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Pris par le temps qui s'enfuit, prisonnier d'un corps dont la seule vue le met au supplice, Wyl Thirsk voit se réaliser tous ses cauchemars - jusqu'au mariage de la femme qu'il adore, la reine Valentyna de Briavel, avec celui qu'il hait entre tous, l'ignoble roi Lelimus. Pour se délivrer du sortilège du Dernier souffle, Wyl doit devenir roi de Morgravia. Malheureusement, le chaos engendré par le Don de la sorcière Myrren plonge Wyl au cœur d'un tourbillon de combats sans fin auquel il n'est pas sûr de survivre. Mais le veut-il seulement ? Car peur sauver Valentyna, il est prêt a tous les sacrifices - même celui de sa vie.
Liryk avait accompagné en personne la femme qui disait s’appeler Ylena Thirsk dans un petit salon de réception. Les cheveux en désordre et peu encline à bavarder, elle avait insisté pour voir la reine, qui selon elle l’attendait. Incapable de dire s’il avait affaire à la véritable Ylena Thirsk ou à une usurpatrice, Liryk avait pris la précaution de la soumettre à une fouille méticuleuse. Elle s’était laissé faire sans rien dire et, au bout du compte, elle n’avait aucune arme, rien d’autre que les vêtements de cavalière qu’elle portait. En réalité, tout cela était pour le moins déconcertant, mais tous les Morgravians qui s’étaient présentés au château dernièrement n’avaient-ils pas les plus étranges histoires à raconter ? Pourquoi n’en irait-il pas de même avec elle ? se demanda Liryk avec un soupir fataliste.
Par ailleurs, la jeune femme ne ressemblait absolument en rien aux portraits qu’on donnait des Thirsk. Outre ses cheveux blonds – premier point distinctif –, c’était une véritable beauté. Or, les mâles de la maison Thirsk n’avaient jamais été particulièrement réputés pour l’harmonie de leurs traits. Liryk avait noté son port altier et fier – marque indiscutable de sa noblesse –, et le regard plein de défi qu’elle lui avait lancé lorsqu’il avait tenté de l’interroger au poste de garde montrait qu’elle n’était pas le moins du monde intimidée par sa présence ou celle de ses hommes. Pour finir, il avait accepté d’envoyer un page prévenir la reine.
— Sa Majesté décidera si elle accepte de vous recevoir, avait-il dit.
— Soyez assuré qu’elle me recevra, avait-elle répondu, avant de suivre le soldat jusqu’à l’antichambre, sans rien ajouter.
Le commandant se demandait ce que cette visite allait impliquer pour l’avenir de la reine et du royaume. Il percevait nettement qu’elle était lourde de menaces pour les projets de mariage, qui paraissaient déjà si précaires dans l’esprit du souverain morgravian. Les nobles avaient exigé de voir Ylena Thirsk, et c’était à croire que Shar exauçait le plus cher désir de Valentyna.
— Dame Ylena, mes hommes m’ont dit vous avoir trouvée dans les bois qui bordent le palais ?
— C’est exact, répondit Wyl. J’étais perdue, commandant Liryk, et je leur sais gré de m’avoir guidée. J’ai déjà expliqué que mon cheval boitait lorsque je suis arrivée à Beeching, mentit-il de nouveau.
Il était toujours sous le choc de son arrivée magique en Briavel. Une chose était sûre, Rasmus disait vrai en affirmant qu’ils allaient l’« envoyer » à destination.
— Je l’ai laissé là-bas, poursuivit Wyl, en regrettant instantanément cette erreur.
Rien ne serait plus simple maintenant pour Liryk que d’aller vérifier sur place.
— Et vous avez marché tout du long depuis Beeching ? Ne pouviez-vous pas acheter une autre monture ?
— Pour dire la vérité, je n’avais pas suffisamment d’argent sur moi. Et puis, la route n’est pas si longue après tout.
— Toutes les femmes nobles que je connais trouveraient qu’une lieue représente une sacrée distance.
— Vous oubliez que je suis une Thirsk, contra Wyl. Chez nous, même les femmes sont fortes et résistantes, ajouta-t-il en s’efforçant autant que possible de rester aimable.
Avant que Liryk puisse répondre quoi que ce soit, les portes du salon s’ouvrirent et la reine Valentyna fit irruption dans la pièce. Elle avait couru à travers tout le château et son teint avait rosi.
Wyl avait attendu cet instant le cœur battant à tout rompre – ce qui expliquait sans doute le ton un peu cassant qu’il avait employé avec Liryk. À l’instant où il la vit, il le sentit s’arrêter. Il salua d’une profonde inclinaison du buste, heureux que sa tenue de campagne lui épargne une révérence plus féminine.
— Majesté, murmura-t-il, d’une voix qui s’étranglait dans sa gorge.
Le doux parfum de Valentyna parvenait jusqu’à lui. Tout ce dont il rêvait en cette seconde, c’était de la prendre dans ses bras, de l’embrasser. Tout cela lui était interdit.
Ce dernier tome termine l'histoire incroyable de Wyl.
Du début jusqu'à la fin nous sommes tenus en haleine, à espérer que les personnages de l'histoire s'en sortent, à découvrir de nouveaux secrets, et à suivre la fin du voyage hors du commun de notre cher général Thirsk.
J'ai vraiment adoré cette fin. Elle se termine bien, et heureusement pour les personnages, après tout ce qu'ils ont vécu.
Dans mon cas, je n'ai pas réussi à décrocher du livre, mais je me suis sentie toute drôle lorsqu'il s'est terminé. Je ne regrette pas d'avoir lu cette superbe trilogie que je conseille fortement à tout le monde.
Une fois commencé, on ne peut plus le lâcher, comment Wyl va-t-il pouvoir s'en sortir? La fin est parfaite, et heureuesment, après tout ce que notre pauvre héros a enduré. Belle histoire!
Bon, je dois avouer que je ne voyais pas la fin comme ça, il y a un twist qu’on ne voit pas venir. Mais honnêtement, comment aurait-on pu ? Il y a trop de Deus ex machina grâce à la magie et à Fynch que c’est assez imprévisible… puisqu’hasardeux. Par contre, ce qui ne l’est pas, est cette fin en happy ending, évidemment que tout est bien qui finit bien, j’aime bien normalement, mais là, beuuuh, non. J’ai vraiment eu dû mal avec le traitement des personnages féminins : inintéressants au possible. Mais alors la façon dont Wyl cherchait à tout prix à se débarrasser de sa sœur (bien que compréhensible), franchement horripilant. Je ne recommande pas, c’est décevant. C’est lent parce que c’est répétitif, ils se répètent mille fois la même chose, mais c’est rapide, parce que les évènements se bousculent, entre deux papotages à rallonge, où les mêmes choses sont dites et redites.
Moyen. En soit pas mal d'éléments introduits au dernier moment pour finir l'intrigue - la magie qui fait souffrir, le Pont des Âmes... Des téléportations de personnages à outrance...
Du côté de l'écriture, assez fluide, quoique parfois perdant dans les changements de points de vue.
Ce dernier tome conclue la trilogie de manière plutôt satisfaisante même si je l’ai trouvé moins addictif que le second tome : la faute aux longueurs qui émaillent le récit, surtout vers le milieu. La diversité de points de vue n’est cette fois pas suffisante pour rythmer l’histoire puisque certains ne m’ont pas paru très utiles – je pense surtout à Elspyth qui finalement… ne sert à rien ? Heureusement les dernières centaines de pages sont là pour nous maintenir en haleine, du fait des nombreux rebondissements qui s’enchaînent jusqu’à nous conduire à une fin assez surprenante au vu de tous les drames qui l’ont précédée, même si elle n’en reste pas moins appréciable.
Ce tome final ne déçoit pas du tout (même si c'est peut être celui que j'ai le moins apprécié il en reste très bon). Je dois avouer que j'ai moins accroché à la trame scénaristique de Fynch car je trouvais qu'elle dénotait un peu trop avec le reste (ceux qui ont lu verront de quoi je parle). Mais même elle reste plaisante à lire.
Je suis très content de m'être enfin lancé dans la lecture de cette série qui, au final, ne m'aura même pas durée un moins tant je l'aurais dévorée.
J’ai eu un petit peu de mal à me remettre dans ce troisième tome, pour deux raisons. La première, le récit débute avec Cailech, qui est loin d’être mon personnage préféré. La seconde : on suit beaucoup de points de vue différents, et donc on voit beaucoup moins Wyl, mon grand favori, et beaucoup plus Fynch, Cailech et Valentyna, dont les points de vue sont certes intéressants, mais pour autant ça manquait de Wyl.
De plus, l’absence de marquage dans le texte, lors des changements de points de vue, devient très désagréable dans ce tome, car on change très souvent de point de vue dans un même chapitre, en particulier pendant les moments clés : on voit les points de vue alterner, tout le monde se demandant ce qu’il va se passer, ce qui est censé donner un certain rythme d’accéléré, qui serait réussi si justement il y avait des marquages pour indiquer qu’on change de personnage. Là, je lisais un paragraphe sur Wyl, puis paf!, je lisais un autre paragraphe avec des sentiments tout autres, et oui car deux lignes plus tard on réalise qu’on suit désormais Aremys, et paf! revoilà Wyl, et paf! cette fois c’est Celimus… Donc ça n’a rien à avoir avec le texte tel qu’écrit par l’auteur, mais avec le marquage cruellement inexistant et pourtant si utile qui indique que tu ne suis pas le même personnage et que non, tu n’est plus dans les Razors mais en Morgravia ou en Briavel…
Je n’ai pas très bien compris pourquoi la magie faisait tant souffrir Fynch et Elysius : ce dernier appartenait à une lignée de magiciens et ses prédécesseurs ne semblaient pas souffrir de cette façon, mais bon. Tout cela mis à part, j’ai pris plaisir à découvrir la conclusion de cette intrigue unique, à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Celimus méritait une mort bien plus atroce, mais bon il est mort, franchement c’est déjà une bénédiction et un service rendu tant aux personnages qu’au lecteur tellement ce fou était détestable. Pire méchant que j’ai vu à ce jour, et de loin.
Je me demande tout de même comment ont finis certains personnages, blessés, que j’appréciais beaucoup, et dont le sort reste incertain.
Ultime regret : la si belle épée bleue de Romen Koreldy n’aura finalement servi à rien…
Je suis contente d'être parvenue au bout de cette série mais la fin était bien longue. Ce troisième tome est comme les deux autres, c'est-à-dire un enchaînement d'événements par toujours très logiques et souvent un peu loufoques (de mon point de vue). Néanmoins, il faut bien avouer que j'ai été surprise plusieurs fois et notamment par la fin qui n'était pas tout à fait celle que j'attendais. Au niveau des personnages, je les trouve toujours insipides et sans intérêt. Wyl m'a agacée pendant tout le récit : il ne fait rien, se laisse porter par les événements et est défaitiste. En fait, je pense que le vrai héros de l'histoire c'est Fynch. J'ai également trouvé que les explications autour du dernier souffle n'étaient qu'un prétexte scénaristique pour rendre l'histoire plus compliquée ce qui est assez artificiel. La fin est un enchaînement d'happy ends et même si je n'aime pas quand ça finit mal, j'ai trouvé ça un peu grossier et rapide, surtout après la violence des tomes précédents. Le style de l'auteur reste agréable à lire et elle a beaucoup d'imagination mais l'histoire ne fait pas tout (même si elle fait beaucoup) et les personnages sont trop plats pour faire ressortir la richesse du récit.
Bref, je suis contente d'avoir fini cette série mais elle ne restera pas dans mes annales.
Une lecture qui emporte! On voit les pages restantes s'amenuiser sous les doigts en se demandant comment l'histoire va être bouclée jusqu'au dernier instant. Cela résulte sur un dénouement satisfaisant à la vue de toutes les épreuves affrontées par les personnages! Bonne lecture à vous
Résumé
Pris par le temps qui s'enfuit, prisonnier d'un corps dont la seule vue le met au supplice, Wyl Thirsk voit se réaliser tous ses cauchemars - jusqu'au mariage de la femme qu'il adore, la reine Valentyna de Briavel, avec celui qu'il hait entre tous, l'ignoble roi Lelimus. Pour se délivrer du sortilège du Dernier souffle, Wyl doit devenir roi de Morgravia. Malheureusement, le chaos engendré par le Don de la sorcière Myrren plonge Wyl au cœur d'un tourbillon de combats sans fin auquel il n'est pas sûr de survivre. Mais le veut-il seulement ? Car peur sauver Valentyna, il est prêt a tous les sacrifices - même celui de sa vie.
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