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"Je pense que vous sous-estimez Ender."

"Mais je crains d'également sous-estimer la stupidité du reste de l'Humanité. Sommes-nous absolument certains qu'il faille gagner cette guerre ?"

"Colonel, ces mots sonnent comme une trahison."

"C'était de l'humour noir."

"Ça ne m'a pas fait rire. Avec les doryphores, rien..."

"Rien n'est drôle, je sais."

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C'était subtil. Ender resta longtemps sans voir. Les vaisseaux des doryphores bougeaient tous continuellement. Il n'y avait ni vaisseau amiral ni centre nerveux apparents. Mais, progressivement, alors que Mazer passait et repassait les images, Ender distingua que tous les mouvements se concentraient sur un point central et émanait de lui. Le point central se déplaçait mais il parut évident au bout d'un certain temps, que l’œil de la flotte, le moi de la flotte, la perspective qui commandait toutes les décisions, était un vaisseau particulier.

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Ender leur apprenait la tactique du combat en apesanteur. Mais qui pouvait enseigner quoi que ce soit à Ender ?

Il se mit à utiliser la salle de vidéo, pleine de bandes de propagande concernant Mazer Rackham et les autres grands commandants des forces de l'Humanité pendant les Premières et Deuxièmes Invasions.

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DRAGON

— « Maintenant ? »

— « Je suppose. »

— « Il faut que cela soit un ordre, Colonel Graff. Les armées ne bougent pas parce qu’un commandant dit : « Je suppose qu’il est temps d’attaquer. ». »

— « Je ne suis pas commandant. Je suis enseignant et je m’occupe d’enfants. »

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"L'humanité ne nous demande pas d'être heureux, elle nous demande simplement d'être intelligents afin de pouvoir la servir."

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Je m'en fiche se dit Ender. Vous pouvez gardez votre jeu. Si vous ne me donnez pas la moindre chance, pourquoi jouerais-je ?

- N'oublie pas. La porte de l'ennemi est en bas !

Molo, Soup, Vlad, Dumper et Crazy Tom rirent. Eux aussi s'en souvenaient.

Et Ender rit également. C'était drôle. Les adultes prennent tout cela trop au sérieux, et les enfants acceptant, acceptent, jouant le jeu jusqu'au moment où, soudain, les adultes allaient trop loin, faisaient trop fort, et où les enfants voyaient dans leu jeu. Laisse tomber, Mazer. Je me fiche de tes règles. Si tu peux tricher, moi aussi. Je ne te permettrai pas de me battre injustement.

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- Je sais, tu es ici depuis un an, tu crois que ces gens sont normaux. Eh bien, ils ne le sont pas. Nous ne le sommes pas. Je regarde la bibliothèque, je fais apparaître des livres sur mon bureau. Des vieux, parce qu'ils ne nous autorisent pas à avoir les nouveaux, mais j'ai une idée assez précise de ce que sont les enfants, et nous ne sommes pas des enfants. les enfants peuvent se perdre, parfois, et personne ne s'en inquiète. Les enfants ne sont pas des armées, ils ne sont pas commandants, ils ne dirigent pas quarante gosses, c'est plus que ce que l'on peut supporter sans devenir fou.

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- En fait, on m'a promu trois fois, et j'ai refusé.

- Refusé ?

- Ils m'ont pris mon placard, ma couchette, et mon bureau, ils m'ont affecté dans une cabine de commandant et m'ont donné une armée. Mais je me suis contenté de rester dans la cabine jusqu'à ce qu'ils cèdent et me remettent dans l’armée de quelqu'un d'autre.

- Pourquoi ?

- Parce que je ne veux pas qu'ils me fassent cela. Je ne peux pas croire que tu n'as pas encore compris, Ender. Mais je suppose que tu es jeune. Les autres armées ne sont pas l'ennemi. Ce sont les profs qui sont les ennemis. Ils nous obligent à nous combattre, à nous haïr. Le jeu est tout. Gagner, gagner, gagner. Cela ne rime à rien. Nous nous tuons, nous faisons n'importe quoi pour vaincre et, pendant ce temps, tous ces vieux salauds nous espionnent, nous étudient, trouvent nous points faibles, décident si nous sommes ou non assez forts. Assez forts pour quoi ? J'avais six ans quand on m'a conduit ici. Nom de Dieu, qu'est-ce que je savais ? Ils ont décidé que je convenais au programme, mais personne ne m'a demandé si le programme me convenait.

- Alors pourquoi ne rentres-tu pas chez toi ?

Dink eut un sourire amer.

- Parce que je ne peux pas renoncer au jeu.

Il tira sur le tissu de la combinaison de combat posée sur le lit.

- Parce que j'aime ça.

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- Ce sont les enfants les plus intelligents du monde, chacun à sa manière.

- Mais ne devraient-ils pas agir tout de même comme des enfants ? Ils ne sont pas normaux. Ils agissent comme... l'Histoire. Napoléon et Wellington. César et Brutus.

- Nous tentons de sauver le monde, pas de guérir les coeurs brisés. Vous êtes trop sensible.

- Le général Levy n'a pitié de personne. Toutes les vidéos le montrent. Mais ne faites pas de mal à ce petit.

- Est-ce que vous plaisantez ?

- Enfin, ne lui faites pas plus de mal que nécessaire.

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Mais son murmure fut celui qu'il utilisait lorsqu'il hurlait de douleur, quand Peter le tourmentait. Le bruit n'allait pas plus loin que ses oreilles et même, parfois, ne les atteignait pas.

Et ses larmes involontaires pouvaient toujours tomber sur l'oreiller, ses sanglots étaient si discrets qu'ils ne secouaient même pas le lit : si silencieux qu'ils étaient inaudibles. Mais la douleur était là, lui contractant la gorge et le visage, lui brûlant la poitrine et les yeux. Je veux rentrer à la maison.

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