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Plusieurs décennies se sont écoulées depuis les événements narrés dans "les robots de l'aube". Le docteur Amadiro voue une haine inextinguible à Gladia Gremionis pour avoir fait échouer ses plans de domination de la galaxie. Avec l'aide de Mandamus, un jeune et brillant scientifique, il ourdit à nouveau un plan d'éradication de l'humanité. Pour le contrer, Gladia est toujours assistée de Daneel, le robot humaniforme, et de Giskard, l'androïde télépathe, aux aptitudes nombreuses mais limitées par les restrictions qu'imposent les lois de la robotique. Et leurs choix seront d'autant plus ardus qu'une nouvelle loi, la loi Zéro, va faire son apparition...
— Comme le coucher ou le lever des astres ?... Excuse-moi, Daneel, je n’avais pas l’intention de plaisanter. De quels souvenirs parles-tu ? D’une voix plus basse encore, Daneel répondit : — Madame, je veux parler des souvenirs de mon partenaire de jadis, le Terrien Elijah Baley. Et Gladïa demeura là, figée, si bien que Daneel dut lui-même prendre l’initiative, finalement, et faire le geste pour que s’ouvre la porte
Dans ce 6ème et dernier volet du cycle des robots, Isaac Asimov prend le lecteur à contre-pied en abandonnant totalement la trame des précédent tomes. Ici point de recueil de nouvelles ni d'enquête policière. Non. Mais passé ce petit moment de surprise et malgré un début qui traine un peu en longueur, la lecture s'avère être extrêmement plaisante.
200 ans s'étant écoulé depuis "les robots de l'aube", Elijah Baley est donc mort depuis plusieurs décennies (même si il apparait sous forme de flashback) . C'est donc Daneel et Giskard qui tiennent le rôle principal (mais aussi Gladia et D.G). Ils vont devoir faire preuve d'habilité et de sagesse afin d'arrêter un complot visant la terre. Mais les limites que leur impose les 3 lois de la robotique leur donne du fil à retordre. La solution à ce problème sera inventive, surprenante et en même temps d'une logique implacable.
Contrairement aux autres romans où l'action se déroulait principalement sur une planète, l'auteur nous fait voyager sur plusieurs mondes. C'est une idée plutôt bienvenue car elle permet de renouveler l'intrigue, les dialogues et l'évolution des personnages.
Mais l'autre intérêt de ce roman, c'est surtout de faire un lien évident avec l'autre grand cycle d'Asimov: Fondation.
Au final: "Les robots et l'Empire" s'avère être une brillante conclusion au cycle des robots malgré quelques longueurs au début. Pas forcément le meilleur de la saga, mon préféré restant "Les robots de l'aube" mais c'est de toute façon brillant et incontournable pour tout fan de SF.
Ma note: 16/20
Ma prochaine lecture: "La guerre éternelle" de Joe Haldeman
Une magnifique fin de cycle. Des robots presques humains, voir plus humains que certains humains. Les prémisses de fondations sont bien présentes ou plutôt on reconnaît les raccords fait par 'Fondation et Empire', notamment la Loi Zéro. La belle clôture d'un chef d'œuvre de la science fiction.
De manière analogue au cycle de Fondation avec '' l' Aube '' et '' Prélude '', ou au cycle de Dune avec les œuvres de Brian Herbert, je ne me pencherais pas - ou du moins dans l'immédiat - sur '' Le Robot qui Rêvait '' ni '' Nous les Robots ''.
Je recommande ce livre à tous ceux qui ont déjà lu le cycle de fondation en entier. De tous les livres de la série, je trouve qu'il est probablement le plus abouti et pour une fois que l'auteur arrive à lever tous les mystères.
Un tome qui vient conclure le cycle des robots, et qui nous permet de faire énorméments de liens avec le cycle de Fondation. Liens que je ne révèlerais pas car ils spoileraient à la fois ce tome et certains passages du cycle de Fondation, mais ils sont très plaisant à voir.
Le livre en lui même est agréable à lire. Elijah Baley manque un peu. Même si D.G. est un personnage sympa, je ne l'ai pas trouvé aussi intéressant que son ancêtre.
Daneel et Giskard, en revanche, se sont révélés bien plus attachants et intéressants que lors des précédents tomes. A tel point que la fin m'a fait un petit pincement au coeur. Bien joué Asimov !
Malgré son rythme étrange et un cahier des charges imposant (le roman doit constituer le lien manquant entre les débuts de l'exploration spatiale menée avec des robots et l'établissement d'un empire galactique humain), les Robots & l'Empire se lit sans déplaisir. Certes, Baley manque à l'appel (les décennies ont passé et - ce qui est rappelé un peu trop régulièrement - les Terriens ont une espérance de vie trop courte pour pouvoir vivre aux côtés des Spaciens) cependant quelques séquences de souvenirs parviennent à le faire revivre avec une certaine élégance nostalgique. L'intrigue repose donc essentiellement sur Gladïa et les deux robots Daneel et Giskard, ô combien précieux pour la réalisation du Grand Oeuvre asimovien. Or Gladïa n'était jusque là qu'une gentille fille timorée, coincée par une éducation rigide et un schéma de pensée monolithique, que sa romance inespérée avec l'inspecteur Baley a ouverte au monde des hommes. Il faut croire qu'il lui a permis de lever nombre d'inhibitions car la voilà leader d'un mouvement d'émancipation humaine, prenant fait et cause pour la nouvelle vague de colonisateurs venus de la Terre et militant pour un partage équitable de la Galaxie. Abrupt, mais efficace, d'autant que la présence à ses côtés des deux robots la verra en outre tenter de déjouer un gigantesque complot anti-terrien. Aux côtés du sémillant descendant de son grand amour, elle sillonnera l'espace pour tenter de résoudre le mystère de la disparition d'un peuple et de convaincre des partis politiques hostiles. Le finale établira adroitement, bien que plutôt artificiellement, les étais solides sur lesquels reposeront les prémisses de Fondation.
Dernier tome du cycle des robots... C'est toujours un peu triste de finir une saga comme cela. Mais il est rassurant par ailleurs que l'œuvre d'Asimov soit une vraie compilation historique. Tout est lié et cela rajoute au grandiose de son travail!
Je trouve ce thèmeSpoiler(cliquez pour révéler) du développement de la conscience par les robots vraiment fascinante! J'adore le personnage de Giskard. Spoiler(cliquez pour révéler) Triste qu'il ne soit plus... Et hâte de voir le développement de ce fameux empire !
La tension monte entre Spatiens et Coloniens, résultat de plusieurs décennies de rancœurs, de mépris, et d'un désir de certains à contrôler l'expansion de l'humanité à travers la galaxie.
Asimov clôt ce superbe cycle, en arrivant à nous faire éprouver de l'attachement pour les robots Daneel et Giskard, d'une loyauté sans faille.
J'aurais préféfé une fin plus joyeuse, malgré que le lecteur soit bien prevenu et que j'ai parfaitement ignorer ces indices. Malgré tout je prefererai Daneel mais je me suis beaucoup attache à Giskard. Je me serais bien effrondrer de pleurs apres ma lecture.
Neanmoins, c'est une fin où je n'ai plus grand chose à redire : apres cinq tomes à parler des robots, nous avons enfin leur point de vue, car les humains sont plutot secondaire dans ce rome. Je les trouve bien trop humain, bien que cela ne me deplaise pas. Même si le point de vue reste exterieure, les deux androïdes et nous même tentons de les connaitre par leur dialogue. Dialogue qui leur permet d'évoluer aussi, en frôlant la mort de très près parfois. Je trouve aussi qu'ils m'ont l'air bien livre. A peine enchainé à... disons la servitude. Pour le bien ou pas, ils sont plutôt autonomes, ils manipulent des gens...
Elijah est devenu une légende, les trois tomes précédent aussi. Curieux quand nous savions comment il était traité. Les scènes des quelques retrouvailles entre lui et les robots sont bien trop court ! Sans compter que je le vois comme le guide, le mentor des robots et en particulier de Daneel, en plus du grand homme. Autre différence, les robots ne font pas autant de secret que lui et ce n'est pas plus mal.
Nous gardons quelques repères, mais pour l'essentiel, il y a également beaucoup de repère absent : Elijah bien sur, et même Folstofe (bien qu'il était decrit comme moche ou je ne sais plus comment quelqu'un qui rirait de sa mort doit rester dans l'eternité).
Pour la nouvelle loi. Pourquoi pas, même si j'ai encore des réserves. Je ne la trouve toujours pas assez claire, sans compter qu'elle est centré sur les humains.
Mon coeur se serre de tristesse en pensant à la fin du livre. Cela n'aurait-il pas pu en être autrement ?
Dans tous les cas, que je peux que (pas que que évidement) louer le talent d'Asimov.
Une histoire à vivre. Même si la fin brise le coeur.
Résumé
Plusieurs décennies se sont écoulées depuis les événements narrés dans "les robots de l'aube". Le docteur Amadiro voue une haine inextinguible à Gladia Gremionis pour avoir fait échouer ses plans de domination de la galaxie. Avec l'aide de Mandamus, un jeune et brillant scientifique, il ourdit à nouveau un plan d'éradication de l'humanité. Pour le contrer, Gladia est toujours assistée de Daneel, le robot humaniforme, et de Giskard, l'androïde télépathe, aux aptitudes nombreuses mais limitées par les restrictions qu'imposent les lois de la robotique. Et leurs choix seront d'autant plus ardus qu'une nouvelle loi, la loi Zéro, va faire son apparition...
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