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« Le vent faisait ployer les arbres quand il se gara devant l'immeuble de Naomi. Le clair de lune éclairait la rue, et la musique douce qui s'échappait de l'autoradio invitait à la rêverie.

Ian sourit. C'était une soirée parfaite.

Le parfum subtil de Naomi flottait dans la voiture. Elle avait commencé à se détendre quand ils avaient repris leur discussion sur les livres. Elle s'était même particulièrement animée. Il ne pouvait que se féliciter d'avoir trouvé le bon stratagème.

Non que ce soit uniquement un stratagème. Après tout, c'était vrai, il voulait cette bibliothèque, et c'était logique qu'il aille chercher des conseils auprès de Naomi, qui était une fine connaisseuse. Et si, de plus, c'était une femme attirante qui suscitait son intérêt à un niveau plus personnel, il ne pouvait que s'en réjouir.

Et il voulait bien être damné si cet intérêt n'était pas réciproque.

Se tournant vers lui, elle rejeta en arrière sa chevelure bouclée qui tombait en cascade sur ses épaules. »

Extrait de 

-La saga des MacGregor - Tome 10 - Trois fiancées pour les MacGregor

Nora Roberts

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« Alors, descendez !

Si elle commençait à lui obéir au doigt et à l'œil, elle allait lui donner une fausse image d'elle.

—Montez. Dans mon bureau ! dit-Il sans la quitter des yeux

Elle haussa les épaules. Sans insister davantage, il se retourna et attendit. Il savait que Cat allait prendre son temps. Lui-même aurait sans doute réagi de la même façon.

Quand il la vit apparaître sur le deuxième pont, il lui fit signe de continuer.

—   Il y a un problème, patron ?

—Non. Vous avez passé une bonne matinée ?

—   Je ne sais pas. J'ai dormi.

En arrivant sur le pont supérieur, elle regarda autour d'elle.

—Heureusement que j'aime l'altitude !

—   Entrez...

Il ouvrit la porte et la laissa passer devant lui.

Cat entra d'un pas nonchalant et jeta un coup d'œil circulaire. »

Extrait de 

-La saga des MacGregor - Tome 10 - Trois fiancées pour les MacGregor

Nora Roberts

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« Je ne connais aucun Henry, banquier ou autre. Et je ne vois vraiment pas pourquoi tu crois que ton grand-père voudrait m'imposer un banquier. Je n'ai pas besoin de changer de banque.

—   C'est un mari qu'il veut t'imposer.

Se mettant à rire, elle attrapa son verre de vin et le vida d'un trait.

—   Je te demande pardon ? finit-elle par dire.

Dan sourit, ravi de voir son expression à la fois incrédule et choquée.

—   Je voulais t'en parler, et nous avons été détournés de ce sujet. Il t'aime beaucoup.

—   Henry?

—   Non, pour l'amour du ciel ! Tu n'as pas encore rencontré Henry, je crois ? Je parlais de mon grand-père.

Layna posa son verre et leva ses deux mains.

—   Je ne comprends pas. Ton grand-père a plus de quatre-vingt- dix ans, et il a fait un mariage heureux...

Dan faillit éclater de rire.

—   Je ne pense pas que tu fasses exprès de ne pas comprendre. Bon, reprenons au début. »

Extrait de 

-La saga des MacGregor - Tome 10 - Trois fiancées pour les MacGregor

Nora Roberts

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D'après les mémoires de Daniel Duncan MacGregor

Il y a des moments qui se gravent dans la mémoire d'un homme, y laissant un souvenir qui ressemble à un diamant aux multiples facettes translucides. Par exemple, le jour où il tombe amoureux pour la première fois. Et le jour où il voit pour la première fois la femme de sa vie. Ou encore l'instant où il prend dans ses bras son enfant nouveau-né.

Et les nombreux événements de sa vie qui le remplissent de joies et de chagrins, de rires et de larmes.

C'est ainsi qu'il y a des instants précieux gravés dans ma mémoire, trop nombreux pour être comptés, trop rares pour qu'ils soient considérés comme acquis. Mais tous tendrement évoqués.

Il y en a eu un autre récemment. Une belle jeune fille, que j'aime maintenant comme si elle était ma propre enfant, vient de s'unir avec mon petit-fils Duncan.

Elle fait partie des nôtres.

Après qu'ils ont prononcé leurs vœux et échangé leur premier baiser, elle s'est dirigée droit vers moi et m'a murmuré à l'oreille :

—Merci.

N'est-elle pas adorable ?

Non pas que j'aie fait cela pour avoir des remerciements. Mais c'est bon de voir ses idées et ses attentions appréciées à leur juste valeur, de temps à autre.

Quels beaux enfants ils vont faire ces deux-là ! Il n'y a pas vraiment d'urgence, bien qu'Anna s'impatiente déjà. Elle craint qu'ils mettent du temps à se décider.

Quoi qu'il en soit, nous avons fait ce qui était en notre pouvoir pour les mettre sur la bonne voie.

Aujourd'hui, j'admire par la fenêtre les dernières roses grimpantes. Elles vont bientôt être fauchées par le vent d'hiver. Eh oui, le temps passe, malgré notre désir de le retenir.

C'est pourquoi il ne faut pas le gaspiller. J'ai encore des petits- enfants qui ont besoin d'être poussés dans la bonne direction. Mais il vaut mieux que je n'en parle pas. Anna m'a fait la leçon, l'autre jour, parce que j'avais remarqué, au passage, que notre pétit Ian arrivait en âge de penser à son avenir.

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D'après les mémoires de Daniel Duncan MacGregor

Les saisons passent plus vite quand on atteint un certain âge. L'été succède si rapidement au printemps que l'on n'a presque pas le temps de voir fleurir les tulipes avant qu'elles ne se fanent de nouveau. Sans famille, sans l'amour des siens, on doit se sentir bien seul.

J'ai la chance de ne jamais être seul.

Et, chaque jour, j'en suis reconnaissant. Reconnaissant pour la femme magnifique qui a passé toutes ses saisons avec moi, pour les enfants que nous avons élevés et pour les bébés qu'ils nous ont donnés. Et je prends conscience, plus que d'autres, je crois, que lorsqu'un homme a eu tous ces bienfaits, il a la responsabilité de les protéger.

Hier, mon fils aîné a marié son fils. Les saisons passent, et les générations les suivent presque aussi vite. Je sais ce que mon fils a dû éprouver en voyant le sien faire ce grand pas décisif. La fierté mêlée à l'amertume de l'éloignement, les espoirs pour l'avenir...

J'aurais pu dire à mon Alan qu'il n'avait aucune raison de s'inquiéter pour l'avenir de Dan et de Layna. Après tout, je les avais choisis, je savais qu'ils étaient faits l'un pour l'autre. Naturellement, ceci doit rester entre nous. Je préfère que mon petit-fils croie avoir tout décidé lui-même. Je suppose que c'est important pour lui.

Ils forment un beau couple. C'était adorable de les voir échanger leurs anneaux dans la lumière des bougies. Dan ressemblait au jeune homme que j'étais, soixante ans plus tôt. Quant à Layna, elle était resplendissante, avec le voile de mariée des MacGregor posé sur ses cheveux dorés.

Ils vont faire de superbes bébés. Je vais être heureux, et ne parlons pas de leur grand-mère. Elle est d'une impatience folle !

Maintenant qu'ils sont partis en voyage de noces, nous allons les laisser construire leur vie ensemble.

Aujourd'hui, j'ai fait une promenade sur les falaises en compagnie de mon Anna. Au-dessous, la mer s'agitait inlassablement, et au- dessus de nos têtes, le ciel clair était une immensité bleue. Je sentais le vent sur mon visage, et la main d'Anna dans la mienne.

Cette promenade, nous l'avons souvent faite, tous les deux.

Depuis la falaise, je voyais la maison que nous avons construite. Certains disent que c'est une forteresse, ou un château. C'est un peu les deux. Une place forte, composée de bonnes pierres du pays, avec des tours majestueuses, et le blason de mon clan au-dessus de la porte. Un homme ne doit pas oublier ses racines.

Mais cette maison est surtout mon foyer. Le lieu où Anna et moi avons livré nos batailles, fait l'amour, et où nous avons vu grandir nos enfants. C'est un foyer que nous partageons encore tous, bien que nos enfants soient désormais installés, qu'ils soient parents et parfois grands-parents.

Grâce à moi, bien sûr.

Je suis heureux d'avoir mis les miens sur le bon chemin. Foyer et famille. Quoi que fasse un homme, ou une femme, dans la vie, ceci est la base de toute chose.

Maintenant, j'aimerais savoir où en sont mes autres petits- enfants.

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D'après les mémoires de Daniel MacGregor

Quand on atteint mon âge, les années passent vite, une saison chassant l'autre impitoyablement. Il faut savourer chaque instant, le vivre le plus intensément possible.

Naturellement, j'avais la même impression à trente ans !

Ces dernières années m'ont comblé. Quatre de mes petits- enfants adorés ont trouvé l'amour. Ils se sont mariés et ont fondé une famille. Laura, d'abord, puis Gwen, Julia et Mac. Leurs yeux brillent de bonheur, leurs voix résonnent de satisfaction. Chacun a trouvé l'âme sœur. Cependant, ils y ont mis le temps. Pourquoi ? allez-vous me demander.

A vrai dire, sans moi, ils seraient encore en train de patauger, et Anna n'aurait pas un seul arrière-petit-enfant à gâter. Mais attention, je ne demande pas de reconnaissance. Non. Tant que je serai le chef de cette famille, je continuerai à remplir mes devoirs sans avoir besoin de remerciements. Avec plaisir. Ce qui compte par-dessus tout, pour moi, c'est de voir mes petits-enfants confortablement installés.

On aurait pu croire que tous ces mariages allaient inciter mes autres petits-enfants à suivre l'exemple de leurs frères et sœurs et de leurs cousins. Mais non ! Les MacGregor sont une espèce têtue et indépendante. Et que Dieu en soit loué !

Heureusement, je suis toujours là pour veiller au grain. J'ai vu trois de mes petites-filles dire oui devant l'autel et j'ai encouragé l'aîné de mes petits-fils à en faire autant. Certains disent que c'est de l'ingérence. Moi, je dis que c'est de la sagesse. Et j'ai décidé qu 'il était temps d'insuffler un peu de cette vertu à mon petit-fils, Daniel Campbell.

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