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Webster acquiesça et il ouvrit. Ash perdit une fois de plus.

Il ignorait quoi dire. Webster ne parlait pas non plus, se contentant de l’observer, et Ash, incrédule, se rendit alors compte avec angoisse que cet homme n’attendait qu’une chose : qu’il enlève sa chemise.

Il se leva, défit sa cravate et se débarrassa de son gilet, avant de se débrailler d’une main légèrement fébrile. Il observait Webster qui ne le quittait pas du regard.

Il souleva le lin de ses épaules et le passa par-dessus sa tête, en sachant que ce faisant, son visage prisonnier de la douce étoffe, son torse était exposé aux yeux avides de Webster. Il finit par enlever complètement sa chemise et se tint devant la faible source de lumière, torse nu, attendant la suite.

Webster ne tendit pas la main pour lui prendre la chemise. Il observait Ash, mais il ne se concentrait plus sur son visage à présent. Webster avait les lèvres entrouvertes, et Ash entendait sa respiration depuis sa place. Le regard intense fixé sur sa ceinture était aussi intime que le contact d’un doigt sur sa peau. Ash avait soudainement conscience, non sans une certaine honte, de ses poils blonds qui couraient le long de son torse, invitant Webster à les suivre du regard.

— Et maintenant ? demanda Ash, la gorge sèche.

— Une autre mise, pour le pli suivant.

— Que gagerez-vous ?

Webster ramassa la pile de papiers, incluant les promesses de dettes griffonnées et les billets, et il la jeta au milieu de la table.

— Absolument tout.

— Je…

La gorge d’Ash était aussi nouée que sa culotte devenue sacrément trop étroite.

— Et que souhaitez-vous que je mise ?

— Vous-même, répondit Webster d’une voix rauque, comme s’il devait lutter pour prononcer cela. Vous, par-dessus la table. Les jambes écartées, criant mon nom.

Ash serra la chemise dans sa main, plaçant le tissu devant son entrejambe. C’était inconcevable. Toute personne sensée exprimerait son indignation, répondrait avec véhémence…

Webster avait-il entendu des rumeurs à son sujet ? Était-ce un test, un moyen de plus de se venger, Webster ruinant sa réputation après lui avoir pris tout son argent ? Non, cela aurait été un stratagème trop risqué : Ash aurait pu l’accuser en retour, parler de ses paris honteux, et sa parole valait bien celle de Webster.

Non, il savait que ce n’était pas un fichu test. Il n’y avait pas une once de comédie dans les yeux avides qui le déshabillaient, et cela rendait son bas-ventre plus douloureux encore.

— Une nouvelle donne, dit-il spontanément. Je ne miserai pas ma maison sur cette main.

Il ne souhaitait pas non plus jouer son postérieur. Il ne le dit pas, mais l’esquisse de sourire de Webster lui indiqua qu’il comprenait. Son adversaire prit les cartes.

— Asseyez-vous donc. Et posez ma chemise.

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