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Liste des extraits

Le chagrin doit être caché. L'homme qui le premier a chanté que la destinée est inexorable a dit aussi que nous devons garder enchaînées nos pensées les plus intimes.

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Wyn cal gedreas. Cela provient d'un autre poème que j'entends parfois chanter en ma demeure. C'est un triste poème et il est donc vrai.

Wyrd bið ful årad, dit-il. La destinée est inexorable. Et wyn eal gedreas. Toute joie est morte.

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Lames vives s'élançaient, lames de lances s'enfonçaient

Tandis qu'Ethelred, Seigneur des Massacres, massacrait par milliers

Gonflant de sang la rivière abreuvée par l'épée

Et Aldhelm le noble guerrier suivait son seigneur

Dans la bataille, et combattait et abattait l'ennemi

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Æthelflæd était devenue une belle femme, du moins quand sa beauté n'était pas voilée par le malheur. Elle avait les yeux clairs et la peau pâle, avec des lèvres pleines et des cheveux d'or. Elle était intelligente, comme son père, et bien plus que son époux, mais elle l'avait épousé pour une seule et unique raison, lier les terres de Mercie au Wessex d'Alfred, et, à cet égard plus qu'à nul autre, le mariage avait été une réussite.

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-Les hommes sont cruels, et ce sont les dieux qui nous ont faits. Certains sont bienveillants, d'autres sont cruels. Il en va de même pour nous.

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Le dieu des chrétiens n'était pas le nôtre, et pourtant nous étions contraints de vivre parmi un peuple qui le craignait et nous condamnait parce que nous adorions un autre dieu.

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On dit aux enfants que l’on ne peut réussir qu’en étant dur à la tâche et frugal, mais c’est aussi absurde que prétendre qu’un blaireau, un renard et un loup peuvent bâtir une église. Qui veut accéder à la richesse doit devenir évêque chrétien ou abbé, et recevoir du ciel la permission de mentir, tricher et voler pour vivre indûment dans l’opulence.

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Pour l’heure, en ce lointain matin où j’étais encore jeune, nous souquions vers l’est sur cette mer d’argent et de rose. La tête de loup était ornée d’une couronne d’épais rameaux de chêne pour montrer que nous ne voulions nul mal à nos ennemis, même si mes hommes étaient encore vêtus de maille et avaient leurs armes et boucliers auprès d’eux.

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— Jarl Haesten, répondis-je, lui donnant le titre dont il aimait user, même si, pour moi, il n’était rien de plus qu’un pirate.

Je le connaissais depuis des années. Je lui avais sauvé la vie un jour, ce qui avait été une erreur, et depuis, je n’avais cessé d’essayer de le tuer, mais il avait toujours réussi à en réchapper. Il m’avait glissé entre les doigts cinq ans plus tôt, et depuis, j’avais ouï dire qu’il menait des expéditions fort loin en Francie. Il y avait amassé de l’argent, avait fait un autre fils à son épouse et avait attiré des partisans. À présent, il avait quatre-vingts navires avec lui en Wessex.

— J’espérais que ce serait toi qu’Alfred enverrait, dit-il en tendant la main.

— Si Alfred ne m’avait ordonné de venir en paix, répondis-je en la prenant, je t’aurais déjà coupé la tête.

— Tu aboies beaucoup, s’amusa-t-il. Mais plus fort aboie le cabot, plus faible est sa morsure.

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Quand je me rappelle ces années, je me vois comme jeune, alors que je devais avoir trente-cinq ou trente-six ans cette année-là. La plupart des hommes ne vivent pas si longtemps, mais j’avais de la chance. Je n’avais perdu ni mon agilité ni ma force, une ancienne blessure me faisait un peu boiter, mais je possédais aussi le plus précieux des attributs d’un guerrier : la réputation.

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