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Comme il est amusant de se dire qu'à la prochaine personne qui nous dira qu'elle a lu tout Freud, on pourra répondre qu'elle aurait sans doute mieux fait de faire autre chose, qu'elle n'a lu que la pensée d'un seul, qui prétendait appliquer à tous ce qu'il ne ressentait que lui-même et que toutes ses constructions ne sont qu'une philosophie, pas plus scientifique que le marxisme ou le kantisme. Quant aux quelques résultats qu'il a obtenus (quand il n'était pas falsifiés), ils étaient majoritairement dus à d'autres types de thérapie (cures thermales, drogue, toucher, etc...).

Onfray m'a convaincu. j'espère ne pas apprendre un jour que ses écrits relèvent eux aussi de la plus grande affabulation !

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Argent

Ne connaissant pas Kant, Nietzsche ni Schopenhauer au début de cette lecture, et ayant très envie de comprendre ce livre sur Freud dont j'ignorais tout, j'ai dû faire beaucoup d'effort de recherche afin de comprendre certains passages contenant des considérations philosophiques. Mon a priori originel sur Freud, - après avoir lu un seul de ses livres - était que tout tournait trop autour de son membre viril. J'ai été rassurée de retrouver cet avis partagé dans l'ouvrage de Michel Onfray; mais plus que ce sentiment de partage d'opinion, ces analyses ont éveillé en moi beaucoup d'émotion, à commencer par la préface: comment un professeur de philosophie a pu être dupé sur l'origine, le contexte et la valeur du contenu de ses enseignements ?

Je suis reconnaissante à l'auteur d'avoir éveillé une curiosité suffisante pour partir à la découverte des philosophes "quasi-contemporains"; je partage aussi le sentiment d'indignation sur l'erreur de diagnostic d'Emma Eckstein. Mais je m'efforce de pardonner à ce médecin, qui après tout, en tant qu'être humain, reste imparfait. Bien que je n'aie pas encore terminé à ce jour la lecture de la quatrième partie, il me semble qu'il manque la dimension de l'aura de Freud, et de sa persévérance dans la transmission de son point de vue. Même s'il était ambitieux et pervers, il a réussi à être écouté par d'autres confrères à un moment de sa vie; on peut donc se réjouir que ce débat sur la meilleure manière de traiter les maladies mentales ait eu lieu. Peut-être que sans ce recul par rapport aux autres approches de l'époque, les causes des maladies mentales seraient-elles restées exclusivement biologiques - et alors, me direz-vous ? On aurait peut-être guéri l'autisme plus tôt ?

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Or

Un livre passionnant qui démontre point par point que la psychanalyse est une doctrine philosophique qui nous en apprend davantage sur les névroses de son auteur, Freud, que sur la nature humaine en elle-même. Cependant, un petit bémol dans cet ouvrage car Michel Onfray a un style parfois redondant, complexe, et qui nécessite de solides connaissances en philosophie pour comprendre certains de ses développements. J'ai malheureusement été contrainte parfois de sauter quelques pages qui m'étaient incompréhensibles... Globalement, je conseille la lecture de cet ouvrage passionnant et sourcé !

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Or

Certains travaillent à leur propre légende, celle-ci est ensuite transportée et transmise sans même jamais être remise en perspective avec les faits. Michel Onfray remet les pendules à l'heure afin que l'on puisse en notre âme et conscience se faire notre propre idée, sur ces quelques aspects d'un mythe qui perdure dans notre inconscient…

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Or

Un livre superbement bien écrit. Un exposé vigoureux contre la psychanalyse freudienne, avec l'appui de la correspondance (dont une partie est encore innaccessible!) et des textes de Freud. Onfray nous montre ainsi un psychanalyste partisan de Mussolini, pervers, tatillont, peu sûr de ses découvertes, et menteur. Je le conseille fortement.

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Argent

J'en espérais beaucoup par les effets d'annonce cumulés et la polémique hystérique des "convaincus" blessés (sans jeu de mots revendiqué, comme on dit... c'est-à-dire, avec). Aussi, je suis resté sur un... bof ! mais quand même.

Rappelez-vous, si la mémoire vous le permet et donc conjointement un certain âge, de ces Vespas au démarrage à kick. Il fallait, en tenant le guidon et en inclinant l'engin, appuyer du pied sur le levier récalcitrant. Chaque tentative provoquait des ronrons avortés du moteur en finissant par noyer le carburateur, si ce n'était le cylindre. Alors, après un temps de pose, un nouvel essai, par miracle, lançait le va-et-vient du piston de la machine. Quelques rotations de la poignée des gaz, et chacun pouvait rêver aux cheveux dans le vent. Voilà l'impression qui me reste à la lecture du livre.

J'attends « Apostille au Crépuscule. Pour une psychanalyse non freudienne » qui devrait en rajouter une couche supplémentaire. Une façon de verser de l'alcool sur les plaies ouvertes, ou de doter la Vespa d'un démarreur électrique.

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