Le chevalier, la femme et le prêtre
Auteur
- Georges Duby (Écrivain)
Classement en biblio - 20 lecteurs
extrait
Il faudrait toutefois ne pas oublier parmi tous ces hommes qui seuls, vociférants, clamaient ce qu'ils avaient fait ou ce qu'ils rêvaient de faire, les femmes. On en parle beaucoup. Que sait-on d'elle ?
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Georges Duby était un grand spécialiste de l'histoire médiévale, et "mon" historien préféré pour la période.
Cet ouvrage dépeint la société médiévale, l'art de l'amour courtois, les origines du mariage, la place de la femme et celle (imposante) du clergé...
Voici l'un de ses livres marquants, parmi ceux lus pendant mes études d'Histoire.
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Un classique des travaux de Georges Duby, son approche des questions médiévales est toujours pertinente.
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Un livre d'histoire bien écrit, accessible au grand public.
La question est : qu'est ce que livre peut apporter à un non -historien ? (Mis à part un peu de culture générale.)
Peut-être une réflexion sur le sens du mariage ? A chacun d'y répondre...
En tout cas on en apprends des choses, quelques unes assez cocasses, d'autres assez tristes et terribles.
Ah la la ! L'amour, la politique, la tradition, les enjeux politiques, le pouvoir, etc.
La lutte entre l'aristocratie, les bourgeois, l’Église et bien sûr la royauté ! Mine de rien, elles sont passionnantes ces conneries ! :p
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Date de sortie
Le chevalier, la femme et le prêtre
- France : 2012-04-18 - Poche (Français)
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Résumé
Édition : Hachette 1981 Le Grand Livre du Mois
Pas d'année, presque de mois, voire de semaine où la "crise du mariage" n'agite les "médias", où l'on n'annonce l'imminente dissolution de la famille. Mais que sait-on des origines et de l'histoire de cette institution matrimoniale à la fois si menacée et si endurante ?
C'est entre l'an mil et le début du XIIIe siècle, nous montre Georges Duby, qu'elle s'est mise en place, imposée par les dirigeants de l’Église qui rêvaient d'enfermer le laïque dans la cellule conjugale, cadre consacré, contrôlé par le clergé. Mais ils ne l'imposèrent qu'au terme d'un conflit long et spectaculaire. Car l'ordre qu'ils voulaient instaurer ne se substituait pas au désordre, mais à un ordre différent, contrariait d'autres obligations morales et de vieilles habitudes.
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