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Il avança vers elle, l’obligeant à reculer sous le feu de son regard. Il l’accula contre la porte, lui interdisant d’un regard impérieux toute velléité de retraite. Mais cette fois-ci, Lizzie n’avait plus aucune envie de fuir. Au contraire. Ce qu’elle vit dans ses yeux la fascina tellement qu’elle en eut le souffle coupé. Et soudain, les lèvres d’Alexander furent sur les siennes, qu’elle avait avancées, cédant à son irrésistible attirance pour lui tant il lui avait mis le sang en ébullition. Personne jamais ne l’avait embrassée et elle ne savait pas comment se comporter, mais en sentant l’insistance de la langue du laird contre ses lèvres, elle entrouvrit la bouche, et… fut entrainée dans un tel tourbillon de sensations qu’elle dut s’accrocher à ses épaules pour ne pas tomber. Elle gémit, éperdue. Elle était perdue, mais elle ne voulait plus qu’une seule chose : ne jamais cesser de l’embrasser.

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Elle pouffa lorsque Craig se retrouva sur le dos, les quatre fers en l’air, les jambes fouettées par un jeune homme voulant manifestement se faire remarquer par Lizzie qu’il ne cessait d’observer à la dérobée. Craig éclata de rire et se redressa. Il se tourna dans sa direction, fit une petite révérence pleine de charme.

— Ceci est votre faute, ma dame, lança-t-il. Vous m’avez distrait.

Lizzie se mit debout, ôta sa besace de son buste pour la laisser tomber au sol, jeta son trognon de pomme aux poules qui picoraient le long du mur et s’avança.

— Vous m’en voyez désolée, là n’était pas mon intention. Cela dit, vous ouvrez trop votre flanc gauche quand vous attaquez et vous êtes légèrement déséquilibré, il est normal qu’un adversaire intelligent le remarque. Ce n’est certainement pas la première fois que vous vous retrouvez à terre, car je suis sûre que certains d’entre eux le savent, sans jamais vous l’avoir révélé. C’est certainement là leur petite revanche sur vous.

Elle avait eu la chance d’être élevée avec une liberté presque totale et elle avait pris l’habitude de s’entrainer depuis son plus jeune âge au combat à l’épée avec les garçons de la forteresse, juste pour s’amuser et pour leur montrer qu’une fille pouvait guerroyer au moins aussi bien qu’eux. Elle était rapide, souple, rusée et avait un sens tactique inné ; peu était capable de la battre. Jusqu’à ce que son oncle mette fin à ses entrainements lorsqu’elle fut plus âgée. Il n’était pas bienséant pour une jeune fille comme elle, héritière d’un laird, de s’adonner à ce genre de pratique. Il lui avait fallu apprendre les lettres, les arts, la danse, et comment bien se comporter avec un époux. Cette partie-là de son éducation, contrairement aux entrainements aux armes qu’elle avait continué en cachette, elle l’avait oubliée.

Durant son discours, Craig avait ouvert les yeux de plus en plus démesurément tandis que de discrets ricanements se faisaient entendre. Il n’avait pas le caractère enflammé d’Alexander, il était plus tempéré, mais pas pour autant dénué de fierté.

— Voyez-vous ça...

— Vous voulez que je vous montre ?

— Pardon ?

— Je peux vous apprendre à corriger votre défaut si vous le souhaitez. Cela vous évitera de vous faire humilier à l’avenir…

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Subjuguée, son cœur battant soudain à un rythme infernal, la jeune femme regarda avec stupeur le nouvel arrivant avancer vers eux au pas de charge, son épée battant sa jambe gauche à chacune de ses enjambées. Il était grand. D’une taille supérieure à la moyenne, et incroyablement beau. Le plus bel homme qu’elle n’ait jamais rencontré. C’était la première fois qu’elle voyait un homme si bien fait de sa personne. Les chausses moulaient avantageusement ses cuisses, le plaid jaune et rouge autour de son buste lui donnait une allure de roi. Elle eut juste le temps d’apercevoir des avant-bras noueux, des boucles brunes et l’esquisse d’un sourire avant qu’il ne prenne Ewen à bras-le-corps. Il lui tapa dans le dos, visiblement ému de le voir.

Puis, il tourna la tête vers elle.

Alors son cœur menaça de s’arrêter tout à fait.

Les prunelles d’une incroyable couleur verte, bordées de longs cils, fouillèrent les siennes sans aucune gêne, le sourire s’évanouit. Cet homme la regardait comme s’il allait la manger toute crue. Une sensation inconnue prit naissance dans son ventre. Quelque chose d’indécent qui la bouleversa jusqu’au tréfonds de son âme. Lizzie avait le sentiment de respirer pleinement pour la première fois de sa vie tout en ayant le souffle coupé. L’homme la dévorait du regard avec une telle intensité, une telle fièvre, qu’elle finit par s’en offusquer.

Pour qui se prenait-il à la fin pour la jauger de la sorte ?

Elle reprit contenance, se redressa et le toisa sans ciller ; elle n’allait pas se laisser intimider par cet homme, aussi magnifique soit-il !

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Il prit conscience que tous, autour de la table, s’étaient arrêtés de parler. Il leva les yeux de son écuelle et vit qu’ils regardaient l’entrée de la pièce, où était apparue la jeune femme, encadrée de ses deux gardes. Il avala sa salive avec difficulté. Dans cette robe rouge sang aux crevés or qui dégageait sa gorge et mettait en valeur son buste d’une attirante finesse, elle était magnifique. La plus belle femme qu’il lui avait été donné de voir depuis longtemps. Il aurait dû se lever, mais ne le pouvait ou chacun pourrait voir qu’il la désirait. Au-delà de toute raison, et contre toute raison !

Qu’était-il en train de faire, bon sang !

Elle était une MacDonald !

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