Le désamour
Auteur
- Antonia Kerr (Écrivain)
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Classement en biblio - 6 lecteurs
extrait
Voilà plusieurs années qu'elle m'avait délassé et je me croyais tiré d'affaire. Mais elle était toujours là et, vraisemblablement, elle ne me quitterait jamais. D'une certaine manière, l'angoisse était une sorte de matelas inconfortable sur lequel vous êtes contraint de dormir jusqu'à la mort ; un matelas qui durcirait avec le temps et la détresse, mais dont la joie serait capable d'amortir un peu l’assise. Hélas, le bonheur est trop éphémère, à peine s'est-il installé que, déjà, vous vous retrouvez sur un lit de paille, avec l'impression infecte d'avoir été trahi.
Afficher en entierCommentaires récents
Je n'ai franchement pas aimé. Franchement pas accroché à l'histoire de ce couple marqué par la différence d'âge. Je n'ai pas réussi à voir où l'auteur voulait en venir.
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Les 50 premières pages sont potentiellement intéressantes puis ..Spoiler(cliquez pour révéler). le narrateur se répète et se répète, se plaint encore et toujoursSpoiler(cliquez pour révéler)Sa jalousie et sa mythomanie détruisent sa vie amoureuse, et franchement m'ont ennuyée.
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Date de sortie
Le désamour
- France : 2013-09-05 (Français)
Activité récente
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Résumé
«Je la regardais en pensant au moment où elle ne serait plus là, et lorsqu’elle était tout près de moi, j’étais incapable de me réjouir, anticipant déjà son prochain départ. Elle me brisait le cœur quand elle marchait, quand elle riait, elle me brisait le cœur au moindre mouvement, à la moindre expression, et il me semblait sentir la terre trembler chaque fois qu’elle passait la porte d’entrée. Lorsqu’une femme pèse plus lourd dans votre cœur que tous les éléphants d’Afrique, la peur devient une affaire de chaque instant et même une seconde nature. Dès qu’elle sortait, je pensais aux chiffres : trois milliards et demi d’hommes sur terre. Trois milliards et demi, ce n'était pas raisonnable.»
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