Le Chasseur de lapins

Ça commence plutôt bien, mais au fur et à mesure, ça s'essouffle. J'ai eu vraiment du mal avec la dernière partie. On sait déjà tout et on se demande si ça vaut le coup de poursuivre alors que ça fait un moment qu'on n'est plus vraiment emballé. Il y avait du potentiel, mais au final, ça n'a pas été à la hauteur, selon moi. Pas un mauvais moment, mais rien de marquant non plus.

Un bon roman psychologique et sanglant. Un peu trop de personnage, c'est pas toujours facile de suivre... j'ai bien aimé mais pas mon préféré.

Une intrigue bien menée et bien ficelée. On part un peu dans tous les sens au milieu du roman. Je trouve que certains chapitres sont la pour "remplir" des pages. Mais le global est positif.

Un polar vraiment bien ficelé qui nous tient en haleine. Je l’aurais classé diamant n’eut été qu’il contient un peu trop de violence sadique pour moi.

C'est définitivement l'un de mes cours de cœurs de la rentrée ! L'histoire est passionnante est pleine en rebondissements. Les personnages (nombreux) sont bien construits et ils n'ont pas une seule seconde de répit dans cette traque psychologique et sanglante. Le lapin n'en a pas fini avec ses victimes et la chasse ne fait que commencer...

Inspecteur Joona Linna au rapport ! Même si j'adore cette série et ces auteurs, je dois dire que j'ai été beaucoup moins séduite par ce tome-ci...

J'ai trouvé l'intrigue plutôt plate et les liens qui d'ordinaire s'entremêlent habilement pour ne se démêler qu'à la toute fin, ont été donnés bien trop tôt au lecteur, à mon goût, ce qui m'a en quelque sorte désabusée de ma lecture avant même sa fin...

Une petite déception pour ma part, même si encore une fois Lars Kepler est un couple d'auteurs absolument formidables et que j'ai hâte d'être transportée dans le prochain périple de leur choix !

Le Chasseur de lapins est un petit thriller qui se laisse lire, mais auquel il manque quelque chose pour en faire un bon roman.

J'ai bien aimé le personnage principal, Joona, il fait un bon flic noir et ses passages en prison sont intéressants. Si au début je n'aimais pas celui du cuisinier, il évolue bien, surtout dans la relation avec son fils. Mais bon, j'ai quand même eu du mal à m'attacher à eux, ils ne m'ont laissé qu'une vague impression.

En ce qui concerne celui du tueur, j'ai adoré la manière dont il est présenté au début, mystérieux, inhabituel, on entre tout de suite au cœur de la violence. Franchement, j'étais même de son côté, parce que le meurtre d'introduction est clairement mérité.

Et puis, j'ai bien aimé le contexte psychologique dans lequel sa persona d'assassin s'est créée ; je ne peux pas plus développer car c'est au centre de l'intrigue, mais l'auteur mitonne des traumas refoulés en une vengeance bien ficelée, le tout dans une ambiance sombre et assez glauque.

J'ai été surprise que l'identité su coupable soit dévoilée bien avant la fin, mais du coup, c'est de là que vient le principal problème du roman : l'histoire perd de l'élan et la seconde moitié traîne en longueur, on se désintéresse de la quête du tueur et la fin n'est pas vraiment satisfaisante (en tout cas, j'ai trouver ça... fade ?), même si le suspense cherche à se maintenir tant bien que mal, on se doute du dénouement.

C'est dommage parce que l'intrigue avait une bonne base, l'idée avec les lapins est originale et la construction du tueur aurait pu donner quelque chose de vraiment unique mais le rythme et les choix scénaristiques desservent beaucoup trop le roman à mes yeux.

Bref, un thriller que fait son job, c'est à dire une lecture sympa avec quelques frissons, mais je regrette un livre qui aurait pu être inoubliable et n'est que passable.

L'intrigue est bien fignolée dans l'ensemble. On commence à avoir des doutes vers la moitié du livre, ce qui s'apparente à la façon dont sont construits les romans noirs ou policiers en général. Tout d'abord une fausse piste, faux suspects et tueur inoffensif en apparence qui se révèle à la dernière partie, tout en étant très près d'un principal personnage que le lecteur soupçonne d'abord. Décidément, je ne suis peut-être pas faite pour le roman policier, bien que j'aie beaucoup apprécié les lectures de ce genre jadis

Se laisse lire, une ambiance sombre, un suspens présent, pas mon préféré de cette maison d'édition !

Troisième livre de Lars Kepler que je lis, et comme à chaque fois, mon ressenti se rapproche du "Y'a du potentiel, mais je suis pas convaincue."

Beaucoup de mal avec cette lecture. On entre dans le coeur du sujet avec d'emblée quelque chose de violent et de scabreux, un viol, puis une scène de meurtre en direct... et puis, plus rien.

Une fois le ministère des affaires étrangères retrouvé mort, et la pauvre fille qui était chez lui, suspectée, l'histoire prend un temps fou avant de prendre forme.

On part sur l'hypothèse d'un acte de terrorisme, et les agents n'en démordent pas, comme s'il n'y avait pas d'autres explications possibles. (alors que bon, vu ce qu'on pouvait voir de ce charmant personnage, il était facile de trouver d'autres mobiles, mais passons)

Ensuite, l'affaire rame pendant plusieurs centaines de pages. C'est lent, et ennuyeux au possible. Tellement que le fin mot de l'histoire, on s'en ficherait presque.

Heureusement, au bout de 350 pages (enfin !), on trouve enfin une piste, et l'intrigue prend une tournure différente. Cela devient un peu plus intéressant, tout en restant assez simpliste et peu original. D'autant que ça reste assez survolé.

Est-ce que ça valait le coup ?

Je dirais que non, l'histoire aurait pu être intéressante, mais beaucoup de remplissage, de clichés, et de longueurs qui m'ont fait perdre tout intérêt pour ce roman.

Pour un thriller psychologique, c'est assez peu psychologique, en fait. Et vraiment décevant.

En revanche, j'aime beaucoup la couverture, elle est très intrigante ! Bien plus que le contenu du livre, dommage.