le dernier jour de juillet
Auteur
- Claude De Leusse (Écrivain)
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Classement en biblio - 7 lecteurs
extrait
Tu sais, Zouk, j'ai encore plein de choses à te raconter, à te dire. Mais on ne nous laisse pas le temps.
Le temps ?
Mais n'as-tu pas toujours su qu'il n'y a que l'amour qui compte?
Afficher en entierCommentaires récents
Cela fait quelques années que j'ai lu ce livre, mais je ne pourrais jamais oublier les émotions qu'il dégageait. Anne,15ans seulement,elle avait à peine vécu, elle souhaitait profiter de sa vie comme tout les jeune de son âge mais sa maladie lui empêcher. Je me suis mis à sa place. Et j'aimerai nous demander si c'était vous à la place d'Anne, qu'allez-vous faire de vos derniers moment ??
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J'ai trouvé ce livre "voyageur" par hasard, je ne m'attendais pas du tout à ce genre d'histoire. Une histoire bouleversante, parce qu'une histoire vraie, racontée par Claude De Leusse qui n'est pas écrivain, mais une maman, qui nous raconte la vie de sa fille Anne, atteinte d'une maladie rare, et décédée à l'âge de 15 ans.
Que faire quand son enfant est atteint d'une maladie incurable ? Doit-on continuer les traitements et garder espoir constamment, même si l'enfant doit souffrir ? Ou faut-il tout abandonner et vivre pleinement le temps qu'il nous reste ?
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Belle histoire d'amour entre une mère et sa fille. Il y a bien longtemps que je l'ai lu et je ne peux pas en dire plus sur mes impressions... Me souviens-plus !!!! à relire donc !!! ou à lire vos commentaires... Merci d'avance.
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Editeurs
Résumé
Depuis que la maladie avait commencé, depuis plus de 13 ans, nous avions pris l'habitude de vivre entre les rémissions et les rechutes, entre l'espoir et le doute. Nous nous aimions follement. La mort est venue comme une monstrueuse supercherie, interrompre tout, tout ce qui commençait à peine. C'est arrivé la dernière nuit de juillet, discrètement, dans un Paris désert. Anne venait d'avoir 15 ans.
C'est Claude de Leusse qui parle. Elle n'est pas écrivain. Mais bouleversée par la mort de sa fille, elle trouve au fond de son désespoir des accents déchirants, pour raconter, pour faire revivre, les années heureuses.
La beauté, le courage tranquille de cette petite fille grave et réservée, "ce dialogue amoureux prolongé au-delà de la mort", nous bouleversent au-delà de toute expression.
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