Le Début de la faim, Tome 1

Pour les amateurs de films d’horreur des années 80, ils se rappelleront que les réalisateurs n’hésitaient pas à mélanger l’humour à l’horreur. Digne d’un scénario de l’un de ces films, j’ai plongé avec bonheur dans le Début de la faim. Grande amatrice des films et des séries sur les zombies, je suis toujours frustrée de ne jamais connaître le pourquoi de l’épidémie. Enfin, un auteur qui nous donne une piste qui tient la route !

Vu le nombre de personnages dans le roman, j’ai pensé me perdre au fil de l’histoire. Mais l’auteur a su me guider telle Ariane avec son fil.

Aucun temps mort dans l’histoire, à part les morts, bien entendu ! Et clou du clou, une histoire d’amour entre deux cervelles éclatées !

C’est beau, c’est moche !

C’est horripilant d’être aussi marrant !

Hypnotisée dans l’histoire, j’ai même lu la note de l’auteur pour ne pas arriver à la faim, pardon, la fin du roman !

De ce pas et, puisqu’il insiste, je vais lui écrire ma déclaration d’amour en message privé.

Fan de Walking dead, je ne pouvais passer à côté d'un roman sur les zombies. Bon, je n'ai pas tremblé, mais qu'est-ce que j'ai ri. L'auteur est un brin déjanté.

Je découvrirai avec grand plaisir d'autres romans de cet auteur.

Mon choix en liste d'or :

- Histoire aussi morbide que rigolote

Relecture du premier tome pour me remettre dans l’ambiance !

Et comme lors de ma première lecture je me suis laissé plonger bien volontiers dans l’univers que nous dépeint l’auteur.

C’est un univers sombre et inquiétant avec des zombies au tournant. Mais ce ne sont pas forcément ce qui est le plus dangereux dans la nature.

J’adore les personnages et la manière de nous les présenter tous petit à petit, avec leurs personnalités et leurs vécus. Ça nous permet de petit à petit nous attacher à eux.

Jusqu’à la formation d’un petit groupe de survivants où tout le monde est différent mais où ils sont tous extrêmement soudés.

J’adore les descriptions gores de certains passages. C’est très à propos pour un livre post apo !

Chapeau bas monsieur Nil Borny !

Une histoire fantastique terreur puisque nous mettons les pieds chez les zombies.

Et quels zombies, ceux de Nil.

Certes, il y a de l'horreur et de la terreur, mais juste ce qu il faut pour l histoire. Toutefois, il y a aussi de l amour et beaucoup d humour. Je me suis bien amusée en le lisant.

Un style très facile à lire et agréable, des personnages attachants (je ne parle pas des zombies 🤣)

Je n' ai qu une envie, lire la suite dans le début de la faim 2 : Viktor

Pour faire court : j ai kiffé 🧟🧟‍♀️🧟‍♂️🧟🧟‍♀️🧟‍♂️

Vous pensez avoir déjà tout lu ou vu sur les zombies ? Le Début de la Faim vous démontrera le contraire. Loin des poncifs du genre, l'auteur nous entraîne dans les histoires de ses personnages hauts en couleur. Aucun rôle secondaire ou mise à l'écart n'est à déplorer. On s'attache immanquablement à tous, au fil des pages qui s'enchaînent à un rythme effréné.

Amateurs d'action, de suspense, mais aussi d'humour, car l'auteur n'en manque pas, loin s'en faut, ce livre est pour vous. Et bonne nouvelle, si la fin vous laisse pantelant et avide de plus de sensations, Viktor vous attend. Moi, j'y fonce !

Je pense qu’il manque de la typographie, des répétitions m’ont hérissé et les jeux de mots capillotractés m’ont arraché à peine quelques sourires en coin. Globalement, à mon gout trop de plaisanteries et de légèreté. Je n’aime pas les glissements temporels et leurs retours en arrière et puis les histoires de zombies ne sont pas ma tasse de thé. Une petite impression de jouer a the last of us, pointe de nostalgie plutôt agréable, bien que je ne sois toujours pas fan des zombies.

Si non, pour les nombreux côtés positifs, cette histoire est bien balancée et les personnages attachants, l’histoire déroule, c’est sympa et les personnages principaux motivent à rester. Le pari est réussi puisque je veux apprendre comment il s’en sortira. Donc, j’arracherai peut-être un morceau de chair au tome 2… on verra !

Pour tout vous dire, j’appréhendais un peu le moment où j’ouvrirais ce livre. Non pas parce que je n’aime pas la littérature horreur, au contraire, mais parce que très souvent je suis déçue par ces histoires de zombies qui me semblent plates et réchauffées. Mais ici pas du tout !

J’ai apprécié la présentation de l’histoire : trois parties composées chacune de plusieurs chapitres

La première présente le début de cette « zombification » vue à travers les yeux de différents personnages. Dont je ne vous dirai pas grand chose. Certains sont nommés mais ne restent que l’espace d’une page ou même de quelques lignes, d’autres vont mourir plus ou moins rapidement alors que certains vont résister jusqu’à la fin. D’autres feront une apparition plus ou moins longue en cours d’histoire. Ils sont très différents les uns des autres : lycéens, agent RATP, militaires, parents, grands-parents, hommes, femmes…Bref un large panel qui montre aussi l’étendue de cette « épidémie ».

La tension monte petit à petit, l’atmosphère devient de plus en plus pesante.

Puis on passe à une deuxième partie, plus « calme » (tout est relatif !) On y trouve quelques réponses aux questions qu’on peut se poser. Mais l’horreur n’est jamais bien loin…

Enfin la partie numéro trois qui réserve quelques « surprises » au lecteur. La tension remonte d’un cran, voire même de deux ou trois. Pour nous amener à un final qui vous laissera sans voix, sauf celle dans votre petite tête qui vous murmurera « si je l’avais sous la main, j’étranglerai bien Nil Borny .Non mais quelle idée de laisser son lecteur comme ça !»…

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Un roman d’horreur avec des scènes plutôt trash ? Oui. Mais non dénué d’humour, parfois assez potache, qui allège l’atmosphère pour les protagonistes et pour nous également. Il y a aussi une ébauche d’histoire d’amour, parce que même si on est dans un monde d’horreur et de terreur, l’être humain est toujours capable de trouver quelque chose de beau, il est toujours capable d’espérer.

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En bref un excellent moment de lecture. Un style que j’ai apprécié. A mon avis, l’auteur s’est fait plaisir en écrivant cette histoire et cela se ressent. Un roman qui bien sûr a toutes les bases d’une histoire zombie, mais Nil a su y apporter sa touche personnelle.

Vous aimez ce genre de lecture ? Alors foncez, vous ne serez pas déçus !

Attention, certaines scènes sont susceptibles de choquer les plus sensibles. A ne pas mettre entre toutes les mains.

J'ai eu la chance de gagner le roman lors d'un concours organisé par l'auteur sur sa page Facebook (Merci Nil !). Lorsque j'ai commencé à le lire, j'étais dans l'état d'esprit "c'est sérieux, une histoire de zombies, tu sais à quoi t'attendre : de l'horreur, du drame, du gore". Ils sont bien là, mais je ne m'attendais pas du tout à l'humour qui accompagne le lecteur tout au long de l'histoire. Qu'il passe par les personnages ou directement par l'auteur, il est caustique, mordant même et il donne au roman un ton que je n'ai pas l'habitude de rencontrer. Ça fonctionne très bien car le dosage est parfaitement maîtrisé à chaque fois ou presque.

L'auteur utilise parfois des ficelles classiques dans les œuvres du genre, mais il prend soin d'apporter sa touche personnelle et une originalité qui vous donnent envie de tourner les pages pour savoir comment tout ça va finir.

Les personnages sont attachants ou agaçants, bref, ils ne laissent pas indifférents.

J’ai lu le Début de la faim de Nil Borny… et bien, il m’a scotchée ! Je m’attendais à un truc complètement déjantée, humoristique à gogo. Alors certes, il y en a, mais c’est également une histoire dramatique, haletante, émouvante, attendrissante, romantique… Si, si !

Ce qui m'a accrochée en premier, la couverture ! J'adore ! Et elle résume assez bien l'histoire si on ne retient que les grandes lignes. Ensuite, il y a la personnalité de l'auteur. C'est qu'on l'aime notre Nilou !

Nil Borny nous donne sa version d’un drame apocalyptique et je l’ai trouvée très originale. le bonus : les causes vous seront dévoilées à la fin du tome !

Les humains deviennent d’étranges créatures mortes vivantes et ne pensent qu’à une seule chose, vous dévorer !

Comment survivre dans un tel contexte ? Vous suivrez plusieurs options à travers des personnages aussi variés qu’attachants ou totalement effrayants. Mais attention, tout le monde ne s’en sortira pas. Ne vous attachez pas trop vite aux protagonistes de cette histoire ! :p Face à un tel fléau, on meurt ou on se bat, avec des moyens parfois inattendus ! Peut-on faire confiance à tout le monde ? ces choses sont-elles les seules à craindre ?

Le tour de force de Nil Borny ? Apposer une franche dose d’humour grâce aux situations cocasses et à un personnage en particulier. Je ne dirai pas de qui il s’agit mais il a intérêt à rester en vie celui-là ! Vous le repérerez vite.

Bref, une belle plume : très fluide, très agréable, un scénario qui cultive son originalité malgré les références à des séries ou films du même type.

L’auteur m’a embarquée dans son monde, auprès de ses personnages, et je suis conquise ! Un bon moment de détente et de suspense à lire absolument ! Je découvrirai avec beaucoup d’intérêt et de plaisir la suite ainsi que les autres romans de cet auteur !

?L'HISTOIRE?

C’est fou comme tout peut basculer en un instant, c’est ce que nous allons découvrir avec ces Parisiens. La journée débutait comme chaque journée, nous découvrons alors Natasha et Bernard, agent RATP très sexy, mais n’ayant plus confiance en les hommes pour elle et trouillards pour lui. Louis père célibataire un peu (beaucoup) loufoque d’un ado, Théo.

Ce dernier a la chance de ne pas avoir cours et se prélasse devant un jeu vidéo avec ses amis de toujours, Bouli et Flip, quand tout va basculer dans l’horreur.

Sur les quais d’une gare, Paris bascule petit à petit dans un film de Romero sous les yeux de Matthieu qui croisera à son tour deux bombes dans la panade qu’il va prendre sous son aile.

Et même quand tous commencent à trouver une certaine sécurité, il semble que le destin s’acharne.

Alors, alors, alors,

J’ai adoré !!! Un pur coup de cœur. J’ai adoré l’ambiance très normale du livre, on ne se sent pas au début de la lecture dans un roman tiré par les cheveux. Les réactions et les personnages sont tout à fait réalistes et on s’attache en deux coups de cuillère à peau dans le cerveau (oui, blague naze je l’admets…). Même si l’humour garde une place très présente tout au long de la lecture, la tension reste palpable, les rues de Paris nous apparaissent de manière sanglante et terrifiante. Nil Borny sait nous emporter dans son univers sans détour et perte de temps, nous découvrons ces personnages tout en basculant dans l’horreur à leur côté. À certain moment, nous prenons le temps de nous attacher à un personnage pour quelques instants plus tard grincer des dents sur le sadisme de l’auteur.

Le petit négatif qui n’en est pas un est que j’aurais presque voulu pour une fois rester dans le flou et ne pas découvrir les tenants et aboutissants de l’histoire pour rester plus dans une histoire plus humaine, par là j’entends un point de vue des survivants dans une histoire de survie classique, alors que là on tombe un peu dans le complot.

Le gros plus, Louis et son ton décalé qui ne peut s’empêcher de nous faire rire au grand désespoir de ses compagnons de survit et de la belle Natasha qui ne le supporte vraiment pas.

?LA CONCLUSION?

En conclusion, un coup de cœur, j’ai adoré ma lecture. Je ne comprends pas cette définition de roman de gare, mis à part le côté léger offert par l’humour présent. Je pense que même les lecteurs n’appréciant pas forcément l’horreur et les zombies pourront trouver leur bonheur avec une bonne tranche de rigolade et même une ‘’douce’’ romance !