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Extrait ajouté par Caroline 2014-01-07T12:22:04+01:00

"Le corps, tu dois le savoir, vieillit plus vite que le cœur ! Étant timide de nature, je passe mon temps à imaginer des conversations avec des gens que j’ai peur de rencontrer".

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Extrait ajouté par Caroline 2014-01-07T12:21:50+01:00

"Mes émotions m’épuisent tant elles sont riches. L’affaire, c’est que je suis un rêveur dans un pays où l’on n’aime pas les rêveurs. Et là je ne parle pas uniquement du dictateur. Tout le monde combat ici le rêve et les rêveurs. Je me demande s’il y a un endroit au monde où on les accepte. Je voudrais bien y aller. Sûrement sur une carte imaginaire. Vieux Os au pays des merveilles. Mon livre préféré : l’histoire de cette petite fille qui traverse le miroir. Je ne demande pas grand-chose pourtant, simplement qu’on me laisse rêver en paix. Je n’ai besoin de rien d’autre".

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Extrait ajouté par Caroline 2014-01-07T12:21:33+01:00

"Le journalisme ne peut être qu’une lutte infatigable contre la dictature. C’est simple comme bonjour. Il y a ceux qui exercent le pouvoir, ceux qui le subissent et ceux qui, comme moi, s’ennuient à mourir dans un tel pays. Si je subis la dictature, je ne peux pas être celui qui doit la combattre. Faut pas trop demander. La même personne ne devrait pas faire les deux boulots à la fois. Le travail doit être divisé. On ne peut pas être à la fois la maladie et le remède. C’est pour cela que les dictateurs restent si longtemps au pouvoir".

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Extrait ajouté par Caroline 2014-01-07T12:21:17+01:00

"Aucune des voitures qui nous suivaient n’a klaxonné, ce qui est incroyable dans un pays où les chauffeurs ne communiquent qu’à coups d’avertisseur".

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Extrait ajouté par Caroline 2014-01-07T12:21:03+01:00

"Chez une femme, ce ne sont pas les fesses qui m’attirent en premier, mais le visage. Et dans le visage, les yeux. Les yeux révèlent l’univers intérieur d’une personne, sa vie intime, ce qu’elle est pour elle-même, ce que j’ai toujours cherché chez une fille et qui me permet de rêver d’elle à mon aise".

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Extrait ajouté par Caroline 2014-01-07T12:20:48+01:00

"Comme un sou. Tiens, le mot sou par exemple. Trois lettres seulement et tu achètes ce que tu veux avec, enfin ce qui est achetable, car rien de ce qui a une vraie valeur n’est achetable (la mer, le ciel, la lune, la couleur jaune ou le cœur). Faut quand même pas cracher sur le mot sou. Ce mot, j’aime l’avoir dans ma poche".

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Extrait ajouté par Caroline 2014-01-07T12:20:35+01:00

"Dès que je trouve un mot qui me plaît, je sors mon cahier noir pour le noter. Les mots pullulent. Ils sont partout et ils ont la vie dure. Certains ont traversé des siècles, certains ne vivent que le temps d’une saison. D’autres, morts il y a longtemps, reviennent un matin dans la bouche d’un gosse qui ignore leur signification. Je trouve mes mots partout. Dans la rue, dans les livres. Ou simplement dans l’air. Certains mots, même quand on ne les emploie plus, aiment rester dans l’air à flotter, attendant qu’un facétieux les attrape. J’aime surtout les mots simples que les gens emploient souvent. Des mots qui aiment se retrouver dans une bouche pour se faire manger, broyer, dévorer, mastiquer. Des mots bien domestiqués".

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Extrait ajouté par Caroline 2014-01-07T12:20:22+01:00

"Ce que j’aime, c’est écrire. Rendre une ambiance avec des mots. Faire vivre une situation avec des phrases. Je suis fou des mots. J’ai un cahier plein de mots rutilants (mais les plus beaux sont les plus simples). Leur sens se trouve caché dans leur musique. Des mots comme lune, mer, ciel, jaune ou cœur. J’aime le mot étincelle, qui me fait penser à une pluie d’étoiles. Et tout de suite mon enfance m’éclate à la tête. Je ne sais pas pourquoi, je pense constamment à mon enfance".

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