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Dès les premières pages, j’ai été happée par la précision avec laquelle Madeline Miller décrit un pays où la violence dicte les lois et où les traditions ont une place centrale dans le quotidien des différents royaumes. J’ai particulièrement fondu devant son écriture précise mais concise qui m’a permis de me plonger dans la mythologie grecque et la Grèce de ces temps-là (pour le meilleur et pour le pire damn).
Le développement de la relation entre Patrocle et Achille est spectaculaire et effrayant à la fois. Un Patrocle qui donne beaucoup, un Achille qui peine à recevoir c’est le schéma qui se décrit de plus en plus au fil des pages. Certains choix surprenants de la part de chacun des deux protagonistes ont d’ailleurs parfois pu me donner des envies de meurtres mais BON.
La fin, la fin fût puissante et remplit de larmes pour ma part. Autant la première partie du livre a pu parfois tirer sur la longueur car peu de moments clés s’y sont produits, autant la fin m’a détruite, littéralement. Je n’en dis pas plus, mais le destin est ... injuste et frustrant.
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