Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 706
Membres
1 013 471

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par anonyme 2016-01-28T11:01:58+01:00

Quiconque saluera le roi sera battu ; quiconque l'insultera sera pendu.

Afficher en entier
Extrait ajouté par kathrynn 2023-08-19T23:05:07+02:00

Il y a vraiment des instants dans la vie où le cœur de l'homme est trop petit pour contenir la joie ou la douleur qui s'y concentre.

Chapitre XX ~ La bouquetière

Afficher en entier
Extrait ajouté par cynodon78 2023-08-18T09:47:15+02:00

« La chaleur et la vie des derniers beaux jours entraient par les lames entrebâillées de la jalousie, et faisaient briller comme de l’or et de l’émeraude, les feuilles des rosiers caressées par le soleil. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par cynodon78 2023-08-18T09:40:10+02:00

« Lorsqu’il siège au milieu des Grâces,

Phébus tient sa lyre à la main ;

Mais de Vénus s’il suit les traces,

Phébus perd sa lyre en chemin. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2023-05-15T06:42:38+02:00

Cet homme vêtu d'une carmagnole, que nous avons vu arpenter en long et en large la salle des pas perdus, et que nous avons entendu, pendant l'expédition de l'architecte Giraud, du général Hanriot et du père Richard, échanger quelques paroles avec le guichetier resté de garde à la porte du souterrain ; ce patriote enragé avec son bonnet d'ours et ses moustaches épaisses, qui s'était donné à Simon comme ayant porté la tête de la princesse de Lamballe, se trouvait le lendemain de cette soirée, si variée en émotions, vers sept heures du soir, au Cabaret du Puits-de-Noé, situé, comme nous l'avons dit, au coin de la rue de la Vieille-Draperie.

Il était là, chez le marchand, ou plutôt chez la marchande de vin, au fond d'une salle noire et f=enfumée par le tabac et les chandelles, faisant semblant de dévorer un plat de poisson au beurre noir.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Florilege 2022-06-11T11:31:00+02:00

Il y a des hommes, dit Maurice, qui ne méritent pas le nom d'homme. Il y a des lâches qui n'ont point combattu et qui ont besoin de toturer les vaincus pour se persuader à eux-mêmes qu'ils sont vainqueurs.

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2022-05-06T07:06:41+02:00

Cet homme vêtu d'une carmagnole, que nous avons vu arpenter en long et en large la salle des pas perdus, et que nous avons entendu, pendant l'expédition de l'architecte Giraud, du général Hanriot et du père Richard, échanger quelques paroles avec le guichetier resté de garde à la porte du souterrain ; ce patriote enragé avec son bonnet d'ours et ses moustaches épaisses, qui s'était donné à Simon comme ayant porté la tête de la princesse de Lamballe, se trouvait le lendemain de cette soirée, si variée en émotions, vers sept heures du soir, au Cabaret du Puits-de-Noé, situé, comme nous l'avons dit, au coin de la rue de la Vieille-Draperie.

Il était là, chez le marchand, ou plutôt chez la marchande de vin, au fond d'une salle noire et f=enfumée par le tabac et les chandelles, faisant semblant de dévorer un plat de poisson au beurre noir.

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2022-05-05T08:16:56+02:00

A l'angle du pont au Change et du quai aux Fleurs s'élèvent les restes du vieux palais de Saint Louis, qu'il s'appelait, par excellence, le Palais, comme Rome s'appelait la Ville, et qui continue à garder ce nom souverain depuis que les seuls rois qui l'habitent sont les greffiers, les juges et les plaideurs.

C'est une grande et sombre maison que celle de la justice, et qui fait plus craindre qu'aimer la rude déesse. On y voit tout l'attirail et toutes les attributions de la vengeance humaine réunis en un étroit espace. Ici, les salles où l'on garde les prévenus ; plus loin, celles où on les juge ; plus bas, les cachots où on les enferme quand ils sont condamnés ; à la porte, la petite place où on les marque du fer rouge et infamant ; à cent cinquante pas de la première, l'autre place, plus grande, où on les tue, c'est-à-dire la Grève, où on achève ce qui a été ébauché au Palais.

La justice, comme on le voit, a tout sous la main.

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2022-05-05T06:40:14+02:00

Le premier guichet s'ouvrit : il donnait sur le corridor. Le corridor était sombre, et, dans cette obscurité, les trois captives pouvaient dissimuler leur émotion. En avant, courait le petit black ; mais, lorsqu'on fut arrivé au second guichet, c'est-à-dire à cette porte dont Marie-Antoinette essayait de détourner les yeux, le fidèle animal vint coller son museau sur les clous à large tête, et, à la suite de plusieurs petits cris plaintifs, fit entendre un gémissement douloureux et prolongé. La reine passa vite sans avoir la force de rappeler son chie, et en cherchant le mur pour s'appuyer.

Après avoir fait quelques pas, les jambes manquèrent à la reine, et elle fut forcée de s'arrêter. Sa sœur et sa fille se rapprochèrent d'elle, et, un instant, les trois femmes demeurèrent immobiles, formant un groupe douloureux, la mère tenant son front appuyé sur la tête de Madame Royale.

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2022-05-04T07:32:11+02:00

Ce n'était point la défiance de ce qui avait pu se passer dans cette maison d'Auteuil où il avait conduit Geneviève et où elle était restée plus d'une heure ; non , le tourment incessant de sa vie, c'était cette idée que Morand était amoureux de Geneviève ; et singulièrement fantaisie du cerveau, singulière combinaison du caprice, jamais un geste, jamais un regard, jamais un mot de l'associé de Dixmer n'avait donné une apparence de réalité à une pareille supposition.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode