Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 654
Membres
1 013 292

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par TommyRollrbox 2018-10-11T05:19:39+02:00

Un jour, ma parole, je lui ferai la peau ! À qui ? Au type d'à côté, Richard Barclay, journaliste de rock et adolescent attardé, voilà à qui. Je venais de franchir tant bien que mal le seuil de mon pavillon, accablée de fatigue, n'aspirant à rien de plus affriolant que quelques heures de sommeil, quand j'ai découvert son message. Quand je dis découvert, j'emploie le terme au sens large. J'aurais eu du mal à ne pas le trouver. Richard l'avait scotché sur la vitre de ma porte d'entrée, à l'intérieur, de façon que ce soit la première chose sur laquelle je pose les yeux, une fois sous l'auvent. Le message me lorgnait, rectangle blême, rédigé au marqueur Veleda en larges majuscules au dos d'un bulletin de maison de disques, on aurait dit la lettre au Père Noël d'un enfant. « N'oublie pas le concert de Jett, ce soir, et la fête ensuite. Ta présence est capitale. À ce soir 8 heures ! » Capitale était souligné trois fois, mais ce fut à la vue de ce N'oublie pas que mes doigts se crispèrent, parés pour la strangulation.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Audrey81 2014-09-19T20:22:08+02:00

On peut pleurer sous la douche, personne n'y verra rien. C'est là, d'après moi, l'un des grands aphorismes du vingtième siècle, au même titre que « L'Amour, c'est ne jamais avoir à s'excuser ».

Afficher en entier
Extrait ajouté par Audrey81 2014-09-19T20:21:44+02:00

L'hygiène corporelle n'est pas chez moi une idée fixe, soit dit en passant, mais j'ai toujours eu le sentiment que les douches servent à se décrasser tandis que les bains sont réservés à des plaisirs sérieux tels que lire les critiques de jeux informatiques des revues spécialisées et rêvasser à l'ordinateur de mes fantasmes, celui que je m'offrirai quand Mortensen & Brannigan aura décroché la timbale.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Audrey81 2014-09-19T20:21:16+02:00

Les Davinas sont les nanas canons, les descendantes naturelles des groupies. Blondes, tout en seins, obsédées par les fringues, elles seraient dangereuses si elles avaient une cervelle.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Audrey81 2014-09-19T20:20:57+02:00

Peu importe ce qu'on commande, tout semble avoir à peu près le même goût. Il n'y a que la couleur qui change.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Audrey81 2014-09-19T20:20:39+02:00

Après tout, si on ne peut pas se fier à la police, à qui peut-on faire confiance ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par Audrey81 2014-09-19T20:20:24+02:00

— Et la politique des portes ouvertes ?, demandai-je.

— C'est destiné à empêcher les gens d'entrer, pas de sortir, fit remarquer Jude avec un sourire désabusé.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Audrey81 2014-09-19T20:20:08+02:00

Nous pratiquons la politique des portes ouvertes.C'est nécessaire. Dans l'état actuel des choses, nous refusons plus de monde que nous n'en soignons. Mais chacun est libre de s'en aller à tout moment, si bien que quand quelqu'un s'en sort, il sait qu'il y est arrivé de lui-même, et pas grâce à une cure imposée. Nous croyons que cela diminue les risques de rechute des toxicomanes.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Audrey81 2014-09-19T20:19:51+02:00

Je sais ce qui arrive, dans les jeux électroniques, si on passe outre ce genre d'avertissements, mais je me dis que je n'avais que de très vagues chances de me faire dégommer par un androïde, et ouvris. C'est là qu'on se rend compte à quel point on peut se tromper.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Audrey81 2014-09-19T20:19:29+02:00

Quand les gens apprennent quel métier j'exerce, ils demandent toujours si c'est dangereux. Et en règle générale, ils ont l'air déçu quand je leur avoue que le pire qu'il faille supporter, c'est le manque de sommeil. Quand on m'empêche de dormir, je deviens vraiment mauvaise.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode