Le cerveau de Kennedy

Lu en anglais, ce livre a été compliqué à plusieurs niveaux, je ne l’ai pas fini d’ailleurs. Pour l’intrigue, une archéologue retrouve son fils mort dans son appartement mais ne croit pas à la thèse du suicide, en bonne maman elle va retourner toutes les pistes possibles pour trouver qui lui a fait du mal, pour ça elle partira au Mozambique, et pour la fin je ne la connais pas mais je suppose que l’histoire se résout après quelques longueurs et rebondissements.

J’ai eu un problème de personnages pour commencer, Louise notre archéologue devient subitement une excellente policière dans son enquête et ça pour moi c’est non, j’aurais de loin préféré un duo avec la police, avec un type compétant qui croit à son hypothèse, ce n’est d’ailleurs pas à proprement parler une enquête policière mais plus un ersatz d’enquête vaguement menée par la chance et des déductions quand même bien trouvée pour quelqu’un dont ce n’est pas le métier.

En second le rythme, je sais qu’en anglais j’ai plus de mal à avancer dans ma lecture mais ici, c’est lent quand soudain, révélation puis de nouveau de la lenteur, je m’attendais mieux de l’auteur qui d’habitude me tiens en haleine. Beaucoup de choses ne sont pas nécessaires quand d’autres mériteraient d’être plus poussées.

Pour finir, l’anglais, certes accessible sans trop de terme médicaux ou recherche à faire dans le dictionnaire mais ça m’a vraiment freiné, en français je pense que j’aurais pris la peine de le terminer.

Pas d'inspecteur Wallander pour démêler cette histoire. Juste une mère qui cherche à découvrir la vérité sur la mort brutale de son fils dans son lit à Stockholm avec des somnifères dans son sang. De Suède, Louise, la mère d'Henrik Cantor, ira en Espagne à Barcelone où son fils avait un appartement secret puis en Afrique Noire jusque chez Christian Holloway pour qui il a travaillé au milieu des mourants de Xai-Xai. Et à chaque fois, la vérité se dérobe : d'abord Umbi puis Lucinda n'arrivent pas à lui dire tout ce qu'ils ont découvert. Cette vérité qui fuit et qu'elle peine à croire, finalement, elle la surmontera. Un livre étonnant.

Classé en littérature générale, ce vrai roman noir, à mon humble avis, est surtout un formidable coup de colère pour dénoncer tous ceux qui profitent ou nuisent à l'Afrique. C'est aussi un triste constat d'un continent rongé tant par la pauvreté que par le sida... Ce roman est à l'oeuvre de Mankell ce que "la constance du jardinier" est à celle de Le Carré. Bouleversant et rempli d'inquiétude.

http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2013/07/dans-la-lumiere-tu-trouveras-aussi-bien.html

J'avais adoré ses livres avec l'inspecteur Wallander (super !!) mais ce livre est hyper décevant !!!!!! AUCUN INTERET DU DEBUT A LA FIN Passez votre chemin !

Un bon thriller à la suédoise: toute ressemblence avec des faits réels ne serait que pur hasard....

assez bon livres! mais j ai surtout preferait la fin!!

Comme le dit si bien Lilou, dans la lignée des auteurs suédois : roman qui nous entraine dans une enquête halletante

le début est assez lent, il faut prendre patience... ensuite l'enquête que mène cette mère qui vient de perdre son fils unique s'accélère et prend de l'intérêt. Elle ne croit pas à son suicide et va essayer de reconstituer la vie de son fils, la part inconnue de celui-ci (énorme ! parfois je me suis demandé si il était bon de tout savoir...) et essayer de découvrir qui avait intérêt à le faire taire. Découverte de tout un pan de la vie de son fils qu'elle ne soupçonnait même pas, avec comme contexte le Sida, le mensonge, les voyages, l'Afrique etc. intéressant et dans un style bien particulier... à la suédoise... ;-))