Tout le monde pense de Sophie qu’elle est une orpheline. Nulle femme n’a en effet survécu au naufrage qui la laissa, à l’âge d’un an, flottant dans un étui à violoncelle au beau milieu de la Manche. La fillette demeure cependant intimement persuadée que sa mère n’a pas sombré avec le navire.
Alors,lorsque les services d’Aide à l’enfance anglais menacent Charles Maxim, son tuteur, érudit généreux aussi courtois que maladroit, aux méthodes d’éducation fantasques, de lui reprendre la garde de Sophie, celle-ci, suivant l’enseignement de ce doux rêveur, décide de ne négliger aucune possibilité, et part pour Paris en sa compagnie sur les traces de sa mère… Une cavale menée sous le signe de l’espoir, qui conduira la fillette aux cheveux couleur des éclairs sur les toits de la ville-lumière. Elle y fera la connaissance de Matteo et de sa bande de danseurs du ciel.
Froussards et phobiques des hauteurs s’abstenir : mieux vaut avoir le cœur bien accroché pour pouvoir suivre ces gamins-là !
Je suis plutôt déçue parce que ça partait super bien, avec un cadre assez atypique, une gamine retrouvée lors d'un naufrage dans un étui à violoncelle. Qui est-elle ? Où est sa mère ?
Pendant toute une première partie, j'ai vraiment accroché, une écriture fluide, une histoire qui démarre fort, des personnages un brin extravagants et une petite dose d'humour.
Mais après, le récit redevient bien trop conventionnel à mon goût. Le développement de l'histoire est prévisible du début à la fin, les éléments marquants sont toujours un peu faciles avec une quête finalement trop simple, et trop évidente. Evidemment qu'on va chercher à la séparer de son père adoptif. Evidemment que la recherche de la mère de la protagoniste va devenir le sujet principal. Et la façon dont elle y parvient n'est finalement pas des plus passionnantes.
Au fond, le récit reprend trop de codes de la littérature jeunesse, et même si la lecture reste plutôt agréable, c'est plutôt banal comme histoire quand on y pense...
Une très beau livre, original. Une belle aventure avec des personnages attachants. Une belle fin, même si j'aurais préférer savoir ce que vont devenir les personnages. En gros une fin un peu trop ouverte à mon goût.
Un livre très poétique. Très... doux, voilà c'est le mot. Rempli de rêve et d'extravagance. A moins que ce ne soit simplement l'enfance ? Oui, une enfance pure et belle, non encore souillée par les obligations et les choses compliquées de la vie. Sans les tracas des adultes.
J'ai beaucoup aimé la confrontation entre l'éducation de Charles en opposition aux services sociaux. C'est un beau discours et il est vrai que la loi ne peut remplacer l'amour d'un proche.. C'est une question compliquée mais qui a été traité dans ce livre avec tendresse et finalement, on se rend compte que seul l'amour compte dans ce livre.
Les enfants du ciel, qu'est-ce beau ! Finalement, rien n'est véritablement triste ici. Pourtant cela pourrait l'être... La vision des enfants, leur bonheur et leur façon de voir les choses, les autres sans préjugés et véritablement rafraîchissante.
J'ai beaucoup, beaucoup apprécié la lecture. Doux, léger, poétique et simple. Mais attention, ce n'est pas "vide" de sens, c'est au contraire vertigineux ! :)
Résumé
Tout le monde pense de Sophie qu’elle est une orpheline. Nulle femme n’a en effet survécu au naufrage qui la laissa, à l’âge d’un an, flottant dans un étui à violoncelle au beau milieu de la Manche. La fillette demeure cependant intimement persuadée que sa mère n’a pas sombré avec le navire.
Alors,lorsque les services d’Aide à l’enfance anglais menacent Charles Maxim, son tuteur, érudit généreux aussi courtois que maladroit, aux méthodes d’éducation fantasques, de lui reprendre la garde de Sophie, celle-ci, suivant l’enseignement de ce doux rêveur, décide de ne négliger aucune possibilité, et part pour Paris en sa compagnie sur les traces de sa mère… Une cavale menée sous le signe de l’espoir, qui conduira la fillette aux cheveux couleur des éclairs sur les toits de la ville-lumière. Elle y fera la connaissance de Matteo et de sa bande de danseurs du ciel.
Froussards et phobiques des hauteurs s’abstenir : mieux vaut avoir le cœur bien accroché pour pouvoir suivre ces gamins-là !
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