hugo est accusé de meurtre.

Claire Diemar trente deux ans a été ligotée assassinée dans sa baignoire.

Servaz connaît bien les lieux pour y avoir suivi ses études,les mêmes que suivent sa fille.

Hugo est-il à l'origine de ce meurtre?

Qui a pu tuer cette professeur si proche de ses élèves ?

📚 Pour ce second tome de la Saga du commandant Servaz,nous voilà plongé dans la cité universitaire littéraire de Marzac,ville imaginaire près de Toulouse.Une suite moins gore mais tout aussi intéressante avec une enquête dès plus mystérieuse.Une fois de plus Bernard Minier m'a embarquée dans son univers obscure,je n'ai jamais cessé de chercher des indices qui pouvaient me mettre sur le chemin du tueur,mais non.

Bernard Minier a su mener d'une main de maître ce thriller psychologique très additif, c'est un manipulateur d'esprit cela ne fait aucun doute.

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Lu aussi

J'ai beaucoup aimé ce 2nd tome de la série du Commandant Servaz. On est vite happé dans l'histoire. J'ai pas les mots pour résumer sans donné trop indices. Un appel d'un ancien amour du Commandant Servaz et un mail énigmatique qui fait passer Servaz pour un parano. Et s'il avait raison ?

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Bronze

Un thriller intéressant et prenant !

On retrouve le commandant Servaz pour une seconde enquête. Une affaire où il faut démêler le vrai du faux entre les présumés coupables. Page après page, l'histoire s'assombrit, le suspense est pesant , un lourd passé éclate à la surface. On découvre une autre facette de Martin Servaz, je crois que je me suis attaché à lui étonnamment. Toutefois, il faut reconnaître que certains passages traînent beaucoup en longueur, on peut très vite perdre le fil de l'histoire.

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Or

Une nouvelle enquête saisissante pour le Commandant Martin Servaz.

Martin Servaz, le brillant commandant, reçoit un coup de téléphone d'une ancienne amie, l'implorant de lui venir en aide. Son fils serait accusé d'un meurtre horrible qu'il n'a pas commis. Martin se rend alors à Marsac, ville universitaire où étudie sa propre fille, et se retrouve embarqué dans une nouvelle enquête. La première victime est une jeune professeure dont la mort a été mise en scène d'une bien macabre façon. Une deuxième victime, un homme connu des services de police qui se fait attaquer par ses chiens. Et au milieu de tout ça, des traces d'un psychopathe que tous le monde recherche, Julian Hirtmann. Au peril de sa vie, Martin Servaz va devoir démêler le vrai du faux de toute cette affaire.

J'ai été conquise dès les premiers pages de ce livre. Malgré l'horrible affaire, j'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver Martin Servaz et ses acolytes. Ce retour dans le passé du commandant nous permet d'en apprendre davantage encore sur ce personnage. Nous découvrons de nouvelles facettes de ce hero, ses forces et ses faiblesses, ses peurs mais aussi les événements de sa jeunesse qui l'ont forgé à l'image de celui qu'il est aujourd'hui.

L'intrigue est absolument fascinante. Tout se met en place très rapidement, et nous submerge dès les premières pages. Les histoires se mêlent, les pistes se mélangent, et c'est avec beaucoup de surprise que j'ai découvert le dénouement de cette folle enquête. Je ne m'attendais tellement pas à ça !

Bernard Minier a su m'embarquer dans cette nouvelle aventure pleine de rebondissement, de suspens et d'horreur.

J'ai hâte de découvrir le prochain tome !

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Deuxième coup de maître.

Après l'excellent "glacé", Bernard Minier revient avec son nouveau thriller tout aussi excellent que le premier.

On retrouve le sombre commandant Servaz qu'on avait laissé lors de la précédente aventure. Cette fois-ci il doit élucider le meurtre mystérieux d'une enseignante d'une prestigieuse école du sud de la France. L'intrigue tourne donc autour de cette fameuse école où professeurs et élèves semblent cacher de lourds secrets. D'autant plus que notre ami Servaz n'est pas au bout de ses surprises car son passé douloureux le rattrape. Notamment le retour d'un tueur en série que Servaz a affronté dans le passé.

Minier est une valeur sure, et son 2ème roman est encore meilleur que le premier.

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Diamant

J'ai beaucoup apprécié ce second tome, les premières pages m'ont directement embarquées dans l'histoire. L'enquête était captivante, j'ai hâte de lire le tome 3.

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Or

Le cercle de Bernard Minier

18 mois sont passés depuis l'affaire de Glacé

Hirtmann en fuite hante toujours les mémoires, mais serait-il de retour ?

Un crime sadique d'une prof à Marsac, un malfrat dévoré par ses chiens. Quel peut bien être le lien ?

Le passé de Martin Servaz qui refait surface, une peur tenace qui lui vrille les entrailles

Et les intermèdes vont nous emmener où ?

Dans ce nouvel opus, tous les personnages marquants sont de nouveau à la poursuite de la vérité.

Pages après pages le mystère s'épaissit, le suspense est prenant palpitant et nous donne envie de poursuivre d'aller jusqu'à la fin sans jamais s'arrêter.

Encore un excellent thriller à ne pas manquer

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Argent

J'aurais dû commencer par Glacé mais je me souviens que je l'avais commencé et que j'avais eu du mal à continuer.

Je découvre donc Minier immédiatement dans le second opus et j'avoue qu'il faut que je sois dans un certain état d'esprit pour pouvoir être réceptive à son style. J'avais même commencé ce livre il y a longtemps mais je n'ai pas accroché immédiatement et j'ai arrêté comme avec son premier livre. Mais sans avoir pourtant abandonné l'idée. D'où, cette reprise qui fut la bonne.

Pour moi donc, Minier n'est pas un auteur qui convainc du premier coup mais qui mérite persévérance. Il a un style particulier qui peut toucher ceux qui sont sensibles à une écriture qui verse plus dans l'émotivité et la sensiblerie, ce qui n'est pas souvent le cas dans le style policier/thriller. Disons qu'il a poussé assez loin un thème cliché du genre: un héros, policier torturé et à l'esprit sacrificiel qui dépasse l'entendement.

J'ai donc eu un peu du mal avec le personnage principal et le style plein de déjà vu ou d'illogisme/anachronisme. Et puis trop de lyrisme risque de tuer le lyrisme.

L'histoire aurait également gagné en supprimant beaucoup de longueurs, des scènes inutiles pour moi et qui ont risqué de raviver l'ennui.

Par contre, j'ai bien apprécié le côté littéraire du policier, les révélations à la fin et le dénouement final qui a été bien abordé, ce qui a sauvé l'histoire et l'a rendue intéressante.

Bref, c'est une histoire correcte. Je ne sais pas si je vais tout de suite continuer ou reprendre le premier opus. Mais je conseille en tout cas à ceux qui ne l'ont pas encore lu de commencer par lui car dans ce second livre, on s'y réfère beaucoup.

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Dates de sortie

Commandant Servaz, Tome 2 : Le Cercle

  • France : 2012-10-11 (Français)
  • France : 2013-11-14 - Poche (Français)

Activité récente

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2024-03-09T18:20:05+01:00

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