Le Coup de pistolet
Auteur
- Alexandre Pouchkine (Écrivain)
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Classement en biblio - 28 lecteurs
extrait
La couardise est la chose que les jeunes gens excusent le moins, car ils voient d'ordinaire dans le courage le mérite suprême et l'excuse de tous les vices.
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Bien que ce ne soit pas ma nouvelle préférée parmi ce que j'ai lu jusque-là mais cela ne m'empêche pas de savourer l'univers de Pouchkine, toujours dans l'ambiance russe avec les hussards et ainsi que le décor blanc.
Dans cette nouvelle, je n'ai pas été particulièrement surprise car tout était trop prévisible selon mon goût. Il se lit très facilement et vite.
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J'ai particulièrement aimé la nouvelle qui donne son titre à ce petit recueil, mais les autres sont bien aussi.
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J'ai particulièrement aimé la nouvelle "Le coup de pistolet", je trouve que le rebondissement de fin est plus recherché
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Ce livre est un recueil de nouvelles qui se lit facilement, agréablement. A chaque histoire, l'auteur a réussi à me surprendre avec un retournement de situation, une fin inattendue.
J'ai beaucoup aimé découvrir la Russie au début du 19e siècle, la vie en province et pas seulement à Moscou ou St Pétersbourg. A travers ces histoires, j'ai pu m'imaginer en pleine tempête de neige, ou dans un relais de poste, auprès du samovar...
J'ai beaucoup aimé toutes les nouvelles de ce recueil, mais la 3e nouvelle, "Le marchand de cercueils", se démarque des autres : elle a un caractère fantastique, surnaturel qui fait penser aux romans gothiques. J'ai particulièrement aimé les descriptions, l'atmosphère sombre et terrifiante que l'auteur réussit à donner à ce récit.
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Date de sortie
Le Coup de pistolet
- France : 2009-01-28 - Poche (Français)
Activité récente
Titres alternatifs
- Récits de feu Ivan Pétrovitch Belkine - Français
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Évaluations
Résumé
Militaire de carrière au tempérament fantasque, Silvio semble n’avoir qu’une passion, le tir au pistolet : « Les murs de sa chambre, criblés de trous de balles, ressemblaient à des rayons de ruche. Il était devenu d’une adresse incroyable et, s’il s’était proposé d'abattre un fruit posé sur une casquette, aucun de nous n’eût craint d’y risquer sa tête. » Pourquoi, alors, subir l’affront public d’un autre officier sans réagir ? Un lourd secret l’empêcherait-il de laver en duel son honneur bafoué ?
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