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«La vie m'a appris une chose : rien n'est éternel. Rien ni personne. Ni moi. Ni vous. Plus vite on l' accepte, plus vite on peut mener sa vie en conséquence. Et peut-être agréablement, même.

Le changement... D'un côté, on a parfois l'impression de se débattre au milieu de l'océan pour garder la tête hors de l'eau, alors qu'en réalité des courants invisibles nous entraînent peu à peu vers un lointain rivage.

De l'autre, le changement, 9 fois sur 10 c'est douloureux.»

Extrait du chapitre 17 partie 7 page 129

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Il faut avoir honte de mourir

J’avais à peine huit ans, c’était quelques mois après la mort de mon père ; en farfouillant dans ses affaires, je suis tombé sur une plaque en bois portant cette inscription :

Il faut avoir honte de mourir si l’on n’a pas remporté une seule victoire pour l’humanité.

(Horace Mann)

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- Hé, ton chausson, tu ne voudrais pas le réchauffer ?

- Je n'ai pas de four sur moi.

- Ben et moi, alors, je sers à quoi ? s'est proposée McKenna.

- Excuse-moi, mais je ne te considère pas encore comme un four.

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-L'ornithorynque mâle possède un venin capable de tuer un chien. [Ostin]

-Ouvrez la porte, je saute, a capitulé Taylor.

-Et sur Tuvalu, il y a quoi, comme créatures venimeuses ? a demandé McKenna.

Tanner, Tessa et moi avons répliqué en chœur :

-Hatch !

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-Moi non plus.

-Toi non plus quoi ? l'ai-je relancé.

-Je ne veux pas te perdre.

-Parfois je me dis que tu es la seule à me donner envie de restée vivant.

-L'amour est peut être la seule raison de vivre qui soit.

-C'est profond, ça.

-Possible.

Taylor & Michael

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"L'amour, le vrai, c'est tenue à l'autre davantage qu'à soi-même"

Taylor

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Désarçonné, notre agresseur a tenté de reprendre le dessus :

-Fermez la, et envoyer le fric.

-Ok, monsieur Revolver, me suis-je imposé. Tu ne connais rien aux armes à feu, mais l'électricité, ça te parle ?

-Hein ?

-L'électricité. Tu es allé à l'école, quand même ?

-J'ai la gueule d'un mec qui est allé à l'école ?

-L'école des gros nazes, oui, a glissé Ostin.

-Mais il sort d'où, ce type ? a râlé Nichelle.

L'intéressé est devenu tout rouge.

-Vous me provoquez alors que je vous braque avec une arme, et c'est moi le gros naze ? Je vais vous faire sauter la cervelle, on verra si vous êtes si malin que ça.

-Non mais n'importe quoi..., s'est exaspéré Ostin.

-Normalement, ai-je enchaîné, je devrais te laisser une chance de filer, mais tu irais sûrement agresser quelqu'un d'autre. Donc, tu as le choix : tu me donnes ton flingue, ou je viens le prendre.

-Vous avez fumé, ou bien ? s'est étouffé le gars.

-Notre drogue à nous, c'est la vie, lui a répliqué Ostin.

-Tu crains, mec..., a pesté Nichelle.

-Ton flingue, j'attends, ai-je insisté.

-Viens le prendre.

L'homme caressait la détente.

-Comme tu voudras, ai-je cédé.

J'ai produit une décharge qui l'a propulsé contre le mur, derrière lui. Sous la pression, la balle est partie , mais la force du phénomène l'a arrêtée. Notre agresseur s'est effondré. Ostin, lui, est allé ramasser la balle.

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- Tu ronfles. Et pas qu'un peu.

- N'importe quoi, a-t-il assuré à McKenna. C'est pas sympa, de balancer des dossiers comme ça...

- Je te rappelle que j'ai été obligé de finir la nuit dans le couloir. Tu ron-fles. Si tu ne me crois pas, on peut le prouver de façon scientifique.

- Et tu comptes t'y prendre comment ?

- Rien de plus simple. en t'enregistrant.

- Avec ton téléphone ?

- Non, je pensais plutôt à une échelle Richter."

McKenna et Taylor ont éclaté de rire.

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Quand on est jeune, on croit savoir quel adulte on va devenir, la vie semble aussi prévisible qu'un jeu vidéo. Et puis on découvre que les règles ont changé. De nouveaux personnages surgissent au milieu de la partie. On est obligés de faire des choses qu'on n'aurait jamais accepté de faire auparavant. Dans certains cas, c'est carrément le but du jeu qui change. On s'aperçoit un jour que nos rêves et la réalité n'ont pas grand-chose en commun. Le tout est de savoir comment réagir."

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« J’avais à peine huit ans, c’était quelques mois après la mort de mon père ; en farfouillant dans ses affaires, je suis tombé sur une plaque en bois portant cette inscription :

Il faut avoir honte de mourir si l’on n’a pas remporté une seule victoire pour l’humanité.

(Horace Mann)

À l’époque, je n’y avais pas attaché une grande importance, hormis le fait que cette plaque appartenait à mon père. Pourtant, son message est resté gravé dans ma mémoire. En ce moment, j’y pense souvent. Peut-être parce que, justement, je me bats pour l’humanité. Je risque moi aussi de mourrir sans remporter la moindre victoire, c’est sûr, mais alors je ne serai pas mort pour rien. 

Ça me fait penser à cette histoire horrible qu’on m’a racontée… J’ignore si elle est vrai. J’espère que non. J’aurais préféré ne jamais avoir à la raconter à mon tour, mais… Bref, la voici :

Il était une fois un aiguilleur, qui avait donc la lourde tâche de faire changer de voie les trains. À la moindre erreur, une collision était à craindre et des centaines de personnes pouvaient mourrir.

Un soir, alors qu’il s’apprêtait à actionner le mécanisme, il a entendu son jeune fils l’appeler depuis la voie que le train devait emprunter. Dilemme: s’il effectuait la manœuvre, le train tuerait son enfant. Dans le cas contraire, des centaines d’inconnus, passagers et employés du chemin de fer, risquaient de perdre la vie.

Au dernier moment, l’aiguilleur a fait son devoir. Le train est passé, sans que personne à bord ne se doute de la catastrophe évitée ni de la mort du garçon. Le père a rapporté chez lui le corps sans vie de son petit.

Cette histoire est épouvantable mais elle me donne à réfléchir. Je me demande par exemple si dans une telle situation, j’aurais actionné l’aiguillage ou pas. En théorie, c’est facile de répondre oui. Mais si ça devait coûter la vie à quelqu’un qu’on aime? Si c’était Taylor qui se trouvait sur les rails? Ou bien Ostin? Ou encore ma mère?

Tout ça me ramène à la plaque de mon père : « remporter une victoire pour l’humanité ». Cette guerre que nous menons contre le Dr Hatch et les Elgen, personne d’autre n’en a connaissance. Comme pour l’aiguilleur, si nous gagnons, personne sur terre, pas même vous, ne saura quelle tragédie a été évitée, ni qui est « mort sous le train ». Wade… L’Électroclan tout entier, qui sait? Et si nous échouons, ce sera comme si nous n’avions rien tenté. Vous parlez d’un dilemme… Mais je me dis qu’au moins on n’aura aucune raison d’avoir honte de mourrir. »

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