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J'ai lu "Le dernier temps" de Jean K. Saintfort. Ce 24 décembre 2020, j'ai eu la chance de voir apparaitre un ONI (OVNI sans le V) sur ma liseuse ! le comble pour un livre de S.F...
Certains croient (surtout aujourd'hui) au père Noël, d'autres à l'intégrisme, le fascisme, le communisme et toutes les jolies théories finissant par "isme"… D'autres ont foi dans la non-violence !
Par chance, nous avons en la personne de l'auteur un mélange de conteur-philoso-poète qui nous fait entrevoir que même dans un lointain futur l'opposition matérialisme/humanisme se poursuivra de la même manière.
Ceci, c'est le cadre large fort bien décrit d'un monde futuriste qui laisse filtrer un petit espoir d'une humanité meilleure au travers de l'Amour qui rapproche les êtres malgré leurs différences. En conclusion : Une satire réussie de notre planète et des violences inouïes auxquelles se livrent encore les pauvres "petits" humains qui la peuplent. C'est parfaitement dit, c'est bien écrit, c'est à lire !
Afficher en entierUn roman hors norme à découvrir impérativement. Je n’ai jamais lu un tel roman. A la fois roman, conte, poésie… c’est tout cela à la fois. Je ne sais même pas à quoi le raccrocher. C’est déjà une histoire complétement différente. De l’anticipation, oui, qui prend sa source dans un peuple non-violent qui, à force d’exercices de méditation et autres, est en train d’acquérir de nouveaux pouvoirs et d’acquérir de nouveaux seuls de conscience. Ce peuple se heurte bien évidemment à d’autres d’intérêts.
C’est aussi un roman engagé contre la suprématie des intérêts économiques. Mais qui pose les questions d’une manière différente, nous obligeant à réfléchir sans même nous en rendre compte.
L’écriture est d’une délicatesse, d’une poésie et d’une fluidité tout à fait étonnantes. On touche à des sujets inattendus : la recherche anthropologique, la musique des sphères, l’intuition, la respiration…
C’est aussi une romance d’une tendresse, d’une tolérance et d’une pureté que l’on croise rarement. La romance entre Phéelle et Joar est un petit bijou de sensibilité.
Que dire : je suis encore sous le choc. L’auteur est à découvrir. À LIRE ABSOLUMENT.
Afficher en entierCoucou à tous, je viens de terminer Le dernier temps de Jean K. Saintfort et je vous livre mon ressenti.
Ce roman est très différent du premier que j’avais lu mais ce genre littéraire est fait pour l’auteur.
Joar, anthropologue, est envoyé par la Confédération pour étudier une peuplade : Les Errants. Ce peuple est non violent et a développé des capacités que les autres civilisations n’ont pas. Quand les errants retournent sur leur planète après une longue absence, celle-ci est occupée. Ils doivent apprendre à cohabiter tous ensemble car une matière rare est exploitée sur la base. Cela ne leur pose pas de problème, ce qui n’est pas le cas du gouverneur.
Nous suivons Joar dans sa découverte de ce peuple. Grâce à Phéelle, une jeune errante, il va apprendre à développer de nouvelles capacités extrasensorielles, déceler leurs espérances et comprendre pourquoi ce peuple est devenu non violent.
La plume de l’auteur est addictive et les pages défilent rapidement. C’est poétique, ça ressemble à un conte, il y a une morale. Et l’auteur laisse planer l’espoir que l’homme n’est pas perdu et qu’on peut encore évoluer vers du mieux.
Une belle histoire que je vous recommande.
Afficher en entierScience-fiction philosophique
Ayant beaucoup aimé le précédent roman de l’auteur (Les Secrets de la Maison de France), je me suis plongée dans la lecture de ce second roman, d’un genre différent puisqu’il s’agit d’une histoire qui se passe dans le futur. De la science-fiction qui fait pourtant écho à notre présent.
Jean K. Saintfort nous amène à nous interroger sur l’avenir, sur le devenir des hommes, sur les choix de vie, sur les remises en questions toujours possibles, sur l’ouverture d’esprit, sur la réponse à la violence par la non-violence, sur notre époque bien sûr.
Beaucoup de douceur et de noirceur s’opposent dans ce roman avec au milieu, quelques pions qui doutent.
Le compte à rebours qui conduit au « dernier temps », titre du roman, est magnifiquement orchestré, tout comme Joar ou les Errants, on veut savoir quel est donc ce « Dernier temps ». A vous de le découvrir.
Afficher en entierJ’ai adoré !
L’intrigue est complexe, mais parfaitement maîtrisée. Le style est impeccable et très agréable. Certains passages sont dans la veine de « Fondation » d’Asimov. J’attends avec impatience une éventuelle suite, voire un préquel.
À dévorer !
Afficher en entierComme j’ai aimé «Le dernier temps» de Jean K. Sainfort !
Comme je suis contente de publier ma première chronique de l’année sur cet excellent livre !
À la fois roman d’anticipation, conte philosophique, étude de sociétés et romance, j’ai trouvé dans Le Dernier Temps toutes les caractéristiques d’un très, très bon récit.
Vraiment.
Anticipation, car le roman s'appuie sur l’état actuel d’un mode de fonctionnement de notre société et en imagine les conséquences dans un futur plus ou moins proche.
Je cite l’auteur : « Le choix d’un monde futuriste est un prétexte. Les droits des peuples à disposer d’eux-mêmes, à la différence, à habiter un monde où les intérêts économiques ne sont pas rois, sont des combats d’aujourd’hui. »
Conte philosophique où nous découvrons le peuple des Errants et sa culture, son choix de la non-violence comme un principe immuable, ses expériences extra-sensorielles pour s’approcher au plus près de chaque être vivant, sa profonde croyance en sa responsabilité de transmission de ces valeurs.
L’auteur oppose très judicieusement leur poésie et leur douceur au cynisme du matérialisme et provoque de nombreuses émotions, réflexions et identifications.
Études de sociétés où l’auteur se penche sur le pouvoir de la non-violence et la capacité des hommes à faire bouger les choses. La culture acquise par Jean K. Saintfort lors de sa formation en anthropologie donne au récit une grande intensité.
Romance à travers l’histoire d’amour de Joar, l’anthropologue , et de Phéelle, sa guide dans la culture des Errants.
L’écriture et le style de Jean K. Sainfort m’ont régalée.
La couverture réalisée par le grapheur artiste peintre JJ Vitiello est magnifique !
Bien que nous soyons transportés plusieurs centaines d’années après notre époque, nous retrouvons dans ce récit beaucoup des problématiques de notre temps, mais aussi et surtout tout l’amour et les possibles que porte en elle notre humanité.
Voici la force de ce roman qui n’est certainement pas réservé aux seuls amateurs d’anticipation.
Un livre qui a tout d’un grand.
Afficher en entierLa lecture, il y a cette étincelle d’espoir : vivre une aventure, hors du commun, vivifiante ou terrifiante.
Victor Hugo disait "L'homme a l'amour pour aile et pour joug le besoin." Ici Jean K. Saintfort a « l’amour d’un peuple et pour joug l’espoir ».
LE DERNIER TEMPS. Au-delà du récit, c’est un message de paix, un appel au respect et à la connaissance de l’autre et à ses différences. Mais tous ne partagent pas ces idées : intéressés, ils en veulent toujours plus, quel qu’en soit le prix par avidité et cupidité. Le prix ici est terrifiant, quand on sait qu’il a déjà réellement été payé, ailleurs.
On commence en douceur, sur la vie sociale et familiale des Errants. Les mots sont doux pour ce peuple si vivant de clairvoyance et de bonté. Et pourtant…
Puis petit à petit s’immiscent, le mensonge, des situations cachées, la trahison. Je ne peux en dire plus, car malgré que ce soit un récit fictif, on sait cette situation vivante. Elle existe encore, sous une forme différente, le fond reste le même. Le compte à rebours est lancé, et ne s’arrêtera pas.
On lit. On attend. On grince des dents. On se rebelle. J’ai eu envie de lire tout d’un coup… Mais ce serait dommage. Je fais durer le plaisir.
Jean K. Saintfort fait partie de ces auteurs qui écrivent. Normal pour un auteur me direz-vous, mais lorsque je dis « écrire » je ne veux pas dire scribouiller. Il ne suffit pas d’avoir un stylo ou un clavier pour être Auteur (On s’en rend compte dans le paysage des écrits). Il décrit les scènes sans en faire « des tonnes. Il a comme ces auteurs que j’ai apprécié la capacité à couler les phrases avec des mots ciselés comme des diamants, terriblement efficaces et touchants.
C’est tout cela qui m’a conforté dans l’idée de prêter mes personnages d’une peinture humaine pour la couverture du roman LE DERNIER TEMPS. Un appel à l’espoir.
Afficher en entierComme à son habitude, Jean K. Sainfort signe un livre fort bien écrit.
Après une entrée en matière avec quelques moments de flottement pour m'y retrouver dans les aller-retours spatio-temporels, je me suis bien vite attachée aux tribulations de cet anthropologue, Joar, et de ces humains, les Errants et les autres. Tous les autres.
Joar, envoyé en simple mission d'étude, va se retrouver bien vite confronté à de nouvelles situations et de nouveaux sentiments. Mais je ne vous en dis pas plus...
Afficher en entierJoar, anthropologue, est envoyé par la Confédération pour étudier une peuplade : Les Errants, des non violents. Ce que Joar ignore, c'est que la terre qu'occupe les Errants fait l'objet d'une grande convoitise en raison d'une matière première rare. Ce que n'imagine pas non plus le héros, c'est qu'il va rencontrer Phéelle, une jeune errante, qui va bouleverser sa vie.
Nous entrons dans la peau de l'anthropologue et étudions à travers ses yeux, sa pensée, socialement, économiquement, politiquement « les Errants » : cette peuplade est particulière par son refus à avoir recours à la violence, même pour défendre sa vie et par sa faculté à lire dans les pensées de l'autre.
C'est au milieu du livre que tout bascule et que, par une subtile mise en bouche de l'auteur, nous sommes … Mmmh , je préfère ne pas dévoiler le mystère ... Dans ces allées et venues entre notre identification au personnage principal et nous même, et les émotions qui nous prennent … nous en arrivons au terme de ce livre à … nous interroger. Et si … ?
C'est un grand roman, écrit dans un style impeccable , - qui, à l'époque que nous traversons,- doit être lu. Avec une GRANDE attention.
Je cite, juste pour le plaisir, cette citation de Gandhi sur la non violence parce qu'elle a sa place : « Si la non-violence est la loi de l'humanité, l'avenir appartient aux femmes. Qui peut faire appel au cœur des hommes avec plus d'efficacité que la femme ? » .
Afficher en entierLa lecture, il y a cette étincelle d'espoir : vivre une aventure, hors du commun, vivifiante ou terrifiante.
Victor Hugo disait "L'homme a l'amour pour aile et pour joug le besoin." Ici Jean K. Saintfort a « l'amour d'un peuple et pour joug l'espoir ».
LE DERNIER TEMPS. Au-delà du récit, c'est un message de paix, un appel au respect et à la connaissance de l'autre et à ses différences. Mais tous ne partagent pas ces idées : intéressés, ils en veulent toujours plus, quel qu'en soit le prix par avidité et cupidité. le prix ici est terrifiant, quand on sait qu'il a déjà réellement été payé, ailleurs.
On commence en douceur, sur la vie sociale et familiale des Errants. Les mots sont doux pour ce peuple si vivant de clairvoyance et de bonté. Et pourtant…
Puis petit à petit s'immiscent, le mensonge, des situations cachées, la trahison. Je ne peux en dire plus, car malgré que ce soit un récit fictif, on sait cette situation vivante. Elle existe encore, sous une forme différente, le fond reste le même. le compte à rebours est lancé, et ne s'arrêtera pas.
On lit. On attend. On grince des dents. On se rebelle. J'ai eu envie de lire tout d'un coup… Mais ce serait dommage. Je fais durer le plaisir.
Jean K. Saintfort fait partie de ces auteurs qui écrivent. Normal pour un auteur me direz-vous, mais lorsque je dis « écrire » je ne veux pas dire scribouiller. Il ne suffit pas d'avoir un stylo ou un clavier pour être Auteur (On s'en rend compte dans le paysage des écrits). Il décrit les scènes sans en faire « des tonnes. Il a comme ces auteurs que j'ai apprécié la capacité à couler les phrases avec des mots ciselés comme des diamants, terriblement efficaces et touchants.
C'est tout cela qui m'a conforté dans l'idée de prêter mes personnages d'une peinture humaine pour la couverture du roman LE DERNIER TEMPS. Un appel à l'espoir
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