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Renouant avec la tradition des Huxley, Orwell, Bradbury et de sa Servante écarlate, Margaret Atwood nous plonge dans un univers à la fois familier et terrifiant. Un monde dévasté à la suite d'une catastrophe écologique sans précédent, où se combinent des conditions climatiques aberrantes, des manipulations génétiques délirantes et un virus foudroyant prompt à détruire l'ensemble de l'humanité. D'ailleurs, c'est presque fait : d'êtres humains, au début du Dernier Homme, il ne reste que Snowman, lequel est confronté à d'étranges créatures génétiquement modifiées - les Crakers, une nouvelle race d'" humains " programmés pour n'être sujets ni à la violence, ni au désir sexuel, ni au fanatisme religieux -, et à des animaux hybrides qui s'appellent désormais porcons, louchiens ou rasconses... Ce monde visionnaire, c'est presque le nôtre... Pamphlet politique, conte prophétique : avec son humour noir et son intelligence acérée, un souffle romanesque inouï et une générosité contagieuse, le " meilleur des mondes " glorieusement inventif de Margaret Atwood nous tend un miroir saisissant de vérité.
Je dois dire que j'ai moyennement apprécié ce roman. Il explore des pistes intéressantes mais est très long à fournir des explications sur le monde et ce qu'il s'est passé. Un peu loufoque mais barbant.
"À quel moment force-t-on la note, à quel moment va-t-on trop loin?"
Voilà la citation qui résume à la perfection ce roman.
Parce qu'on contemple les conséquences de l'humanité sur une Terre pas si lointaine de la notre. Des effets météorologiques extrêmes, plus rien, plus de civilisation.. Juste Snowman. Le dernier homme.
C'était une lecture difficile par tous les sujets qu'elle aborde, parce que - contrairement à ce que j'avais pensé - nous n'avons pas un récit d'un nouveau monde mais de la chute de l'ancien. À travers les souvenirs fugaces, flous et désorientés de Snowman, on comprend que les humains allaient droit dans le mur depuis très longtemps, mais que le coup degrâce a été porté par une unique chose. Spoiler(cliquez pour révéler)Un autre homme, Crakers, qui est pourtant à la base de la nouvelle civilisation, celle de ces humanoïdes naïfs et sans défauts, du moins pour le moment. Nous avons également Oryx et tout ce qui l'entoure. Son histoire m'a vraiment mis mal à l'aise (je sais que c'était l'effet recherché) mais je ne m'attendais pas à tomber sur de la pédophilie décrite si crûement.
J'ai eu du mal à rentrer dans le récit, mais je pense avoir du mal avec la plume d'Atwoodmême si j'adore ces récits de dévstations qu'elle nous livre. Le passage du passé au présent était logique, mais m'a dérangée au final.
Il était pour ainsi dire impossible de s'attacher au personnage principal, même avant la fin.
Quoi qu'il en soit, cette lecture m'a bouleversée par les similitudes qu'elle a avec notre réalité, et par ce qu'elle cherche à faire.
Je ne sais pas si je lirais la suite, mais cette lecture m'a beaucoup fait réfléchir.
Margaret Atwood excelle dans la création d'un univers unique. Le personnage principal, le dernier homme, n'a rien d'extraordinaire, il est plutôt ordinaire par rapport aux membres d'élite de cette société futuriste. Il est le témoin privilégié de la décadence du monde et de l'arrogance des hommes. Il n'est pas un génie, mais il a préservé son humanité. Il erre et survit dans un monde où seuls les organismes génétiquement modifiés, dans toute leur monstruosité, semblent s'adapter. L'homme n'y a plus sa place.
Alors oui ce livre est bien barré, pas toujours facile à comprendre et à suivre, mais on se régale. C'est à la fois effrayant de réalisme sur l'analyse de la société en général, mais aussi débordant de créativité et d'originalité sur le côté dystopique. J'ai foncé sur le second tome illico !
C'est le quatrième livre de Margaret Atwood que je lis et je remarque quelque chose de commun entre chaque lecture: la chronologie linéaire, c'est pas trop son truc. Avec elle, c'est présent, passé, présent, passé, etc., et il n'y a pas de marqueur de séparations entre les époques.
J'ai trouvé cette dystopie très réaliste, on retrouve plusieurs de ses thèmes dans l'actualité, certaines choses qui étaient de la science-fiction commencent à devenir réelle. C'est vraiment fascinant. J'ai plus été intéressé par l'univers et son fonctionnement que par les personnages.
Ce livre est d’une richesse de réflexion incroyable. Un future construit jusqu’à la pointe des orteils. Des personnages qui non pas but d'être attachant mais qui sont là pour nous montrer en nous même ou se trouve notre seuil de tolérance. De manière générale, dans les romans de cette grande dame, ne se trouve aucune ligne de morale ou de conduite, de bien ou de mal. C’est à nous lecteur de définir ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. Ils nous apprennent à nous écouter et à réfléchir par nous même ainsi qu’à chercher des contre arguments quand il le faut.
J’ai un coup de cœur pour le personnage de Oryx qui est pour moi la personnification de la survie dans une société qui à détruit sa disposition à être une personne révoltée et ayant des droits inhérente à sa qualité de personne.
Un roman essentiel qui est cependant long à lire et à comprendre tout ce qui nous est proposé. Mais en prenant son temps on y arrive. (J’ai mis deux bon mois à le finir puisque je relisais les passages que je n’avais pas compris.)
Ce roman est loin d’être mon préféré de Margaret Atwood. J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l’histoire qui comporte certaines longueurs, en particulier au début. Cependant, le message derrière l’histoire est important, comme toujours avec l’auteure.
Fiction mais qui semble tellement réelle au regard de l'actualité actuelle ! Flippant en fait car ça pourrait tout à fait devenir une réalité.Dans un monde post apocalyptique, Snowman essaie de survivre en compagnie des Crakers, humains génétiquement créés.
Le récit est partagé entre le présent de Snowman et son passé en compagnie de son meilleur ami Crake et de la femme qu'il aime, Oryx.
Il s'agit d'un roman de SF (ou anticipation): une dystopie. Critique des dérives du monde moderne (réseau internet et pornographie, manipulations génétiques, ghettos, pollutions, grosses sociétés, etc.)
Je l'ai trouvé particulièrement pessimiste et surtout qu'il manquait d'émotions et de sentiments, l'auteure passe trop de temps à décrire les méfaits du monde moderne plutôt qu'à raconter une histoire.
Résumé
Renouant avec la tradition des Huxley, Orwell, Bradbury et de sa Servante écarlate, Margaret Atwood nous plonge dans un univers à la fois familier et terrifiant. Un monde dévasté à la suite d'une catastrophe écologique sans précédent, où se combinent des conditions climatiques aberrantes, des manipulations génétiques délirantes et un virus foudroyant prompt à détruire l'ensemble de l'humanité. D'ailleurs, c'est presque fait : d'êtres humains, au début du Dernier Homme, il ne reste que Snowman, lequel est confronté à d'étranges créatures génétiquement modifiées - les Crakers, une nouvelle race d'" humains " programmés pour n'être sujets ni à la violence, ni au désir sexuel, ni au fanatisme religieux -, et à des animaux hybrides qui s'appellent désormais porcons, louchiens ou rasconses... Ce monde visionnaire, c'est presque le nôtre... Pamphlet politique, conte prophétique : avec son humour noir et son intelligence acérée, un souffle romanesque inouï et une générosité contagieuse, le " meilleur des mondes " glorieusement inventif de Margaret Atwood nous tend un miroir saisissant de vérité.
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