Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
"Je vous parle de ce que j'ai vu, Miss B... rendez l'injustice visible. faites cesser la peur. Ce sont les deux seuls moyens qui vous sortiront de votre prison."
Les hommes sont partis. Dans le château, il ne reste plus que les animaux : poules, chèvres, ânes et moutons s'épuisent à la tâche pour le prestige du Président Silvio et sa cruelle milice de chiens. La dictature et la terreur règnent... A moins que certains animaux ne décident d'entrer en résistance
"Il est beaucoup plus aisé que vous ne l'imaginez de vaincre la haine par l'amour, le mensonge par la vérité, et la violence... Par l'acceptation d'un peu de souffrance."
Le fait que les personnages soient des animaux rend les héros d’office attachants à mon sens. Miss B attire la compassion avec ses chatons. César est un concentré d’humour et de gentillesse. Quant aux autres, les tomes suivants nous dévoilerons davantage de détails.
L’atmosphère est vraiment lourde, le préambule nous avertit sur le contenu de notre lecture, mais je ne pensais pas que cela me dérangerais à ce point. Certaines planches sont violentes (mutilations, sang…) et j’ai eu la mauvaise idée de lire cette BD en prenant mon petit déjeuné. Ce que je vous déconseille fortement !
Le préambule nous explique que c’est une continuité de l’univers de George Orwell, avec son livre “La ferme des animaux”. On suit donc des personnages victimes d’un taureau despotique. La colère gronde parmi les animaux de la basse-cour et finit par éclater. C’est ainsi que se déroule le premier tome. Mais, ayant déjà lu l’œuvre de George Orwell, je n’ai pas spécialement envie de lire le même type d’histoire.
La ferme des animaux en images de George Orwell, voici à quoi me fait songer cette BD. Malheureusement, "bande dessinée" est synonyme pour moi de détente, ce que je ne trouve pas dans ma lecture de ce tome. Je vais donc renoncer à lire la suite.
Xavier Dorison s'attaque à un monument de la littérature et de bien belle façon. La nature animale n'a jamais été aussi proche de la nature humaine. L'adversité et le désespoir sont le terreau privilégié des extrêmes...
Hier soir, j'ai dévoré les 3 premiers tomes de la saga Le château des animaux, que je pensais terminée. Que nenni, le tome 4, qui sera bien le dernier, est prévu pour novembre 2025, je vais donc devoir m'armer de patience pour voir où menera cette révolution menée par une chatte courageuse, un rat intelligent et un lapin malin Au fil des planches, je me suis attachée à tous les animaux de la basse-court, et leur combat me semblait si juste et pertinent mais aussi sacrément effrayant. J'ai été incapable de reposer ma lecture et je n'ai ressenti aucune longueur alors que je suivais ce combat mental acharné. Quelle chouette lecture !
Ma chronique complète est dispo ici : https://sorbetkiwi.fr/index.php/le-chateau-des-animaux-de-dorison-et-delep/
J'ai adoré ! Je n'ai pas (encore) lu "La Ferme des Animaux" donc je n'ai pas de point de comparaison, mais je me suis beaucoup attachée à Miss B., qui essaye de s'en sortir au mieux tout en protégeant au maximum ses petits. J'ai aussi beaucoup aimé Marguerite, cette vieille oie un peu acariâtre mais qui ne veut plus s'en laisser compter. Quant à César, il m'a beaucoup fait rire ! Je trouve son duo avec Miss B. complètement improbable mais chacun est un bon contrepoids à l'autre. Finalement, comme dans toute dictature, il suffit d'une étincelle pour enflammer la cocotte de la révolution. Évidemment, Silvio (et dans une moindre mesure ses chiens) sont méprisables : on voit au travers de la scène à l'extérieur de la République qu'il n'y a vraiment que son confort qui prime. J'aurais quand même aimé un poil plus d'explications quant à l'établissement de ce régime mais je ne pense pas qu'on les aura, même dans les tomes suivants. En attendant, la critique sociale est toujours là, toujours aussi forte et impactante. Et le message véhiculé est d'autant plus fort qu'il est desservi par de très beaux dessins, à la colorimétrie et la luminosité magnifiques (au contraire de la couverture, beaucoup trop sombre).
Une jolie BD qui semble s'inspirer de la ferme des animaux de Georges Orwel. J'ai bien aimée l'histoire qui reste simple et compréhensible mais qui montre en même temps une réalité à ne pas oublié. Des dessins agréables à suivre bien que parfois un peu cru même si ils servent à choque à montrer la réalité de la république qui n'en ai pas une. Un écrit parlant et très simple à suivre
Puisque je n'arrive pas à lire en ce moment, je me rabats sur les BD, qui passent un peu mieux. Ce billet vaut pour les trois tomes de la série, que j'ai lus l'un à la suite de l'autre.
« Le château des animaux » a été très librement inspiré de « La ferme des animaux » de George Orwell, que j'ai justement lu récemment pour pouvoir en lire ces BD qui me faisaient de l'œil depuis longtemps. Je pense avoir compris que les événements se déroulaient après ceux du roman. Les animaux ne sont plus sous le joug des cochons, qui ont été détrônés. C'est Silvio le taureau qui a pris la place de Napoléon le cochon, qui ne vaut guère mieux. Ici, un mal a été remplacé par un mal.
C'est à travers le personnage de Miss Bengalore, veuve depuis peu et qui élève désormais seule ses deux chatons, que nous découvrons comment est maintenant gérée la ferme. Travail harassant, répression, peur, multiples interdictions, propagande mensongère... Rien a changé en fait. Les chiens montent la garde, surveillent et remettent dans le droit chemin les brebis galeuses, quand elles ne sont pas directement condamnées au poteau et mordues à mort...
Un vent de rébellion commence à se soulever avec l'arrivée d'un vieux rat itinérant. Mais sans violence la rébellion, car les animaux n'ont de toute façon pas les moyens physiques et matériels pour renverser le "gouvernement" actuel. Tout commence avec une marguerite peinte sur une porte, symbole révélateur dont je ne dirai rien pour ne pas gâcher...
Joliment illustrée, j'ai suivi cette intrigue avec beaucoup d'intérêt et d'entrain. Que ce soit au niveau scénaristique ou des personnages, tout est parfaitement travaillé. J'ai aimé de bout en bout. Les thèmes abordés sont les mêmes que dans le roman, à savoir comment un seul individu peut tenir tout un peuple en se servant de leurs peurs et de la propagande, en détournant les vérités et le passé. J'ai tremblé avec ce peuple et admiré le courage de ceux qui osent enfin agir (pacifiquement), malgré les risques qu'ils encourent pour eux-mêmes et leur famille.
Mon seul regret a été d'apprendre à la fin du tome 3 que l'histoire n'était pas terminée et que le quatrième tome se fait attendre depuis deux ans... C'est un peu frustrant !
Je ne suis pas vraiment douée pour commenter ce genre d'ouvrage. Alors, tout d'abord je n'ai pas lu la ferme des animaux (qui est dans mon immense PAL, encore !), donc je n'ai pas de moyen de comparaison.
D'un point de vue graphique, la BD est vraiment très belle, et j'ai adoré le style de dessins.
Au niveau de l'histoire, c'est plus difficile pour moi. Clairement, les animaux ça touche ma corde sensible et cet ouvrage ne nous épargne pas.
La dictature est très bien représentée, ses dérives et son application. J'ai plutôt apprécié voir l'évolution des mentalités et j'attends de voir ce que ça va donner dans le tome 2 !
Wow ! Ce n'est clairement pas la lecture à laquelle je m'attendais, mais elle m'a soufflée. Elle est intelligente, violente, réaliste et en plus très bien dessinée. Aussi je ne pensais pas que c'était autant lié à la ferme des animaux, mais en fait-ci, c'est vraiment la continuation du livre. Je ne pense pas lire la suite tout de suite par contre, c'est beaucoup trop triste pour que j'ai lise d'un coup, j'ai besoin d'une pause !
Résumé
"Je vous parle de ce que j'ai vu, Miss B... rendez l'injustice visible. faites cesser la peur. Ce sont les deux seuls moyens qui vous sortiront de votre prison."
Les hommes sont partis. Dans le château, il ne reste plus que les animaux : poules, chèvres, ânes et moutons s'épuisent à la tâche pour le prestige du Président Silvio et sa cruelle milice de chiens. La dictature et la terreur règnent... A moins que certains animaux ne décident d'entrer en résistance
Afficher en entier