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— Tu as quelqu'un ? demanda mon père.

Je me tortillai, faisant mine d'être particulièrement intéressé par mon nettoyage. Il était tout simplement hors de question que je leur dise quoi que ce soit.

Surtout, sur qui que ce soit.

— Non, protestai-je, rouge tomate.

Il approuva d'un air satisfait.

— Bien. Parce que si c'est le cas, mon glock l'attend de pied ferme.

Oh, pitié, tuez-moi sur le champ.

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« — Des Skittles ? m’étonnai-je. Des bleus, en plus ?

Il haussa négligemment les épaules, observant paresseusement les autres étudiants.

— Tes frères ont lâché l’info contre des tâches ménagères.

— Des tâches ménagères ?! m’exclamai-je, outré. Ils m’échangent contre des tâches ménagères ?! Les enfoirés ! »

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“Il n’avait pas entendu ce que j’avais dit, mais il en avait probablement une petite idée.

— Cela ne m’est jamais arrivé jusqu’à présent, sortis-je d’une traite.

— Attends, quoi ?

— Je n’ai jamais couché avec personne.

Merde, il voulait que je meure de honte sur place ou quoi ? Il ouvrit et referma plusieurs fois la bouche, bafouilla, puis recommença son numéro de poisson hors de l’eau.

— Répète un peu ?

— Tu m’as très bien compris, sifflai-je.

— Tu te fiches de moi ?

— Ezra.

— Mon. Dieu, souffla-t-il, estomaqué.

Je n’aurais jamais dû me sentir honteux. Je n’avais même pas encore vingt ans ! Alors oui. Je devais bien être l’un des derniers mecs encore puceaux sur ce campus, mais pas besoin d’en faire tout un drame !

— Mais comment c’est possible ? s’écria-t-il.

Je lui signalai de parler un ton plus bas lorsque quelques têtes se tournèrent vers nous. Il me fit un geste apaisant de la main.

— Mais regarde-toi, souffla-t-il en m’englobant de la main. Tu es magnifique.

Ce fut à mon tour de faire le remake de l’animal aquatique au bord de l’asphyxie. Mon Dieu. Est-ce qu’il venait vraiment de me dire que j’étais beau ? Une sorte de feu d’artifice explosa sous mon crâne.”

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« — Aïe !

— Gabriel ? chuchota une voix en contrebas.

— Ezra ? Bon sang, mais qu’est-ce que tu fiches sous ma fenêtre à cette heure-ci ?

— Ça ne se voit pas ? Je nous fais un remake de Roméo et Juliette.

J’en restai quelques secondes estomaqué, avant de rire.

— J’espère que je ne tiens pas le rôle de Juliette. »

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« J’avais envie de lui hurler que je n’avais aucun problème mental, que j’avais toutes mes dents et que j’étais receveur. Le groupe sanguin du receveur universel, bien sûr. Pas l’autre receveur. À quoi vous pensiez, bon sang ? »

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“Je plissai des yeux, pas sûr de bien comprendre.

— Peut-être ? Soit tu as couché avec elle, soit tu n’as pas couché avec elle. C’est une question simple, Ezra. Pas une équation à trois inconnues.

— Ouais, eh bien, répondit-il en me lançant une œillade noire, elle est plutôt inconnue à ma mémoire si tu tiens tant que cela à savoir.

J’en restai comme deux ronds de flan.

— Tu as couché avec tant de filles que ça ? ne pus-je m’empêcher de demander, en me penchant par-dessus la table pour l’examiner de plus près.

Il souffla avant de se détourner. J’essayai d’intercepter son regard pour qu’il me donne confirmation ou au moins un signe. N’importe quoi !

Moi, masochiste ?

Sans conteste.

— Écoute, je… oui. Mais c’est fini, maintenant. Je me suis calmé.

— Oh, mais tu fais ce que tu veux mon grand. Ce ne sont pas mes affaires.

Attention, spoiler : c’était un mensonge.”

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“Pourquoi ramais-je autant lorsque je tentais de lui parler ? Et ce n’était pas faute d’avoir essayé ! En fait, cela faisait près d’un mois que je me sermonnais avant chaque commande. Sans succès. Cela en devenait tout simplement ridicule.

Un profond soupir secoua le corps de ma meilleure amie qui eut enfin la bonté de me sortir de ce pétrin, tandis que mon crâne allait exploser sous l’humiliation.

— Un grand latte avec beaucoup de crème, s’il te plaît.

Je sentis honteusement une autre vague de chaleur s’étendre sur mes joues, lorsque l’autre continua à me fixer durant de longues secondes. Bon sang, la gêne. Il se demandait sûrement quel était mon problème.

J’avais envie de lui hurler que je n’avais aucun problème mental, que j’avais toutes mes dents et que j’étais receveur. Le groupe sanguin du receveur universel, bien sûr. Pas l’autre receveur. À quoi vous pensiez, bon sang ?

J’aurais pu dire n’importe quoi pour qu’il arrête de m’analyser comme si j’étais un extraterrestre venu d’une autre planète.”

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« — Ces filles, elles ont été chéries durant les courts instants qu’on a partagés. Non, me stoppa-t-il, lorsque mon corps se statufia. Il faut que tu l’entendes. Je n’ai jamais pu leur offrir que quelques minutes, mais, avec toi, c’est différent. Je ne veux pas me limiter à une poignée de secondes et encore moins à une seule nuit. Je veux essayer… quelque chose. Je ne sais pas quoi, mais je le veux. »

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« — Gaby ?

Je repoussai Ezra qui alla s’écraser au sol, à l’opposé de la porte qui s’ouvrait déjà sur ma mère. J’eus tout juste le temps d’attraper mon téléphone avant qu’elle ne passe la tête à travers l’embrasure.

— Mon chéri, est-ce que tout va bien ? Qu’est-ce que tu fais ?

— Maman, on a déjà parlé de ta manie d’ouvrir les portes sans frapper.

Elle ouvrit plus grand la porte, inondant la chambre de lumière. Je me crispai légèrement en voyant les vêtements d’Ezra, en tas sur le sol.

— Peu importe. Je voulais te souhaiter bonne nuit, mais je semble t’avoir dérangé. « — Je regardais simplement des vidéos sur Internet, maman.

Un bruit remonta le long de sa gorge. Le contre-jour de la lumière m’empêchait de lire son expression.

— Gaby, est-ce que tu visionnais un porno ?

— Quoi ? m’étranglai-je, en me redressant. Non ! J’étais sur YouTube !

— Est-ce que c’est le nom de la dernière plateforme de sexe en ligne, mon chéri ? Il faut que tu fasses attention sur ce genre de sites. On ne sait jamais sur qui on peut tomber.

— Oh. Mon. Dieu. Maman ! Stop. S’il te plaît. Tu n’es pas assez vieille pour ne pas connaître YouTube !

Je me cachai le visage, mort de honte.

— Laisse-le tranquille, Maddie, l’arrêta mon père. C’est de son âge. En plus, je pense que le nouveau site s’appelle You…

— Stop ! Tous les deux !

— Oh. Ce que tu peux être susceptible, Gaby.

— Moi aussi je le serais, si on m’avait dérangé en pleine séance de masturbation.

« — Je regardais simplement des vidéos sur Internet, maman.

Un bruit remonta le long de sa gorge. Le contre-jour de la lumière m’empêchait de lire son expression.

— Gaby, est-ce que tu visionnais un porno ?

— Quoi ? m’étranglai-je, en me redressant. Non ! J’étais sur YouTube !

— Est-ce que c’est le nom de la dernière plateforme de sexe en ligne, mon chéri ? Il faut que tu fasses attention sur ce genre de sites. On ne sait jamais sur qui on peut tomber.

— Oh. Mon. Dieu. Maman ! Stop. S’il te plaît. Tu n’es pas assez vieille pour ne pas connaître YouTube !

Je me cachai le visage, mort de honte.

— Laisse-le tranquille, Maddie, l’arrêta mon père. C’est de son âge. En plus, je pense que le nouveau site s’appelle You…

— Stop ! Tous les deux !

— Oh. Ce que tu peux être susceptible, Gaby.

— Moi aussi je le serais, si on m’avait dérangé en pleine séance de masturbation.

Heureusement, mon père ferma la porte de ma chambre. Je les entendis rejoindre la leur au bout du couloir.

À ce moment-là, une série de gloussements se transformant rapidement en ricanements s’élevèrent du sol. Un Ezra, mort de rire, remonta dans le lit. »

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— Vraiment ?

Il fouilla mon visage, interloqué par ma réponse. Je me tortillai sur mon tabouret, priant pour que quelqu’un vienne me sauver et il sembla qu’un petit lutin de Noël m’entendit.

— Ezra, mon pote ! s’exclama Kai avant de lui claquer l’épaule.

Je profitai que celui-ci soit occupé pour m’enfuir, comme le garçon courageux que j’étais. J’agrippai Ania pour l’attirer dans un coin, à l’abri des regards.

— Il est là, chuchotai-je le plus calmement possible.

Autant dire que je ressemblais à un fou hystérique, les yeux manquant sortir de mes orbites.

— Qui est là ?

Je sursautai, la main sur le coeur, en fusillant du regard Nate, qui n’avait même pas encore pris le temps de se séparer de son manteau.

— Vraiment ? s’étonna Ania qui se mit sur la pointe des pieds pour l’apercevoir. Oh mon Dieu, tu as vu ce tee-shirt ? Comment ses muscles font pour tenir là-dedans ?

— Tu n’as pas besoin de me le faire remarquer, rétorquai-je, agacé, alors qu’elle ne m’aidait pas du tout.

— Tu lui as parlé ? s’enquit Nate.

Je me tapai le front de la main, lorsque je le vis chausser ses lunettes pour mieux voir. Bon sang. Qui avait bien pu me mettre des amis pareils dans les pattes ?

— Si tu entends par là que j’ai sorti comme un gros imbécile « je n’ai absolument pas remarqué ton numéro de téléphone à l’intérieur du carton »

alors, oui, je lui ai parlé.

Je boudai légèrement lorsqu’il me hurla son rire au nez, bientôt rejoint par Ania. Il leur fallut plusieurs minutes pour se calmer, leurs corps encore secoués de tremblements.

— Oh, c’est bon, n’abusez pas non plus.

Ma lèvre inférieure s’étira vers l’avant lorsqu’ils s’essuyèrent le coin des yeux.

— Je t’aime tellement, Gaby. Tu es la personne la plus distrayante au monde.

— Super, content que cela te plaise. Je ne suis sur terre que pour te divertir après tout.

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