Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 437
Membres
1 006 293

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

"Je vous propose un marché, Peter. Faites de réels progrès dans vos études, et je vous dirai où trouver les notes du dernier cerveau qui a rempli le labo de... De rats, essentiellement, mais je crois me souvenir de quelques chiens dans sa ménagerie.

- Quel genre de progrès?

- Plus convaincant que ce que je vois en ce moment.

- J'aimerai aussi parcourir ce dossier, intervint le Dr Walid.

- Alors, vous devriez encourager Peter à travailler plus.

- C'est un homme diabolique, dis-je.

- Et fourbe", Ajouta le Dr Walid.

Nightingale nous regarda placidement par-dessus le bord de sa tasse de thé.

"Diabolique et fourbe", répétai-je.

Afficher en entier

- Je veux les voir morts, dit-elle. Morts, morts, morts.

- Non, dit Nightingale.

- C'est la loi ! cria-t-elle, ses petits poings serrés, menton levé. Une vie pour une vie.

- Nous retrouverons les coupables et ils répondront de leurs actes devant la justice. C'est notre accord.

- Je n'ai rien signé de tel, dit Oberon.

- Alors, je vous demande de faire preuve de patience dans cette affaire.

- Ma patience, cracha Oberon, est un puits que votre nation a pratiquement asséché.

Afficher en entier

Dans la police, les vieux briscards s'amusent à terroriser les jeunes flics en leur racontant les épisodes les plus horribles de leur carrière. Parmi les thèmes les plus fréquents : automobilistes éviscérés, noyés au cadavre gonflé, petites mamies transformées en source de protéine par leurs chats - et aussi, l'odeur de la chair humaine brûlée.

"Ça ne te sort plus jamais des narines, disent-ils, avant d'ajouter immanquablement que c'est encore pire quand on n'a pas mangé. Parce que tu commences à avoir l'eau à la bouche, et ensuite tu te rappelles exactement ce que tu es en train de sentir."

p105

Afficher en entier

Douglas Manderly ne se doutait pas qu’en saisissant le nom de Robert Weil dans HOLMES il déclencherait une alerte – un service que m’avait rendu un civil au support technique – qui enverrait un e-mail sur mon ordi. Je promenais Toby dans Russell Square quand un SMS m’avertit.

En fait, nous nous abritions de la fine bruine hivernale dans un bistrot. J’avais commandé un café pour moi, un gâteau pour Toby. Mon téléphone n’offrait pas des conditions de sécurité acceptables pour prendre connaissance d’informations de nature sensible. Nous retournâmes donc à la Folie en pataugeant. Pour gagner du temps, nous entrâmes par la porte de service, traversâmes la cour à l’arrière, puis montâmes l’escalier en colimaçon extérieur qui menait au loft aménagé au-dessus du garage. J’y entreposais mes ordinateurs, mon téléviseur à écran plasma, ma chaîne stéréo, ainsi que tout le matériel indispensable à une vie normale au XXIe siècle. Pour une raison ou pour une autre, je n’osais pas les garder à l’intérieur du bâtiment principal.

Afficher en entier

À onze heures vingt-trois, Robert Weil traversa le pont qui reliait Pease Pottage, village anglais au nom improbable, à Pease Pottage, aire de repos et de service autoroutière, au volant de sa Volvo V70 de 2003. Nous connaissons l’heure exacte grâce aux caméras de surveillance. Malgré la pluie et la mauvaise visibilité, l’agrandissement des images montre clairement que Robert Weil était seul à l’avant du véhicule.

Faisant preuve de ce qui ressemble, avec le recul, à une prudence suspecte, il tourna à gauche au rond-point pour rejoindre une bretelle qui décrit une courbe autour de l’aire de repos, avant de se diriger vers Crawley en empruntant le second pont qui enjambe la M23. Puis il s’engagea dans une intersection dangereuse, où le trafic qui sort de l’autoroute croise celui qui traverse le pont – des feux de signalisations y ont été installés pour empêcher les accidents. Nous ignorons pourquoi Robert Weil les a grillés. Certains ont interprété cela comme un appel à l’aide, un désir inconscient de se faire pincer. D’autres croient que, pressé de rentrer, il a pris un risque calculé, ce qui n’expliquerait pas son allure de père tranquille – cinquante kilomètres à l’heure. Je pense qu’il s’inquiétait tellement de ne pas attirer l’attention en restant sous la limite légale qu’il n’a même pas remarqué les feux. Il était très préoccupé.

Afficher en entier

J'imaginai Nightingale en train d'ajouter cette information à la liste plutôt longue des choses qu'il aurait dû savoir.

Afficher en entier

Nightingale nous conduisit dans l'un des labos inutilisés au bout du couloir. Il déhoussa des établis, des tous et des étaux. Je reconnu un atelier de technologie, comme au collège, mais coincé dans une faille spatio-temporelle, à l'époque de la machinerie à vapeur et du travail des enfants. Il retira une dernière protection, sous laquelle se trouvait une sorte d'enclume en fer noir. Je n'en avais jamais vu de pareille, sauf dans les dessins animés, où elle tombait sur la tête des personnages.

- Tu penses à la même chose que moi, Lesley?

- Je crois Peter. Mais comment on va faire monter le Poney jusqu'ici?

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode