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"Il est beaucoup plus aisé que vous ne l'imaginez de vaincre la haine par l'amour, le mensonge par la vérité, et la violence... Par l'acceptation d'un peu de souffrance."
Afficher en entierUtiliser vos crocs ou vos griffes pour obtenir votre liberté revient à dire que vous espérez récolter une rose en plantant des orties !
Afficher en entierRendez l'invisible visible. Faites cesser la peur. Ce sont les deux seuls moyens qui vous sortiront de votre prison. Tous les autres vous condamneront à jamais. La vraie question n'est pas de savoir si vous pouvez les vaincre, mais si vous le voulez.
Afficher en entier- Que tous se souviennent de son crime : CETTE POULE A VOLÉ UN ŒUF !!
- Mais... c'était le mien...
Afficher en entier- Il faudra se souvenir de ce jour, Miss B.
- Oui, comme le jour de la mort d'Adélaïde...
- Non !
- ?!
- Comme le dernier jour où nous n'avons rien fait.
Afficher en entier- Et si j'ai dépensé deux boutons pour une ration et que j'avais six boutons sur mon compte du grenier central, combien me reste-t-il ?
- Ben... Pas assez.
- Grmbl...
Afficher en entier« Vous vouliez mon briquet, non ?
- Hein... Quel rapport ?
- J'ai cru comprendre qu'il vous plaisait... Vous auriez plusieurs moyens de l'obtenir, vous pourriez me le voler, me l'acheter, me supplier de l'avoir, ou devenir mon ami et je vous l'offrirais. Dans tous les cas, vous obtiendriez ce briquet... mais il deviendrait un vol. Un achat. Une aumône ou... un cadeau. Croyez-vous vraiment que ce serait le même briquet ? »
Afficher en entierDeux mots, "Bonjour" et "Bonsoir". Ce sont les deux seuls mots que je vous autorise à adresser à mes chatons. Utilisez-en un autre, un seul, je vous éventre, je vous bouffe les tripes et quand j'ai fini de récurer votre petit crâne, j'en fais un nouveau jouet pour mes petits.
Afficher en entier- La liberté n’a jamais nourri personne, et dans ce château, chacun vit sous la menace de la milice des chiens, d’un poteau de justice, d’un séjour au donjon, il n’y a pas un animal de taille face à Silvio. On ne peut rien face à eux. Si seulement ont avait plus de crocs, de pus longues griffes, on pourrait se débarrasser du président et de sa clique…
- … et vous deviendriez comme eux.
- Pardon ?
- Utiliser vos crocs ou vos griffes pour obtenir votre liberté revient à dire que vous espérez récolter une rose en plantant des orties !
- Sauf que je n’ai pas la moindre graine pour planter des roses !
- Vous en avez plus que vous ne l’imaginez. Ils veulent vous faire croire que la vraie force vient de la force physique. C’est faux, elle vient d’une volonté indomptable.
- Vous parlez bien Monsieur Azélar, mais ma « volonté » ne peut pas grand-chose face à dix rangées de crocs ou une paire de cornes !
- Je vous parle de ce que j’ai vu, Miss B… Il est beaucoup plus aisé que vous ne l’imaginez de vaincre la haine par l’amour, le mensonge par la vérité, et la violence… par l’acceptation d’un peu de souffrance. Rendez l’injustice visible. Faites cessez la peur. Ce sont les seuls moyens qui vous sortiront de votre prison. Tous les autres… vous condamneront à jamais. La vraie question n’est pas de savoir si vous pouvez les vaincre… mais si vous le voulez.
Afficher en entierLe général répondit au roi que le fakir avait trouvé une arme qu'aucun fusil ne pouvait détruire, qu'aucun trésor ne pouvait acheter et dont aucune armure ne pouvait protéger.
N'y tenant plus le roi ordonna au général de nommer cette arme qui tirait des balles bien étranges !
Gêné, son général dut lui répondre ..." La vérité" !
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