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Cependant, ce qui avait le plus surpris Kaspar, c'était le châtiment qu'on lui avait infligé, cet exil à l'autre bout du monde pour méditer sur ses méfaits. Il maudissait Fauconnier car la punition commençait précisément à avoir l'effet recherché. Pour la première fois de son existence, Kaspar éprouvait du remords.

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En dépit de l’attitude que Kaspar avait eue à leur égard, Jorgen avait d’abord cru qu’il allait mourir ou être roué de coups. De son côté, sa mère redoutait d’être violée. Certes, Kaspar la trouvait attirante à sa manière, avec son visage tanné par les éléments, mais il n’avait jamais aimé forcer une femme – il n’aimait déjà pas celles qui faisaient semblant d’être consentantes à cause de sa richesse et de son pouvoir.

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Les cavaliers arrivaient droit sur lui.

Kaspar, qui la veille encore, détenait le titre de duc d'Olasko, attendait, ses chaînes à la main, prêt à frapper. Quelques minutes plus tôt, il avait été déposé dans cette plaine poussiéreuse par un grand magicien aux cheveux blancs qui avait disparu en lui offrant uniquement quelques mots d'adieu. Le noble en exil était resté seul face à un groupe de nomades en approche.

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Cependant, ce qui avait le plus surpris Kaspar, c'était le châtiment qu'on lui avait infligé, cet exil à l'autre bout du monde pour méditer sur ses méfaits. Il maudissait Fauconnier car la punition commençait précisément à avoir l'effet recherché. Pour la première fois de son existence, Kaspar éprouvait du remords.

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Il s'agissait d'un corps - ce fut du moins l'impression de Kaspar en retira. Ou alors c'était juste une armure vide. Quoi qu'il en soit, il n'avait jamais rien vu de pareil.

Il grimpa à côté de Flynn et repoussa encore la toile. S'il s'agissait d'une armure, elle paraissait sans failles. Elle était noire, et les pièces qui la composaient étaient bordées d'un liseré en or terne au cou, aux poignets, aux cuisses et aux chevilles. Kaspar s'agenouilla pour la toucher. C'était du métal, mais un métal plus lisse que tous ceux qu'il connaissait. Le propriétaire de cette armure devait être grand, plus que Kaspar, qui mesurait déjà près d'un mètre quatre vingt-dix.

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La nuit passa lentement. Lorsque les derniers convives furent partis, Sarcelle frappa à la porte de l'arrière-cuisine et entra pour voir si son mari et l'homme qui avait exterminé leur peuple discutaient toujours. Ser vint immédiatement à sa rencontre et tourna le dos à Kaspar en laissant son épée sur la table, à portée de main de l'ancien duc. Cela permit à Sarcelle de comprendre qu'il n'y aurait pas d'effusion de sang.

Ser la prévint que l'entrevue durerait peut-être toute la nuit.

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Les cavaliers arrivaient droit sur lui.

Kaspar, qui la veille encore, détenait le titre de duc d'Olasko, attendait, ses chaînes à la main, prêt à frapper. Quelques minutes plus tôt, il avait été déposé dans cette plaine poussiéreuse par un grand magicien aux cheveux blancs qui avait disparu en lui offrant uniquement quelques mots d'adieu. Le noble en exil était resté seul face à un groupe de nomades en approche.

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Cependant, ce qui avait le plus surpris Kaspar, c'était le châtiment qu'on lui avait infligé, cet exil à l'autre bout du monde pour méditer sur ses méfaits. Il maudissait Fauconnier car la punition commençait précisément à avoir l'effet recherché. Pour la première fois de son existence, Kaspar éprouvait du remords.

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Il s'agissait d'un corps - ce fut du moins l'impression de Kaspar en retira. Ou alors c'était juste une armure vide. Quoi qu'il en soit, il n'avait jamais rien vu de pareil.

Il grimpa à côté de Flynn et repoussa encore la toile. S'il s'agissait d'une armure, elle paraissait sans failles. Elle était noire, et les pièces qui la composaient étaient bordées d'un liseré en or terne au cou, aux poignets, aux cuisses et aux chevilles. Kaspar s'agenouilla pour la toucher. C'était du métal, mais un métal plus lisse que tous ceux qu'il connaissait. Le propriétaire de cette armure devait être grand, plus que Kaspar, qui mesurait déjà près d'un mètre quatre vingt-dix.

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La nuit passa lentement. Lorsque les derniers convives furent partis, Sarcelle frappa à la porte de l'arrière-cuisine et entra pour voir si son mari et l'homme qui avait exterminé leur peuple discutaient toujours. Ser vint immédiatement à sa rencontre et tourna le dos à Kaspar en laissant son épée sur la table, à portée de main de l'ancien duc. Cela permit à Sarcelle de comprendre qu'il n'y aurait pas d'effusion de sang.

Ser la prévint que l'entrevue durerait peut-être toute la nuit.

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