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Clara entra. Elle vit James le front sur la table, et Agatha l’air mauvais.

— Alors, il a de nouveau tout gâché ?

James se leva car il n’en pouvait plus, même s’il adorait ces deux femmes.

— Bon... euh... si on me cherche, je suis dans la salle du chiffre.

— Philippa n’est pas dans la salle du chiffre, lui lança Agatha au moment où il sortait. Tu n’y trouveras que des papiers poussiéreux... et un Fisher poussiéreux, par-dessus le marché !

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— Nous ? Ne me dis pas que tu caresses l’intention de t’encanailler, cher James ?

— C’est juste pour vous avoir à l’œil, répliqua James. Si je ne vous surveille pas, vous allez finir la nuit tout nus dans les arbres de Hyde Park.

— Personne n’a jamais pu prouver que c’était moi ! rétorqua vivement Collis.

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Tu es la fin et le commencement

Celle que je veux serrer dans mes bras toutes les nuits

Et respirer chaque matin.

À ma mort mon seul regret sera

Que tu doives quitter mon coeur sans savoir

Comme il chante quand tu me touches.

Tu es ma fée, tu es mon amie.

Tu es mon amour.

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- On dit que sir Thorogood est en réalité une femme. Si c’est le cas, elle doit avoir une langue de harpie ! J’ai pitié de son mari, si elle en a un…

Il y eut un gloussement étranglé derrière elle. C’était le patron de l’espionnage en personne, qui luttait contre le fou rire. Philippa le regarda avec des yeux ronds : jusqu’à cet instant, elle l’avait trouvé majestueux au point d’être intimidant.

Clara fit le tour de la table pour venir se planter devant son mari, les poings sur les hanches.

- Nous nous expliquerons à la maison, Dalton Montmorency !

- Non, tout de suite, riposta-t-il en l’enlaçant.

Philippa, gênée par cette familiarité, n’y comprenait rien.

- Venez donc, Philippa. Quand ils s’y mettent, on ne les arrête plus, expliqua Agatha en l’entraînant hors de la pièce.

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- Du hareng ! Soupira-t-elle à voix haute. Suis-je encore en vie, ou bien est-ce le paradis ?

- Sapristi, Philip ! Ce n’est que de la nourriture !

Philippa sursauta violemment, son assiette lui échappa et son contenu vola dans les airs, sur la table, sur plusieurs chaises.

James Cunnington, debout devant la table, essuya les oeufs brouillés qui maculaient sa chemise.

- Ou plutôt « c’était » de la nourriture, devrais-je dire. Vous m’en avais laissé, Philip? Ou bien vous avez tout donné aux meubles ?

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- À propos de votre femme. Cunnington, poursuivit Liverpool, comment avez-vous l’intention de clore le chapitre Philip Waters ? Car il… enfin, elle a fait forte impression auprès des jeunes filles à marier.

- Eh bien, milord, le très cher frère jumeau de Philippa s’est embarqué pour une destination inconnue.

Dalton grimaça.

- Des jumeaux, ça sens le déjà-vu.

- Mais c’est loin d’être une honte ! Gronda une voix derrière eux.

Les trois hommes se tournèrent : c’étaient les demoiselles d’honneur, Kitty et Bitty Trapp.

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La chemise de Philippa, sans la cuirasse du gilet, ne cachait guère sa poitrine libérée de tout bandage. Par le ciel ! Où avait-elle caché ces beaux seins tout ce temps ?

- Quelle femme es-tu pour t’habiller de façon si provocante ?

- Une femme qui préfère ne pas sentir l’urine de souris, répondit-elle, gênée.

- Moi je la trouve tout à fait charmante, intervint Fisher, désormais éperdu d’amour.

Philippa eut un sourire pour le jeune chiffreur, ce qui eut le don de faire écumer James.

- Merci, adorable monsieur Fisher ! Lança-t-elle.

- Oh, s’extasia Fisher en rougissant jusqu’au oreilles. Vous pouvez m’appeler Fish, si vous voulez.

- Bon, ça va, ça va ! Coupa James.

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En voiture, James tenta de rassurer son compagnon.

— Vous savez, Philip, si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à m'en parler.

Philippa tira nerveusement sur ses manchettes.

— Ça va, je n'ai besoin de rien...

— Bon. Mais écoutez-moi bien : avez-vous confiance en moi?

La jeune femme se tourna franchement vers lui.

— Ma foi, oui. Pourquoi?

— Parce que j'ai un service à vous demander.

— Ah bon?

— Je voudrais que... comment dire? que vous soyez plus... viril.

— Vous ne me trouvez pas viril? demanda Philippa, complètement défaite.

— Si vous en avez le désir, je pourrai vous aider. Vous donner quelques trucs, vous comprenez?

Il y eut un bruit étranglé, et James grimaça. Zut! Voilà qu'il l'avait vexé, maintenant.

— Je sais que ce n'est pas de votre faute, Philip...

— Effectivement, je ne me sens pas coupable.

— C'est-à-dire que vous n'avez guère eu d'exemple à suivre.

James marqua un silence, sachant qu'il s'aventurait sur un chemin délicat.

— Exact, répondit Philippa. Pour être honnête, je dois dire que je n'ai jamais eu de modèle masculin.

— Eh bien, voilà, approuva James, soulagé. Nous pouvons nous y mettre dès demain.

— Nous mettre à quoi? demanda Philippa après un instant d'hésitation.

— Eh bien... à vous endurcir un peu. Je veux faire de vous un homme, un vrai. Vous verrez.

— Oh, vous êtes trop aimable, articula laborieusement Philippa.

— D'ailleurs, on pourrait commencer dès ce soir. Au bal, par exemple, il y aura sans doute un fumoir, une salle de jeu, de vraies boissons, pas simplement de la citronnade.

— Excellent. Bigrement viril ! marmonna-t-elle.

— Il faut vous frotter davantage à des hommes faits. Je vais vous en donner l'occasion.

Elle soupira.

— Comment vous remercier?

— Ne vous inquiétez pas, répliqua James, magnanime. Je suis ravi de vous rendre service.

[...]

— Où sommes-nous? demanda Philippa, l'oeil éteint, en étouffant un bâillement.

Après la sortie de la veille, elle aurait volontiers fait la grasse matinée.

— Tu vas aimer cet endroit, Philip. Robbie sera vert de jalousie quand il saura où nous sommes allés sans lui : c'est un inconditionnel de la salle de sport de Gentleman Jackson.

À cet instant, un groupe de jeunes hommes sortit d'une pièce latérale pour entrer dans le gymnase. James en salua un de la main.

— Eh, Bertie! Alors, tu es venu faire un combat?

L'un des hommes se retourna et vint vers eux. Philippa eut un hoquet de surprise et se hâta de se détourner. Bertie tendit une large main pour serrer vigoureusement celle de James.

— Ça fait un moment qu'on ne t'a pas vu, Cunnington. Alors, cette épaule?

— J'ai récupéré. C'est la première fois que je remonte sur le ring depuis bien longtemps.

Philippa était au bord de la panique. Le fameux Bertie était pratiquement nu, de même que tous ceux qui sortaient de la pièce latérale. Ils ne portaient que des caleçons courts, qui s'arrêtaient bien plus haut que le genou.

Quand Bertie lui tendit la main, elle tressaillit. Avec un ricanement étranglé, elle serra la main de l'homme aussi fort qu'elle put sans quitter du regard un point à l'infini, au-dessus de son oreille gauche. Elle faillit crier d'effroi lorsque James lui donna une claque sur l'épaule.

— On se change ?

—- Volontiers, répondit-elle sans comprendre au juste ce qu'il entendait par là.

Puis elle se retrouva à la porte du vestiaire. L'endroit grouillait d'hommes. Des petits, des grands, des gros, des maigres. Des blêmes et des bronzés. Des hommes en caleçon et... sans caleçon du tout. Les oreilles de Philippa battaient un rythme sourd. Désespérée, elle vit un monsieur à deux mètres d'elle se pencher et retirer d'un geste souple son caleçon, offrant une vue imprenable sur une paire de fesses velues.

— Oh!

Elle ferma les yeux de toutes ses forces, mais le mal était fait. Cette image était gravée à jamais dans sa mémoire. Elle s'écarta de la porte et se colla dos au mur.

— Je vais vous attendre ici, si cela ne vous dérange pas, lança-t-elle d'un ton précipité.

— Mais enfin, Philip! rétorqua James, interloqué. Tu ne peux pas faire de la boxe en chemise et pantalons.

Elle secoua la tête avec véhémence.

— Si, ça ira. Pas de problème.

Il eut un soupir agacé. De nouveau, elle le décevait, c'était clair. Mais comment s'expliquer?

— Comme tu veux, Philip. Mais promets-moi au moins de monter sur le ring.

Philippa était prête à tout, à condition de ne pas avoir à pénétrer dans le vestiaire.

— Promis.

— Parfait. Je reviens dans un instant.

Il passa devant elle et elle resta plantée là, essayant d'arracher de son esprit la dernière image qui s'y était incrustée. Impossible. Des fesses... des fesses poilues. Pas de chance: tant qu'à garder en mémoire un postérieur masculin, elle aurait préféré que ce soit celui de James !

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