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Choisissez donc ce que vous voulez (ou pas…) et entrez de plain-pied dans la vie de Siobhán, cinquante-quatre ans, qui jette l’éponge (ou plutôt l’épluche-légumes). Oust le mari ennuyeux et la routine assommante, à elle le Périgord et la place de dame de compagnie.
Pour qui ? Mystère.
Mais surtout, pourquoi… !?
Comme elle, remballez au fil de ces neuf jours vos a priori et vos préjugés. Vous pouvez aussi remiser à la cave vos « ça n’arrive qu’aux autres ! ». Car on croit connaître les gens. Comme on croit se connaître soi-même…
Rien. Je ne cherche rien. Je vis... Et tu devrais faire pareil: La vie est courte. Tellement courte. J'ai aimé t"embrasser, tu as aimé m"embrasser. Pourquoi devrait on s'en priver? A moins que ça aussi, ça fasse partie de ton éducation: se priver des bonnes choses parce que la morale te les interdits?
Je ne dit rien. Et réfléchis à ce qu'elle vient d'énoncer, là, sereinement. Qui est la plus sage, finalement? Mais j'ai toujours eu du mal avec le fameux carpediem...
J'ai le plaisir d'avoir lu en avant-première le nouveau roman d'Andrea Cecil, "Le Chocolat de la Squatteuse", et l'ai beaucoup apprécié, comme les précédents. le titre, original, m'a attiré. Il prend tout son sens au fil des différentes parties de cette histoire très bien construite, celle de la rencontre de deux femmes dissemblables par leur origine et leur caractère : l'une est d'origine irlandaise, l'autre est italienne. Leur seul point commun au départ est d'avoir un passé douloureux. Peu à peu, elles s'apprivoisent dans des circonstances un peu spéciales, que je ne dévoilerai pas, non plus que la fin du roman qui nous réserve des surprises. Une intrigue réussie donc ! de plus, l 'autrice a développé ici deux sujets qui lui tiennent à coeur avec une grande sensibilité. Un roman émouvant et qui nous fait tous réfléchir… Je vous le conseille vivement !
Je veux encore du zoccola il est super bon très bien écrit un bon huis clos qui vous fera passer des rires aux larmes. Les personnages sont touchant une histoire originale tout comme le titre qui est intrigant un roman a lire absolument
C’est un court roman qui suit les pérégrinations de femme dans la force de l’âge. La prose, très actuelle, va à l’essentiel et privilégie les dialogues et situations comiques ou dramatiques. Le ton est juste et traite de l’homosexualité de manière authentique et non caricaturale comme beaucoup d’autres auteurs qui veulent profiter de l’émergence du mouvement metoo. Un roman vrai, frais et original qui se laisse dévorer comme… du chocolat !
Je ne compte plus les romans que j’ai lu de cet auteur, et à chaque fois je ne suis pas déçue. Une fois de plus, j’ai été embarquée dans cette histoire qui commence plutôt mal avec Siobhán qui découvre qu’elle a besoin de changer sa vie et qui rencontre un personnage qui est tout son contraire, Alessandra. Dans ce roman, on retrouve les ingrédients chers à l’auteur : les relations humaines et l’amour. Il y a même une parenthèse humoristique avec un ara… Quant au chocolat du titre, eh bien, il faut lire ce livre pour savoir pourquoi l’auteur l’a ainsi intitulé.
En résumé : encore un livre d’Andrea B Cecil que j’ai dégusté et apprécié.
Je découvre Andrea B. CECIL avec ce roman. Rencontre explosive entre deux femmes que tout oppose mis à part les épreuves que la vie leur a infligées. Peu à peu, au hasard des circonstances, elles apprennent à se connaître et à s’apprécier. Le roman est raconté sur un ton léger voire humoristique mais que l'on ne s'y trompe pas, il traite de sujets profonds comme la violence des hommes envers les femmes, la mort mais aussi l’amitié et la tolérance.
Ce livre dénonce la violence conjugale d'un mari tyrannique refusant que sa femme le quitte. Sans vouloir divulgâcher (spoiler, quoi) l'intrigue, toute une partie de l'intrigue est un sublime contraste entre la violence bête et méchante et la douceur de la découverte amoureuse. Encore un très bon livre d'Andrea B. Cecil.
Sous la plume efficace d’Andrea Cecil, la vie n’est pas des plus simples et nous réserve même de drôles de surprises, venant principalement des personnes les plus proches : celles que l’on connaît ou que l’on croit connaître. Andrea Cecil aborde ici de façon inattendue le sujet de l’homophobie et des violences faites aux femmes.
Ce roman lesbien mais pas seulement se lit presque de lui-même. On y suit avec facilité les tribulations sentimentales de deux femmes assez âgées d’une part et leurs explorations charnelles d’autre part.
Ces deux héroïnes complexes sont aussi l’une comme l’autre en souffrance. La première, une italienne au caractère latin bien affirmé, ne parvient en effet pas à surmonter son deuil alors que sa comparse, une irlandaise plus timorée, est pour sa part empêtrée dans un divorce épineux.
L’histoire construite sur cette trame très originale explore gâce à un style efficace et des dialogues aigres-doux le cycle de bonheur et d’infortune si souvent enfanté par l’amour. L’auteure refuse toutefois de se laisser aller aux facilités littéraires habituelles et préfère nous peindre à la place un portrait réaliste, voire un tantinet cruel.
Je retiens pour finir deux bons points pour ce livre. D’abord, l’utilisation astucieuse et hilarante d’un chapelet de termes argotiques italiens tout au long de l’histoire. Enfin l’idée courageuse, et bien trop rare actuellement, d’avoir montré des personnages d’un certain âge dans des situations sensuelles.
Résumé
Compote, café, pains, chocolat ?
Choisissez donc ce que vous voulez (ou pas…) et entrez de plain-pied dans la vie de Siobhán, cinquante-quatre ans, qui jette l’éponge (ou plutôt l’épluche-légumes). Oust le mari ennuyeux et la routine assommante, à elle le Périgord et la place de dame de compagnie.
Pour qui ? Mystère.
Mais surtout, pourquoi… !?
Comme elle, remballez au fil de ces neuf jours vos a priori et vos préjugés. Vous pouvez aussi remiser à la cave vos « ça n’arrive qu’aux autres ! ». Car on croit connaître les gens. Comme on croit se connaître soi-même…
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