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En 1837, dans la baie du Mont Saint-Michel, Baptiste Rivière, clerc de notaire, est convoqué au château d’Escreuil pour prendre note des dernières volontés de la propriétaire des lieux. Il doit également établir l’inventaire de ses biens. Mais à son arrivée, on lui interdit l’accès à la chambre de la baronne. Celle-ci serait souffrante, lui assure l’intendant du domaine, le dénommé Langlois, personnage inquiétant flanqué de deux dogues menaçants. Simon, le jardinier, Rose la cuisinière et Séverine la femme de chambre tiennent le même discours et lui défendent d’approcher la maîtresse des lieux. Qui est vraiment cette femme dont on lui relate la vie de comédienne et qui est veuve d’un aristocrate guillotiné sous la Terreur? En dépit des mises en gardes, Baptise se met en quête de la baronne, mais ne s’attend pas à devoir affronter sa propre vérité.

J’ai été très intriguée par la couverture d’inspiration gothique, j’ai songé à nombres de récits fantastiques qui m’ont ravie lorsque j’étais ado, je pense à E.A Poe, G. de Maupassant ou T. Gautier, le style d’écriture en est d’ailleurs très proche… et je me suis précipitée les yeux fermés sur ce livre. Je m’attendais à un conte fantastique ou à une énigme policière et non à un roman qui oscille entre romance et récit historique et qui ne m’a malheureusement pas emballée plus que cela. Mon électrocardiogramme est resté plat, faute de réel suspense, mais je reconnais à ce roman d’incroyables qualités qui raviront d’autres lecteurs. Il s’agit en réalité d’un récit d’apprentissage dans lequel le personnage principal va se découvrir. La thématique intemporelle résonne toujours aujourd’hui. Le contexte est ancré dans l’histoire de la Révolution française et les réflexions des personnages intégrés dans cette époque m’ont à plusieurs reprises semblées très pertinentes. Au détour des pages, nous croisons Joséphine de Beauharnais, les peintres Jacques-Louis David et Anne-Louis Girodet. Si je n’ai pas pleinement apprécié l’intrigue, j’ai trouvé l’écriture élégante et raffinée. Certains passages sont assez crus, Baptiste Rivière puise en effet quelques romans lubriques dans une partie de la bibliothèque du château baptisée l’Enfer. Les apparences sont en effet trompeuses et ce récit prend une tournure inattendue. On devine que l’auteur passionné par la révolution française a fourni un travail de recherche considérable sur cette période. A souligner qu’à l’image de la couverture, des dessins au crayon illustrent agréablement le récit. Je remercie pour cette lecture Les Editions de La Martinière ainsi que #Netgalley.

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