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Extrait ajouté par Rachel 2011-03-23T10:02:07+01:00

" Nous traversâmes la rue. Nous attendîmes Erasme et Dimitrien pour rentrer. Illianus me fit monter directement dans sa chambre.

Une fois dans celle-ci, il me toisa avec dureté :

- Explique-moi Rose : qu'est-ce qui t'est, encore une fois, passé par la tête ?

- Avant que tu n'arrives, tout allait très bien !

- Ah ! Parce que c'est de ma faute maintenant !

Il regarda la porte et hurla avec la même ardeur :

- Non Euphie, pas maintenant !

- Si Euphie, moi je voudrais que tu entres !

Elle se faufila et vint près de moi :

- Ça va mon ange ?

Illianus posa les mains sur ses hanches :

- Et c'est elle que tu plains !

- Tu ne te rends pas compte avec quelle force tu lui hurles dessus ! Si tu as envie de te défouler, va à la clairière, tu pourras reprendre cette discussion après !

Je m'approchai de mon amie :

- C'est bon Euphie, ça va lui passer !

Il nous regarda l'une après l'autre :

- Vous avez décidé de me gâcher la journée complète ou juste la prochaine demi-heure ?

- Mon coeur, il serait peut-être préférable que tu ailles à la clairière avec Erasme !

Il regarda sa sœur :

- Toi, tu sors !

Puis il pointa un doigt sur moi :

- Quant à toi, comment peux-tu sortir sans que je le sache et espérer que je reste calme après ?

- Si je t'avais demandé la permission, tu aurais refusé !

Sa soeur répondit :

- Elle n'a pas tord !

- Je ne t'avais pas dit de partir ?

- Si tu as un problème mon ange, je suis derrière la porte !

- Mais ça va aller toutes les deux !

Euphrosine sortit et referma la porte derrière elle, Illianus put continuer.

- Et si Cédric t'avait livrée à Amandine ?

- Elle était partie et j'avais demandé à Thérèsa de te prévenir en cas de bousculade de la part de Cédric, ce qui n'est pas arrivé !

Il s'assit sur son fauteuil, mit sa tête entre ses mains :

- Je vais devenir complètement fou !

J'allai vers lui, ôtai ses mains de son visage et m'installai sur ses genoux :

- Je suis vraiment désolée mon cœur, mais Cédric ne me paraissait pas plus méchant qu'avant !

- Ce qui me reste à faire : de les tuer tous les deux ! Comme ça, je serai sûr que tu n'y retourneras plus !

Je le scrutai, ne sachant pas s'il était sérieux ou pas. S'il l'était, j'avais condamné Cédric à mort ! S'il blaguait, ce n'était pas très malin, puisqu'il était encore tendu et cela me faisait peur !

J'osai tout de même :

- Tu plaisantes, n'est-ce pas ?

Il passa sa main dans mes cheveux :

- Qu'à moitié, s'ils se trouvaient seuls en face de moi maintenant, je ne pourrais pas me réfréner !

Il avança ma tête près de la sienne pour que nos lèvres se touchent, puis se défoula dans un baiser passionné.

Ensuite, il se détacha de moi :

- Je vais faire un tour à la clairière. Si Andronic a le malheur de te parler incorrectement, je ne sais pas si j'arriverais à rester calme !

Nous nous levâmes et sortîmes, Euphrosine était installée sur le sol, le dos appuyé contre le mur de la chambre d'Illianus, j'allai m'asseoir près d'elle.

- Ça va mon ange ?

- Je pense que je m'en sors bien dans l'ensemble !

Illianus était sur la deuxième marche de l'escalier, les coudes sur la rampe, la tête dans ses mains et nous écoutait en silence.

Euphrosine me prit la main :

- De toute façon, j'étais là mon ange !

- Merci, tu sais Euphie ... Je t'aime beaucoup.

Elle me déposa un baiser sur la joue :

- Moi aussi, je suis très heureuse que tu sois avec nous. Je peux te jurer que je n'aurais pas laissé mon frère te disputer sans rien dire !

J'acquiesçai de la tête en oubliant la présence d'Illianus :

- Crois-tu qu'encore une fois je suis allée trop loin ?

Elle me sourit, ouvrit la bouche et, en voyant son frère, s'arrêta.

Elle me chuchota :

- La prochaine fois, nous irons ensemble mon ange.

Illianus lança :

- Vous commencez vraiment à me fatiguer toutes les deux !

Il me fit sursauter. Il partit sans nous laisser répondre. Quelques minutes plus tard, il remontait et entrait dans sa chambre. Il était talonné d'Erasme qui pestait en montant l'escalier. "

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Extrait ajouté par Alice_Maud 2011-12-17T18:33:56+01:00

Chapitre IX "Amour Naissant"

Spoiler(cliquez pour révéler)Elle alla sur le lit de son frère :

_ Viens près de moi, j'aimerais te parler Rosie.

Je me plaçai à côté d'elle, son regard était si intense que ses yeux brillaient.

_ Très bien, je t'écoute !

_ Voilà, cela fait des mois que nous sommes conditionnés à te protéger. A ce moment-là, tu n'étais qu'une inconnue pour nous. Aujourd'hui nous te côtoyons ...

Avec un énorme sourire elle continua :

_ Et nous adorons cela ...

Dans toutes les histoires qui commencent bien, il y a toujours un "Mais" !

Alors je la devançai :

_ Mais ...

_ Ne me coupe pas, et écoute s'il te plaît. Donc, moi j'ai trouvé en toi une amie, par contre mon frère a découvert tout autre chose, et il la défend. Cédric n'est pas de taille à te protéger en cas de menace et Illian le sait, ce qui le rend encore plus agressif. Cédric s'amuse à le provoquer, mais tant que le danger sera présent, Illian ne te lâchera pas ! Tu sais, quand j'ai rencontré Erasme, il a fallu trois ans pour qu'Illian nous laisse tranquille. C'est encore atroce, trois ans qu'il me demande si tout se passe bien, toutes les dix minutes, quand je me retrouvais seule avec Erasme. Et cela, parce qu'il avait peur de perdre ce qui lui reste de famille, de sang bien sûr, mais aussi ce qui lui est de plus cher. Tu deviens aussi précieuse à ses yeux que moi. Actuellement il est en train de s'ouvrir à toi et cela le déstabilise, je pense qu'il a peur du futur. Il y a très longtemps, il a eu une fiancée, elle se prénommait Césarine, elle était magnifique. Un jour elle est tombée malade, elle a attrapé la peste ! Elle a succombé à sa maladie et Illian ne s'en est jamais vraiment remis. Il s'en veut, car lui est toujours en vie et elle non. Il a fini par surmonter son chagrin, je pense qu'au fond de lui, il savait que moi j'étais encore là, sinon il ne serait plus parmi nous. Comme je te le disais, le danger qui plane sur toi est réel et il ne te laissera pas mourir. Tout cela pour te dire, si Cédric se met sur son passage, il ne fera pas de détail, l'enjeu est trop grand pour lui ! Il est pris entre deux sentiments. Le premier : C'est l'Amour ! Il essaye de le retirer de son esprit, il sait qu'il te perdra un jour, pour une raison ou une autre, mais je crois qu'il n'y arrive pas, son amour pour toi devient de plus en plus grand. Le deuxième : c'est la Peur ! Pas pour lui, il se fiche de ce qui peut lui arriver, mais il est effrayé pour toi, et là, c'est complètement différent. Ces deux sentiments sont liés, c'est ce qui devient compliqué pour lui. Ne le juge pas trop vite, sois patiente. Surtout demande à ton ami de se contenir, Illian a ses limites !

Je la regardai ébahie :

_ Je ne sais pas quoi pense !

Elle me fit un énorme sourire :

_ Sois sympa avec lui, c'est tout !

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Extrait ajouté par Schima 2011-12-12T20:02:51+01:00

Il éteignit l'éclairage et nous nous recouchâmes. Euphrosine m'avait mentionné de ruser, c'était facile à dire... Je réfléchis un moment. Je n'avais pas dis mon dernier mot. J'ôtais mon haut de pyjama et collai mon dos dévêtu contre son torse nu.

Que fais-tu encore Rosie?

Je souris, mais avec l'obscurité, il ne put le constater:

J'ai envie de sentir ta peau contre la mienne, cela ne te dérange pas?

Il m'enlaça:

Non, au contraire, c'est excellent.

Il m'effleura le bras, ce qui me plut. Il dut sentir que je ne pourrais pas trouver le sommeil tout de suite et décida de me caresser la tête jusqu'à ce que je m'endorme paisiblement...

Le lendemain matin, je me retrouvai sur le ventre, les deux bras sous mon oreiller, le duvet jusqu'à la taille et un rayon de soleil réchauffant mon dos dénudé. Je tournai la tête en direction de la fenêtre, le double rideau était entrouvert, ce qui offrait la chaleur sur ma colonne vertébrale. Illianus était assis dans son fauteuil, souriant aux anges.

Bonjour mon amour.

Bonjour mon cœur.

Il se leva et m'apporta une tasse qu'il posa sur la table de nuit. Il prit mon haut de pyjama, je me redressai pour l'enfiler.

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Extrait ajouté par BlackDeath95 2011-03-09T12:15:29+01:00

EXTRAIT DU CHAPITRE XXXII

Après une bonne heure de discussion, j'allai dans la cuisine pour me désaltérer d'un verre d'eau. Tout en buvant, je fixai la bouteille sans la voir et plongeai dans mes continuelles pensées.

Illianus s'approcha de moi et me fit sursauter :

- Je suis désolé mon amour, je ne voulais pas te faire peur !

- Ce n'est pas grave. J'étais seulement absorbée par toutes ces choses qui nous préocupent !

- Euphie a demandé à Erasme de nous préparer quelque chose dehors !

Il me prit par la main et m'amena dans le jardin, il y faisait aussi noir que la veille, il n'y avait qu'un ciel étoilé sans nuage !

Il me demanda d'attendre quelques minutes dans l'embrasure de la porte, le temps pour lui de faire le tour du jardin, car il ressentait quelqu'un. Mais après vérification, il me précisa que cette personne devait se trouver dans la maison et me proposa de le suivre dans le jardin.

Une couverture avait été déposée sur le sol, il m'invita à m'allonger dessus et en fit de même.

Nous contemplâmes les corps célestes en silence. Les paroles que ma grand-mère m'avait confiées lorsque je la vis pour la dernière fois, me revinrent en mémoire.

Je pris la main de mon fiancé :

- Illian, crois-tu que le paradis existe ?

Il dut faire un sourire à cette question et savoir pourquoi je la lui posais !

- Oui, bien sûr qu'il règne dans ce monde !

Il déposa un baiser sur mes doigts et reprit :

- Il a été inventé rien que pour toi mon amour !

- Tu sais, je ne suis pas sûre d'y finir.

- Moi, il est sûr que je n'irai pas ! Mais toi, je peux te jurer que tu t'y rendras un jour !

Je me tournai vers lui :

- Donc, si tu n'y montes pas et que j'y termine, nous serons séparés un jour.

Il se redressa :

- Non mon amour. Je te promets que lorsque tu y partiras, tu m'y attendras !

Il prit une grande inspiration et continua :

- Car j'en finirai avec la vie, moi aussi, je combattrai tout ceux qui me retiendront prisonnier en enfer et t'y rejoindrai !

Je lui déposai un baiser, puis me recouchai, les yeux embrumés et la gorge serrée :

- Alors, je me languirai de toi jusqu'à ce que tu me retrouves !

Il se rallongea :

- Sais-tu pourquoi Euphie a voulu que nous regardions les étoiles ?

- Non, mais je pense que tu vas me le dévoiler !

Il me reprit la main :

- Eh bien, elle avait envie que tu ressentes ce que nous vivions lorsque nous étions petits !

- Oh !

Nos mains s'entrelacèrent :

- Lorsque nous étions gamins, dès que nos parents dormaient, Euphie et moi allions dehors en cachette. Nous nous allongions dans l'herbe pour parcourir le ciel d'été. Nous y restions jusqu'à ce qu' Euphie s'endorme, ce qui n'était pas une mince affaire, puisque comme je te l'ai déjà confié, elle a toujours été quelqu'un de très bavard ! Quand elle plongeait dans un profond sommeil, je la portais tendrement chez nous pour qu'elle ne passe pas sa nuit dehors, et surtout pour ne pas réveiller nos parents !

J'aimais quand il me racontait des choses de son passé :

- Cette époque avec tes parents te manque, n'est-ce pas ?

Il déposa un autre baiser sur ma main :

- Tu sais Euphie et moi avons eu beaucoup de chance, nous avions vingt ans lorsque nous les avons perdus, ce qui est très "vieux " par rapport à l'époque où nous sommes nés ! Mon père avait trente-neuf ans et ma mère trente-sept ans, elle était jeune quand elle nous a eu et a survécu à la naissance de ses jumeaux ! Ensuite, Ludmille et Dimitrien ont été fabuleux avec nous. Peut-être que, ce qui me manque réellement, est qu'Euphie n'a plus vraiment besoin de moi, même dans ses duels, elle devient de plus en plus autonome !

Je me relevai et caressai doucement ses lèvres avec mon index :

- Dis-moi Illian, est-ce pour cette raison que tu m'aimes ? Parce que j'ai besoin d'être protégée ?

Il prit ma main avec les siennes et y déposa sa bouche :

- Au début peut-être, mais plus maintenant ! Tu m'as prouvé que, même si je te protége, tu arrives très souvent à échapper à ma vigilance !

Il déposa un autre baiser sur ma paume :

- Et toi... Pourquoi ? Autour de toi il y a un garçon qui aurait pu faire l'affaire !

Avec un soupir il continua :

- Je ne parle naturellement pas de Cédric !

Je l'embrassai rapidement :

- A qui penses-tu ?

- Mon amour, il faudrait être aveugle pour ne pas voir qu'il y a énormément de tendresse et d'amour quand Victor s'adresse à toi !

- Il est vrai que ce serait beaucoup plus simple pour moi, mais j'aime les choses compliquées !

- Tu n'as pas répondu !

- Je t'aime toi pour plein de raisons, tandis que ce que j'éprouve pour Victor n'est que de l'amitié ! Je ne peux pas forcer mes sentiments !

Il m'embrassa de nouveau la main :

- Tu ne veux pas me donner tes raisons ?

Je me relevai et lui déposai un baiser en guise de réponse.

- Illian ?

- Oui, mon amour !

- Peux-tu me promettre une chose très importante ?

Je sentis une pression sur ma main.

- Tu me révèles ton secret avant, et je t'en fais le serment après !

Je lui repris ma main pour caresser son visage :

- Non Illian, ne te défile pas, donne-moi ta parole !

- Ok, que veux-tu que je te promette ?

- Voilà, quand nous aurons un ou plusieurs enfants...

Il me chuchota " Oui ", sur un ton d'angoisse.

- J'aimerais que, lorsque je partirai, tu veilles sur eux pour l'éternité sans venir me rejoindre, ils auront beaucoup plus besoin de toi que moi ! Je ne voudrais pas qu'ils...

Et je ne pus continuer ma phrase, il s'était relevé, m'avait recouchée en me caressant de ses lèvres.

- Je te le promets mon amour !

Puis il m'embrassa avec plus de passion, je ne pus m'empêcher de passer une main sous son tee-shirt pour lui effleurer le torse. Mon autre main pétrissait les cheveux de sa nuque. Mon cœur s'emballa à ne plus plus battre au bon rythme, ma tête fut prise de vertiges à ne plus pouvoir garder les idées claires, mon souffle se saccada à ne plus pouvoir respirer correctement. Son baiser devint plus fougueux, l'une de ses mains se trouvait derrière ma tête et l'autre glissait doucement le long de mon corps. Il passa sa main chaude sous mon tee-shirt pour caresser ma peau froide et frissonnante. Nous étions bien, plus rien n'existait, nous allions perdre pieds tous les deux. Son baiser attisa le feu qui se trouvait déjà en moi, mes doigts s'agrippèrent à son dos. Nous étions heureux et que tous les deux... Enfin presque, puisque quelqu'un toussa, ce qui arrêta Illianus et qui le fit bondir brutalement. Sans rien comprendre à ce qui m'arrivait, Il me leva d'une main et attrapa son épée de l'autre.

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Extrait ajouté par Alice_Maud 2011-12-07T07:58:54+01:00

Extrait du Chapitre IV "Amitié Naissante"

J'ouvris la grande porte en verre, la bibliothécaire était derrière son bureau à brasser des feuilles polycopiées, elle me fit un grand sourire, j'allai directement à elle.

L'endroit sentait bon et avait un air de bien-être grâce aux odeurs des livres, que j'aimais par-dessus beaucoup de choses, et le parfum sucré, très agréable d'ailleurs, de cette femme.

Elle me demanda d'une voix fine :

- Bonjour ! Que puis-je faire pour vous ?

- Bonjour ! Pourriez-vous me conseiller sur l'emprunt d'un roman ?

- Bien sûr ! Que cherchez-vous en particulier ?

- Quelque chose de fantastique et de jeune !

Elle alla chercher un bouquin qui se trouvait au bout d'une rangée dans l'allée de droite et me l'apporta. Sa couverture était toute simple mais très belle. Elle était noire avec la photo de deux bras tenant une pomme rouge, son titre : "FASCINATION". La femme me confia que c'était une histoire avec des ados, des vampires, des loups-garous, le tout dans notre monde à nous. Je le pris et sortis dans la cour ensoleillée, je m'installai sur un banc situé près de la sortie pour ne pas louper Pauline. Je commençais à le lire tout de suite, j'étais transportée par cette lecture enivrante. Je ne vis pas le temps passer. Je n'étais plus sur terre quand la sonnerie retentit. L’heure de rentrer était arrivée, je me dépêchai de fermer mon roman pour rejoindre mon groupe.

Page 52

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Extrait ajouté par aurelie59 2011-09-02T23:10:11+02:00

"Il resta près de moi sans un bruit, seul le souffle de sa respiration m'effleurait fréquemment le bras ou la joue, ce qui m'intimidait énormément. Lorsque le cours fut terminé, il partit sans un mot"

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Extrait ajouté par BlackDeath95 2011-03-09T12:15:29+01:00

EXTRAIT DU CHAPITRE XXX

Nous traversâmes la rue. Nous attendîmes Erasme et Dimitrien pour rentrer. Illianus me fit monter directement dans sa chambre.

Une fois dans celle-ci, il me toisa avec dureté :

- Explique-moi Rose : qu'est-ce qui t'est, encore une fois, passé par la tête ?

- Avant que tu n'arrives, tout allait très bien !

- Ah ! Parce que c'est de ma faute maintenant !

Il regarda la porte et hurla avec la même ardeur :

- Non Euphie, pas maintenant !

- Si Euphie, moi je voudrais que tu entres !

Elle se faufila et vint près de moi :

- Ça va mon ange ?

Illianus posa les mains sur ses hanches :

- Et c'est elle que tu plains !

- Tu ne te rends pas compte avec quelle force tu lui hurles dessus ! Si tu as envie de te défouler, va à la clairière, tu pourras reprendre cette discussion après !

Je m'approchai de mon amie :

- C'est bon Euphie, ça va lui passer !

Il nous regarda l'une après l'autre :

- Vous avez décidé de me gâcher la journée complète ou juste la prochaine demi-heure ?

- Mon coeur, il serait peut-être préférable que tu ailles à la clairière avec Erasme !

Il regarda sa sœur :

- Toi, tu sors !

Puis il pointa un doigt sur moi :

- Quant à toi, comment peux-tu sortir sans que je le sache et espérer que je reste calme après ?

- Si je t'avais demandé la permission, tu aurais refusé !

Sa soeur répondit :

- Elle n'a pas tord !

- Je ne t'avais pas dit de partir ?

- Si tu as un problème mon ange, je suis derrière la porte !

- Mais ça va aller toutes les deux !

Euphrosine sortit et referma la porte derrière elle, Illianus put continuer.

- Et si Cédric t'avait livrée à Amandine ?

- Elle était partie et j'avais demandé à Thérèsa de te prévenir en cas de bousculade de la part de Cédric, ce qui n'est pas arrivé !

Il s'assit sur son fauteuil, mit sa tête entre ses mains :

- Je vais devenir complètement fou !

J'allai vers lui, ôtai ses mains de son visage et m'installai sur ses genoux :

- Je suis vraiment désolée mon cœur, mais Cédric ne me paraissait pas plus méchant qu'avant !

- Ce qui me reste à faire : de les tuer tous les deux ! Comme ça, je serai sûr que tu n'y retourneras plus !

Je le scrutai, ne sachant pas s'il était sérieux ou pas. S'il l'était, j'avais condamné Cédric à mort ! S'il blaguait, ce n'était pas très malin, puisqu'il était encore tendu et cela me faisait peur !

J'osai tout de même :

- Tu plaisantes, n'est-ce pas ?

Il passa sa main dans mes cheveux :

- Qu'à moitié, s'ils se trouvaient seuls en face de moi maintenant, je ne pourrais pas me réfréner !

Il avança ma tête près de la sienne pour que nos lèvres se touchent, puis se défoula dans un baiser passionné.

Ensuite, il se détacha de moi :

- Je vais faire un tour à la clairière. Si Andronic a le malheur de te parler incorrectement, je ne sais pas si j'arriverais à rester calme !

Nous nous levâmes et sortîmes, Euphrosine était installée sur le sol, le dos appuyé contre le mur de la chambre d'Illianus, j'allai m'asseoir près d'elle.

- Ça va mon ange ?

- Je pense que je m'en sors bien dans l'ensemble !

Illianus était sur la deuxième marche de l'escalier, les coudes sur la rampe, la tête dans ses mains et nous écoutait en silence.

Euphrosine me prit la main :

- De toute façon, j'étais là mon ange !

- Merci, tu sais Euphie ... Je t'aime beaucoup.

Elle me déposa un baiser sur la joue :

- Moi aussi, je suis très heureuse que tu sois avec nous. Je peux te jurer que je n'aurais pas laissé mon frère te disputer sans rien dire !

J'acquiesçai de la tête en oubliant la présence d'Illianus :

- Crois-tu qu'encore une fois je suis allée trop loin ?

Elle me sourit, ouvrit la bouche et, en voyant son frère, s'arrêta.

Elle me chuchota :

- La prochaine fois, nous irons ensemble mon ange.

Illianus lança :

- Vous commencez vraiment à me fatiguer toutes les deux !

Il me fit sursauter. Il partit sans nous laisser répondre. Quelques minutes plus tard, il remontait et entrait dans sa chambre. Il était talonné d'Erasme qui pestait en montant l'escalier.

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Extrait ajouté par Schima 2011-12-12T20:03:47+01:00

Et je ne pus continuer ma phrase, il s'était relevé, m'avait recouchée en me caressant de ses lèvres.

Je te le promet mon amour!

Puis il m'embrassa avec plus de passion, je ne pus m'empêcher de passer une main sous son tee-shirt puis lui effleurer le torse. Mon autre main pétrissait les cheveux de sa nuque. Mon cœur s'emballa à ne plus battre au bon rythme, ma tête fut prise de vertiges à ne plus pouvoir garder les idées claires, mon souffle se saccada à ne plus pouvoir respirer correctement. Son baiser devint plus fougueux, l'une de ses mains se trouvait derrière ma tête et l'autre glissait doucement le long de mon corps. Il passa sa main chaude sous mon tee-shirt pour caresser ma peau froide et frissonnante. Nous étions bien, plus rien n'existait, nous allions perdre pied tous les deux. Son baiser attisa le feu qui se trouvait déjà en moi, mes doigts s'agrippèrent à son dos. Nous étions heureux et que tous les deux...

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Extrait ajouté par BlackDeath95 2011-03-09T12:15:29+01:00

EXTRAIT DU CHAPITRE VI

" Il faisait jour, le soleil brillait et tapait sur les vitres fermées du véhicule, la climatisation évitait la chaleur. J'étais là, dans cette voiture ... Une voiture inconnue ! Je ne la reconnaissais pas, c'était la première fois que je montais dedans celle-ci !

Le conducteur inséra un CD dans le lecteur et monta le son tellement fort, que je n'entendais plus du tout le bruit du moteur qui ronronnait. Ce véhicule allait vite, très vite, beaucoup trop précipitamment à mon goût !

Seuls le conducteur et moi étions présents. Il était brun et paraissait baraqué. Il portait un costume gris satiné, dont la veste était posée sur le dossier du siège passager, une chemise blanche de coton et une cravate rose.

J'étouffai un petit cri quand je m'aperçus qu'il regardait dans son rétroviseur, mais il ne m'adressa pas la parole. Cela voulait dire qu'il savait que je me trouvais là. Ne le connaissant pas et ne l'ayant jamais vu de ma vie, la peur m'envahit.

M'avait-il kidnappée ? Me voulait-il du mal ? Pourquoi ne me parlait-il pas ? Pourquoi étais-je avec lui ?

Je détaillai tout ce qui se trouvait autour de moi, j'en était vraiment sûre ... Je ne connaissais ni cette voiture, ni cet homme !

A bien y réfléchir, l'hypothèse de l'enlèvement était à proscrire, puisque si tel était vraiment le cas, pourquoi avais-je les mains libres ? Et pourquoi ma bouche n'était-elle pas bâillonnée ?

J'étais donc montée dans ce véhicule de plein gré ! Je ne m'en souvenais absolument pas, mais alors pas du tout !

Devenais-je folle ? Avais-je des pertes de mémoire ? Si j'en étais atteinte, ces trous étaient énormes !

Je ne comprenais plus rien ! J'étais là, avec un inconnu qui ne me parlait pas et qui me voyait !

Je sentis de la fureur mélangée à de l'angoisse submerger entièrement mon être.

Je décidai de me pencher sur cet homme pour mieux le détailler. J'avais l'impression de flotter dans les airs, je me sentais légère.

Je le dévisageai avec fébrilité. Il avait un visage plutôt agréable. Il portait des lunettes de soleil, ce qui m'empêcha de voir ses yeux et saisir le regard qu'il avait sur moi. Je compris alors, qu'il ne me voyait pas ! Comment était-ce possible ? Je ne pouvais pas être ici avec lui sans qu'il ne s'en rende compte !

Je sentis un peu plus de fraîcheur, je me retournai pour observer l'extérieur de la voiture.

Nous roulions sur une route bordée d'un gigantesque bois qui donnait de l'ombre, d'où la sensation de fraîcheur !

Il ôta enfin ses lunettes de soleil, je pus contempler ses yeux. Ils étaient d'un marron profond et brillant. Il regarda sa montre en soupirant bruyamment. Il accélléra pour augmenter sa vitesse et avancer encore plus rapidement, mon battait de plus en plus fort, j'avais peur, très peur.

La voiture se fraya un chemin au milieu des feuilles brunes des arbres que le vent d'automne avait fait tomber sur la route, le véhicule roulait tellement prestement, que celles-ci virevoltaient derrière nous comme des plumes.

L'homme ouvrit une chemise rouge cartonnée qui était posée sur le siège passager et sur laquelle il était inscrit " ERASME ", les papiers qui se trouvaient à l'intérieur de celle-ci s'éparpillèrent et tombèrent sur le sol.

Il se baissa pour les ramasser en quittant la route des yeux un instant. Il releva la tête pour regarder la route et se pencha de nouveau pour s'emparer des feuilles restantes.

Mon regard était collé au bitume, il allait beaucoup trop vite pour se déconcentrer pendant qu'il conduisait !

Je ne voulais pas mourir à cause de l'imprudence de ce conducteur, j'étais beucoup trop jeune !

Je vis un chevreuil croiser notre chemin. A cette vue, mon muscle cardiaque cognait tellement fort, que j'avais l'impression qu'il voulait sortir de ma poitrine.

Je hurlai à l'homme :

- Attention !

Mais il ne m'entendit pas ! Je voyais la voiture se rapprocher trop rapidement de l'animal. L'homme se redressa et le découvrit enfin. Mais il était trop tard, beaucoup trop tard pour réagir correctement !

Il écrasa le frein de son pied droit et donna, très violemment, un coup de volant à gauche. Instinctivement, je me tins à l'appuie-tête proche de moi, ce qui était certainement inutile puisque l'accident s'avérait inévitable !

Je n'osai clore mes paupières, j'avais trop peur de ne plus pouvoir les ouvrir de nouveau !

L'homme jura calmement et la voiture s'encastra dans un arbre de l'autre côté de la route.

Par contre moi, n'étant pas aussi paisible que lui, je criais à m'en faire mal à la gorge, mon sautait dans tous les sens à me plier de douleur. Je tremblais de tout mon corps, je sentais la sueur m'envahir de la tête aux pieds, j'en eus un haut-le-coeur.

Au moment du choc entre la voiture et l'arbre, je me résignai à fermer les yeux. Il n'y avait plus de bruits, je sentis le sol sous mes pieds, j'appréhendais de soulever mes paupières.

Peut-être n'étais-je plus sur cette terre, mais ailleurs maintenant ? Avais-je quitté ce monde ? Me trouvais-je au Paradis ou en Enfer ? Étais-je tout simplement morte ?

Mon cœur s'apaisa et reprit un rythme normal, ma respiration se calma pour redenir plus ou moins correcte, la chaleur qui me submergeait, diminua peu à peu. Seule ma transpiration ne m'abandonnait pas, je me sentais encore mouillée de partout.

Je me décidai tout de même à regarder autour de moi pour savoir où je me trouvais.

A ma grande surprise, je me situais toujours sur terre, non loin du lieu de la collision, puisque je n'étais plus dans la voiture, mais à l'extérieur de celle-ci. Je me trouvais là, à quelques mètres du véhicule. Le plus bizarre dans tout ça : J'étais Saine et Sauve.

Je reconnus le véhicule, c'était la Ferrari bleue qui était garée l'autre soir devant chez Illianus. Il ne restait plus grand chose de celle-ci, l'arbre et la voiture ne faisaient plus qu'un !

Je m'approchai timidement de l'accident, le corps de l'homme était si meurtri que je n'osai pas le toucher. Sa tête penchait sur le côté, collée contre la vitre de sa portière, il y avait tellement de sang que j'eus un nouveau haut-le-coeur et préférai m'éloigner pour ne pas vomir !

Je pleurais, criais, tremblais, j'étais horrifiée... Cet homme était mort et je ne pouvais rien faire pour lui !

Après avoir retrouvé ma sérénité, une question me vint à l'esprit : Comment avais-je pu sortir de là ?

La panique commença à revenir en moi. Comment était-ce possible que j'en sois sortie indemne ?

Je hurlai encore, sans possibilité de me contrôler... Mes cris étaient tellement forts que plus rien n'arrivait à mes oreilles.

Ma nouvelle crise passée, je me retournai machinalement, et là, la frayeur m'envahit encore une fois : Cet homme que j'avais vu mort se tenait debout devant moi. A cause de mes hurlements, je n'avais pas entendu le bruit de la tôle se défroissant lorsqu'il avait ouvert sa portière derrière moi.

Il était vivant et n'avait pas l'air de se sentir mal ... Comment était-ce possible qu'il s'en soit sorti ainsi ?

Je fus prise de vertiges et de nausées, je transpirais de plus belle, j'étais davantage affolée et criais encore plus fort que tout à l'heure " ...

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Extrait ajouté par anonyme 2012-03-17T11:33:50+01:00

"Nous traversâmes la rue. Nous attendîmes Erasme et Dimitrien pour rentrer. Illianus me fit monter directement dans sa chambre.

Une fois dans celle-ci, il me toisa avec dureté :

- Explique-moi Rose : qu'est-ce qui t'est, encore une fois, passé par la tête ?

- Avant que tu n'arrives, tout allait très bien !

- Ah ! Parce que c'est de ma faute maintenant !

Il regarda la porte et hurla avec la même ardeur :

- Non Euphie, pas maintenant !

- Si Euphie, moi je voudrais que tu entres !

Elle se faufila et vint près de moi :

- Ça va mon ange ?

Illianus posa les mains sur ses hanches :

- Et c'est elle que tu plains !

- Tu ne te rends pas compte avec quelle force tu lui hurles dessus ! Si tu as envie de te défouler, va à la clairière, tu pourras reprendre cette discussion après !

Je m'approchai de mon amie :

- C'est bon Euphie, ça va lui passer !

Il nous regarda l'une après l'autre :

- Vous avez décidé de me gâcher la journée complète ou juste la prochaine demi-heure ?

- Mon coeur, il serait peut-être préférable que tu ailles à la clairière avec Erasme !

Il regarda sa sœur :

- Toi, tu sors !

Puis il pointa un doigt sur moi :

- Quant à toi, comment peux-tu sortir sans que je le sache et espérer que je reste calme après ?

- Si je t'avais demandé la permission, tu aurais refusé !

Sa soeur répondit :

- Elle n'a pas tord !

- Je ne t'avais pas dit de partir ?

- Si tu as un problème mon ange, je suis derrière la porte !

- Mais ça va aller toutes les deux !

Euphrosine sortit et referma la porte derrière elle, Illianus put continuer.

- Et si Cédric t'avait livrée à Amandine ?

- Elle était partie et j'avais demandé à Thérèsa de te prévenir en cas de bousculade de la part de Cédric, ce qui n'est pas arrivé !

Il s'assit sur son fauteuil, mit sa tête entre ses mains :

- Je vais devenir complètement fou !

J'allai vers lui, ôtai ses mains de son visage et m'installai sur ses genoux :

- Je suis vraiment désolée mon cœur, mais Cédric ne me paraissait pas plus méchant qu'avant !

- Ce qui me reste à faire : de les tuer tous les deux ! Comme ça, je serai sûr que tu n'y retourneras plus !

Je le scrutai, ne sachant pas s'il était sérieux ou pas. S'il l'était, j'avais condamné Cédric à mort ! S'il blaguait, ce n'était pas très malin, puisqu'il était encore tendu et cela me faisait peur !

J'osai tout de même :

- Tu plaisantes, n'est-ce pas ?

Il passa sa main dans mes cheveux :

- Qu'à moitié, s'ils se trouvaient seuls en face de moi maintenant, je ne pourrais pas me réfréner !

Il avança ma tête près de la sienne pour que nos lèvres se touchent, puis se défoula dans un baiser passionné.

Ensuite, il se détacha de moi :

- Je vais faire un tour à la clairière. Si Andronic a le malheur de te parler incorrectement, je ne sais pas si j'arriverais à rester calme !

Nous nous levâmes et sortîmes, Euphrosine était installée sur le sol, le dos appuyé contre le mur de la chambre d'Illianus, j'allai m'asseoir près d'elle.

- Ça va mon ange ?

- Je pense que je m'en sors bien dans l'ensemble !

Illianus était sur la deuxième marche de l'escalier, les coudes sur la rampe, la tête dans ses mains et nous écoutait en silence.

Euphrosine me prit la main :

- De toute façon, j'étais là mon ange !

- Merci, tu sais Euphie ... Je t'aime beaucoup.

Elle me déposa un baiser sur la joue :

- Moi aussi, je suis très heureuse que tu sois avec nous. Je peux te jurer que je n'aurais pas laissé mon frère te disputer sans rien dire !

J'acquiesçai de la tête en oubliant la présence d'Illianus :

- Crois-tu qu'encore une fois je suis allée trop loin ?

Elle me sourit, ouvrit la bouche et, en voyant son frère, s'arrêta.

Elle me chuchota :

- La prochaine fois, nous irons ensemble mon ange.

Illianus lança :

- Vous commencez vraiment à me fatiguer toutes les deux !

Il me fit sursauter. Il partit sans nous laisser répondre. Quelques minutes plus tard, il remontait et entrait dans sa chambre. Il était talonné d'Erasme qui pestait en montant l'escalier.nouvel extrait

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