Ajouter un extrait
Liste des extraits
- J'étais une petite fille heureuse de vivre, t'en souviens-tu ? Mes parents, mes amis, l'école, les histoires du soir et les tartines du matin, les balades et les jeux, les goûters et les crêpes. Sais-tu que j'adorais les crêpes ? Une petite fille pareille à tant d'autres petites filles et si heureuse. Et puis tu es arrivée.
Afficher en entierPour Pierre, ce livre qui est d'abord le sien... et qui est devenu le nôtre.
Et le vôtre à présent.
L'éditeur
Afficher en entier-POURQUOI tu ne m'as pas laissée partir?
-Parce que j'ignorais comment te suivre.
-Je suis morte, tu sais.
-Et moi je suis un TROLL.
-Ce n'est pas une réponse.
-Tu m'as posé une question?
-Gros malin, va. Qu'est-ce qu'on fait maintenant?
-Que veux-tu que l'on fasse, ON CONTINUE.
Afficher en entierCe n’est pas très sage que tu te risque ici, souffla-t-il à Léna. Elle est à l’intérieur.
-Qui es-tu ?
-Sil. Je suis un ELFE
-C’est qui, elle ? Celle qui est à l’intérieur.
La petite flamme amusée qui s’était allumée dans les yeux verts de Sil s’éteignit brusquement.
-Elle s’appelle Leucémia, cracha-t-il.
Et sa voix était HAINE PURE
Afficher en entierComme si le jour avait trébuché
en se levant et renversé
les couleurs dont il parait
certains petits matins,
le ciel ruisselait
de teintes
aussi étranges
que vives.
Afficher en entierRien ne peut se tendre à l'infini. Tout fini par se briser.
Afficher en entierPerdre la conscience d'être
pour gagner celle d'appartenir.
Afficher en entierComme si le jour avait trébuché en se levant et renversé les couleurs dont il parait certains petits matins, le ciel ruisselait de teintes aussi étranges que vives.
Afficher en entier"Face à l'hôpital se dressait le lycée où travaillait la maman de Léna. Où avait travaillé la maman de Léna. C'était du passé.
D'abord parce que sa maman était partie deux jours plus tôt, ensuite et surtout parce que personne ne pouvait travailler dans un édifice fendu en deux sur toute sa hauteur."
[Rageot Editeur 2010 - p.55]
Afficher en entier"Léna secoua la tête et s'éloigna. Certaines personnes attirent l'attention, d'autres non. Elle appartenait à la seconde catégorie et, puisqu'elle se savait incapable de se rouler par terre en hurlant, elle ignorait comment faire pour que cela change."
[Rageot Editeur 2010 - p.45]
Afficher en entier