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Carter said, "I'm scared, Ox. What do we do?"

Ox looked at me. "What we always do. We fight."

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Kelly était en train de mourir.

Je n’exagérais pas.

C’était ce qu’Elizabeth avait dit. En quelque sorte.

— Il dit qu’il est en train de mourir, m’annonça Elizabeth le lendemain.

J’étais toujours dans le sous-sol, ne voulant pas encore en sortir, même si tout le monde m’avait dit que j’étais un idiot. Je ne pouvais pas prendre le risque que Livingstone tente à nouveau de s’insinuer dans ma tête. Gordo pensait que cela avait quelque chose à voir avec la pleine lune, mais il avait l’air sceptique.

Je me levai brusquement, le lit de camp raclant contre le sol.

— Quoi ? Qui l’a blessé ? Est-ce que quelqu’un s’en est pris à lui ? Que s’est-il passé ?

Elizabeth avait un air grave.

— Tu devrais peut-être aller lui jeter un coup d’œil, juste pour être sûr.

Il n’y avait pas d’argent pour me maintenir prisonnier, alors je passai devant elle en coup de vent et grimpai les marches quatre à quatre, persuadé de ne rien trouver d’autre que du sang et des fractures ouvertes quand je rejoindrais Kelly.

Étrangement, c’était pire.

Il était allongé sur son lit dans sa chambre, entouré de chaque membre de la meute. Jessie et Mark se tenaient juste à côté de la porte, l’air amusés. Je ne savais pas ce qu’il pouvait y avoir d’aussi drôle dans cette situation.

— Oh oh, fit Rico, jetant un coup d’œil par-dessus son épaule dans ma direction.

J’eus à peine le temps de prendre connaissance de l’une des rares chambres dans lesquelles je n’étais pas encore entré avant de voir Kelly.

Il était pâle. Ses yeux étaient injectés de sang. Il toussait faiblement. Ça ronflait et roulait dans sa poitrine. Il essayait de respirer, mais son nez ne semblait pas laisser passer grand-chose, alors sa bouche était ouverte comme s’il haletait. Il y avait une boîte de mouchoirs sur une table de nuit, et certains étaient chiffonnés dans une poubelle près du lit.

— Il est malade, chuchota Carter, horrifié. Qu’est-ce qui lui arrive ? Il… il fuit.

Même Joe semblait inquiet. Il appuya sa main contre le front de Kelly.

— Il est chaud. Genre, vraiment chaud.

Ox leva les yeux au ciel.

— Oh mon Dieu, s’écria Tanner en se triturant les mains. Est-ce que c’est une sorte de maladie ? Comme l’infection Oméga ? Tu es contagieux ?

— Il m’a éternué dessus, souffla Chris, les yeux écarquillés. Et si j’étais infecté moi aussi maintenant ? Pourquoi est-ce qu’on n’a jamais appelé de médecin pour loup quand Carter et Mark ont commencé à être malades ? Ou un biologiste ? Comment a-t-on pu être aussi aveugles ?

Jessie semblait sur le point de s’étouffer, mais je ne la regardai pas pour voir ce qui n’allait pas. Je n’avais d’yeux que pour Kelly.

— Rah, gémit-il.

— Que s’est-il passé ? demandai-je. C’est magique ? Est-ce que quelqu’un l’a contaminé ? Pourquoi est-ce que vous restez tous plantés là ? On doit le sauver !

À présent, Mark donnait aussi l’impression de s’étouffer. Je me demandai s’il avait attrapé le mal dont Kelly souffrait. Comment cela avait-il pu se propager aussi rapidement ?

Je me penchai au-dessus de Kelly, plaçant mon visage près du sien, ne sachant pas trop ce que je cherchais, mais convaincu que j’allais le trouver.

Il m’éternua au visage.  

C’était humide.

Il cligna des yeux, surpris.

Le silence retomba.

— Il est contaminé aussi ! cria Chris. On va tous mourir !

— Mais qu’est-ce qui cloche chez toi ? gronda Rico. Ça ne fait qu’un an que t’es loup-garou. Ça te bouffe le cerveau ou quoi ? Tu ne peux pas sérieusement être aussi stupide.

— On va tous mourir ! On va tous… Hé ! C’était méchant, Rico. Ce n’est pas le bon moment pour être grossier.

Tanner hocha solennellement la tête.

À présent, Jessie et Mark s’étouffaient en même temps. J’espérais que ce serait rapide et indolore pour eux.

— Je t’aime, chuchota Carter à Kelly. Plus que n’importe qui. J’aimerais… j’aimerais que nous ayons plus de temps. Je t’en prie, Kelly. Tu dois le combattre. Tu dois le combattre.

Le loup du Canada hurla un long chant de deuil.

J’entendis Ox parler à Elizabeth.

— On va vraiment laisser les choses continuer ainsi ?

— Grâce à ça, Robbie s’est levé et est sorti de l’exil qu’il s’était imposé, répondit Elizabeth. Je n’ai absolument aucun regret.

— Ce n’est qu’un virus ! s’exclama Rico, levant les mains au ciel.

— Un virus ? répéta Carter, l’air outré. Quel genre de virus ? Qui le lui a transmis ? Je tuerai ceux qui ont fait ça ! Je les tuerai tous !

Je hochai vigoureusement la tête.

— Je t’aiderai. Je déchirerai leurs entrailles.

— Encore un peu trop tôt, marmonna Chris.

— Je te plains, dit Jessie à Mark, vu que tu es parent avec la plupart d’entre eux. Je n’ai pas à m’inquiéter de ce détail.

— Ils sont ce qu’ils sont, répondit Mark, son sourire se reflétant dans sa voix.

Avant que je puisse me retourner pour leur grogner dessus puisqu’ils étaient sans-cœur, Gordo râla :

— Je vous jure que vous êtes des imbéciles. Je ne sais pas comment vous avez fait pour survivre aussi longtemps. Il a un putain de rhume.

Jessie et Mark éclatèrent de rire.

Tanner et Chris fronçaient les sourcils.

— Un rhume, répéta Chris.

— Oui, confirma Gordo, exaspéré. Un rhume. C’est tout. Rien de plus. 

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— Nous sommes littéralement la meute la plus gay ayant jamais existé, affirma Rico à personne en particulier. Et je n’y vois aucun problème.

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J’ouvris les yeux.

Kelly me regardait, une expression inquiète sur son beau visage.

Je tendis le bras vers lui pour lui toucher la joue.

— Je te vois.

Il m’offrit un sourire tremblant.

— Vraiment ?

— Oui.

— Tu te souviens ? Tu te souviens de moi ?

— De tout. Je me souviens de tout.

Une larme coula de son œil. Je la chassai.

Il attrapa ma main.

— Tu ne peux plus jamais m’abandonner.

Je ne pouvais pas le lui promettre. Aucun de nous ne le pouvait.

— Je ne le ferai pas, chuchotai-je. Jamais.

Il m’embrassa.

Je fermai les yeux.

Et là, enfin, je suivis le chant du loup et retrouvai mon chemin jusque chez

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- Oui. Mais ce n'est pas que ça. Je veux te voir autant que possible. Je veux te toucher. Je veux poser ma tête sur tes genoux et avoir ta main dans mes cheveux. Je veux que tu me souries comme si tu me connaissais. Comme si j'étais l'unique chose à tes yeux.

- Arrête, chuchotai-je d'une voix rauque. Juste... arrête.

Il baissa les yeux vers ses mains.

- Je ne te connais pas, ajoutai-je.

- Je sais.

- Je ne veux pas te connaître.

- Je le sais aussi.

- Alors pourquoi ? Pourquoi est-ce que tu...

Il releva brusquement la tête.

- Parce que je t'aime. Et que je ne t'ai jamais oublié. Même quand tout a été bousillé, même quand tout est parti en vrille et que le sang a été versé, j'ai fait tout ce que j'ai pu.

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Il y avait un diner devant moi, chaleureux et engageant. Je pouvais voir un palmier gonflable près de la porte. OASIS, disait l’enseigne près de la fenêtre.

Des personnes étaient assises au comptoir, tasses de café devant elles. Elles se retournèrent toutes lorsque je passai la porte, une sonnette tintant au-dessus de ma tête.

— J’ai besoin d’aide, dis-je, avant même que la porte ne se referme derrière moi. J’ai besoin…

Un vieil homme assis au comptoir dit :

— Robbie ? Hé ! Bordel de merde, tu es de retour ! Où étais-tu passé ?

Bon sang de BONSOIR.

Tout le monde me sourit tandis que l’homme se levait en gémissant. Leurs sourires disparurent lorsque je fis un pas en arrière.

— Tu saignes ? demanda l’homme en plissant les yeux. Est-ce que ça a déjà guéri ?

Il secoua la tête.

— Ces métamorphes. Je ne m’en remettrai jamais. Bon, ce n’est pas tout à fait vrai. Je m’en suis remis quand la meute a payé pour que la chambre d’hôtel soit réparée après tout ce bazar avec les Oméga. Et cette chasseuse folle qui aimait un peu trop Dieu. Et l’explosion du bar.

Il s’interrompit, réfléchissant.

— Beaucoup de choses arrivent avec les métamorphes, hein ? Dingue.

Avant même que je puisse envisager d’intégrer ça, une alarme se mit à beugler.

Je grimaçai et me couvris les oreilles. Cela ressemblait à un vieux système d’alerte aux tornades, et c’était partout. Les gens du diner se levèrent rapidement, et je fus choqué lorsque le vieil homme devant moi sortit un pistolet.

— Préparez-vous, les gars, annonça-t-il. Je n’ai pas pris une goutte d’alcool depuis que j’ai appris l’existence des loups-garous, ça ne va pas commencer maintenant. Je suis prêt à botter des culs et tenir les comptes.

Mais qui donc ETAIENT ces gens ?

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𝑃𝑎𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑢 𝑎𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑙𝑒́ 𝑒𝑛 𝑚𝑜𝑖 𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑜𝑢 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑖𝑠 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑎̀. 𝐴𝑣𝑒𝑐 𝑡𝑜𝑖, 𝑗𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒𝑡. 𝑇𝑢 𝑚𝑒 𝑟𝑒𝑛𝑑𝑠 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥. 𝐽𝑒 𝑡𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑠, 𝑅𝑜𝑏𝑏𝑖𝑒. 𝐽𝑒 𝑡𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑠.

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"- Bien! marmonna Joe en serons devant la porte. balançant ses mains en l'air. Nous

- Carter a dit que vous n'avez aucune limite ici. Joe me regarda bouche bée avant de se reprendre.

- Euh. Oui. Je suppose. J'ai vu le sexe de Carter plus de fois que je n'ai envie d'y penser.

Il fronça les sourcils.

- Je regrette vraiment d'avoir dit ça à voix haute.

- Et pourtant, c'est sorti, dit Ox d'un ton pince-sans-rire. Merci, Joe.

Joe lui sourit avec adoration. Cela me coupa le souffle. Ils étaient proches. Ce n'était pas comme à Caswell. Du moins, cela ne l'était pas pour moi."

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— Génial, râla Rico. C’est juste génial. Hé, les gars. Une idée. N’entrons pas dans le piège que ce taré de mage a monté pour nous. Hein ? D’accord ? Des preneurs ? Personne ?

Il soupira quand personne ne répondit.

— Putains de loups-garous.

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— Nous sommes littéralement la meute la plus gay ayant jamais existé, affirma Rico à personne en particulier. Et je n’y vois aucun problème.

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