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Auprès d'elle se tenait Marie-Angélique du Plan-Crépin, lectrice, cousin et âme damnée, si l'on pouvait ainsi qualifier une aussi pieuse personne assidue à la mess desix heures à l'église Saint-Augustin d'où elle tirait une foule de renseignement lui permettant de ne rien ignorer de ce qui passait dans le quartier, voir plus loin. Sous une toison d'un blond terne qui lui donnait l'apparence d'un mouton monté en graine, la noble demoiselle - elle ne laissait ignorer à personne que ses ancêtres avaient "fait" les croisades - cachait une culture quasi encyclopédique, des talents surprenants, un cœur grand comme Saint-Pierre de Rome et une tendance marquée à se mêler de ce qui ne la regardait pas. Ce qui lui avait permis par le passé d'apporter une aide non négligeable à ses deux héros préférés, Aldo Morosini et Aldabert Vidal-Pellicorne.
Afficher en entierAuprès d'elle se tenait Marie-Angélique du Plan-Crépin, lectrice, cousin et âme damnée, si l'on pouvait ainsi qualifier une aussi pieuse personne assidue à la mess desix heures à l'église Saint-Augustin d'où elle tirait une foule de renseignement lui permettant de ne rien ignorer de ce qui passait dans le quartier, voir plus loin. Sous une toison d'un blond terne qui lui donnait l'apparence d'un mouton monté en graine, la noble demoiselle - elle ne laissait ignorer à personne que ses ancêtres avaient "fait" les croisades - cachait une culture quasi encyclopédique, des talents surprenants, un cœur grand comme Saint-Pierre de Rome et une tendance marquée à se mêler de ce qui ne la regardait pas. Ce qui lui avait permis par le passé d'apporter une aide non négligeable à ses deux héros préférés, Aldo Morosini et Aldabert Vidal-Pellicorne.
Afficher en entierAuprès d'elle se tenait Marie-Angélique du Plan-Crépin, lectrice, cousin et âme damnée, si l'on pouvait ainsi qualifier une aussi pieuse personne assidue à la mess desix heures à l'église Saint-Augustin d'où elle tirait une foule de renseignement lui permettant de ne rien ignorer de ce qui passait dans le quartier, voir plus loin. Sous une toison d'un blond terne qui lui donnait l'apparence d'un mouton monté en graine, la noble demoiselle - elle ne laissait ignorer à personne que ses ancêtres avaient "fait" les croisades - cachait une culture quasi encyclopédique, des talents surprenants, un cœur grand comme Saint-Pierre de Rome et une tendance marquée à se mêler de ce qui ne la regardait pas. Ce qui lui avait permis par le passé d'apporter une aide non négligeable à ses deux héros préférés, Aldo Morosini et Aldabert Vidal-Pellicorne.
Afficher en entierAuprès d'elle se tenait Marie-Angélique du Plan-Crépin, lectrice, cousin et âme damnée, si l'on pouvait ainsi qualifier une aussi pieuse personne assidue à la mess desix heures à l'église Saint-Augustin d'où elle tirait une foule de renseignement lui permettant de ne rien ignorer de ce qui passait dans le quartier, voir plus loin. Sous une toison d'un blond terne qui lui donnait l'apparence d'un mouton monté en graine, la noble demoiselle - elle ne laissait ignorer à personne que ses ancêtres avaient "fait" les croisades - cachait une culture quasi encyclopédique, des talents surprenants, un cœur grand comme Saint-Pierre de Rome et une tendance marquée à se mêler de ce qui ne la regardait pas. Ce qui lui avait permis par le passé d'apporter une aide non négligeable à ses deux héros préférés, Aldo Morosini et Aldabert Vidal-Pellicorne.
Afficher en entierAuprès d'elle se tenait Marie-Angélique du Plan-Crépin, lectrice, cousin et âme damnée, si l'on pouvait ainsi qualifier une aussi pieuse personne assidue à la mess desix heures à l'église Saint-Augustin d'où elle tirait une foule de renseignement lui permettant de ne rien ignorer de ce qui passait dans le quartier, voir plus loin. Sous une toison d'un blond terne qui lui donnait l'apparence d'un mouton monté en graine, la noble demoiselle - elle ne laissait ignorer à personne que ses ancêtres avaient "fait" les croisades - cachait une culture quasi encyclopédique, des talents surprenants, un cœur grand comme Saint-Pierre de Rome et une tendance marquée à se mêler de ce qui ne la regardait pas. Ce qui lui avait permis par le passé d'apporter une aide non négligeable à ses deux héros préférés, Aldo Morosini et Aldabert Vidal-Pellicorne.
Afficher en entierAuprès d'elle se tenait Marie-Angélique du Plan-Crépin, lectrice, cousin et âme damnée, si l'on pouvait ainsi qualifier une aussi pieuse personne assidue à la mess desix heures à l'église Saint-Augustin d'où elle tirait une foule de renseignement lui permettant de ne rien ignorer de ce qui passait dans le quartier, voir plus loin. Sous une toison d'un blond terne qui lui donnait l'apparence d'un mouton monté en graine, la noble demoiselle - elle ne laissait ignorer à personne que ses ancêtres avaient "fait" les croisades - cachait une culture quasi encyclopédique, des talents surprenants, un cœur grand comme Saint-Pierre de Rome et une tendance marquée à se mêler de ce qui ne la regardait pas. Ce qui lui avait permis par le passé d'apporter une aide non négligeable à ses deux héros préférés, Aldo Morosini et Aldabert Vidal-Pellicorne.
Afficher en entierAuprès d'elle se tenait Marie-Angélique du Plan-Crépin, lectrice, cousin et âme damnée, si l'on pouvait ainsi qualifier une aussi pieuse personne assidue à la mess desix heures à l'église Saint-Augustin d'où elle tirait une foule de renseignement lui permettant de ne rien ignorer de ce qui passait dans le quartier, voir plus loin. Sous une toison d'un blond terne qui lui donnait l'apparence d'un mouton monté en graine, la noble demoiselle - elle ne laissait ignorer à personne que ses ancêtres avaient "fait" les croisades - cachait une culture quasi encyclopédique, des talents surprenants, un cœur grand comme Saint-Pierre de Rome et une tendance marquée à se mêler de ce qui ne la regardait pas. Ce qui lui avait permis par le passé d'apporter une aide non négligeable à ses deux héros préférés, Aldo Morosini et Aldabert Vidal-Pellicorne.
Afficher en entierUn modèle qu’une nature généreuse avait produit en double exemplaire puisqu’il avait un frère jumeau, Romuald, avec lequel il était totalement interchangeable physiquement et professionnellement. Seuls différaient leurs goûts : Romuald, dit « le rat des champs », préférait la vie à la campagne et la culture amoureuse de son jardin, tandis que Théobald, dit « le rat des villes », optait pour l’existence citadine. Ce qui ne les empêchait pas de se rendre de mutuels services et de vouer à Vidal-Pellicorne un égal dévouement pour avoir, pendant la guerre, sauvé la vie de Théobald au risque de la sienne. Ce qui était valable pour l’un l’était aussi pour l’autre.
Afficher en entierOn peut comprendre que ce célibataire endurci – il avait plus de quarante ans ! – ait été le point de mire d’une multitude de mères pourvues de filles à marier. Ce qui ne l’empêchait pas d’adorer les femmes et de savoir à merveille s’en faire aimer autant pour son charme que pour sa fastueuse générosité.
Afficher en entierPeut-être pas tout mais une grande partie. Aldo put s'en convaincre, lorsque le quatuor fit son entrée vers neuf heures dans la lumineuse salle de restaurant donnant sur la mer, au nombre de saluts qu'elle récolta. Il s'en était déjà aperçu lors de la fête du Trianon, l'an passé, les apparitions de la marquise, où qu'elle aille, prenaient facilement des allures d'entrées royales. Sa classe, son élégance - même si elle restait fidèle aux modes d'il y a cinquante ans ou peut-être même à cause de cela - était inimitables et les sourires qu'elle recevait étaient tous empreints de sympathie et de respect.
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