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Andrea, journaliste débutante fraîchement débarquée de province, est engagée comme assistante personnelle de la rédactrice en chef de Runway, un grand magazine de mode new-yorkais. Un job prestigieux que tout le monde lui envie… Sauf que le rêve se transforme vite en cauchemar… Andrea se retrouve propulsée du jour au lendemain dans un univers hostile, peuplé de créatures aux langues fourchues et aux silhouettes acérées. Une drôle de secte dont les dieux ont pour noms Prada, Armani ou Versace…
Miranda, sa patronne, tyrannique et narcissique, la traite comme bonne à tout faire, corvéable à merci et Andrea se retrouve chargée des « missions » les plus improbables : affréter un jet privé pour expédier le dernier Harry Potter aux enfants de Miranda qui vivent en Europe, localiser LA boutique dont Miranda a oublié le nom, mais où elle a repéré le meuble de ses rêves, faire en sorte que les repas de la diva soient toujours servis à l’exacte température… Alors que la poudre aux yeux se dissipe, Andrea commence à comprendre que « le job pour lequel des millions de filles seraient prêtes à mourir » pourrait bien la tuer, elle
La nuit, certains cauchemars continuaient à me hanter : l'un avait comporté un épisode particulièrement atroce, où mes parents se faisaient fusiller par la police parisienne de la mode pour avoir osé porter des shorts en ville, et Miranda s'était ensuite débrouillé pour m'adopter légalement.
Nous voilà plonger dans le monde impitoyable de la mode, des strass,et de Miranda Priestly. Quel plaisirs de se plonger dans cet univers, Lauren W. nous le décrit avec humour. Je le conseille vivement. Le film est génial, mais attendez d'avoir lu le livre, il le surpasse...
Qu'est-ce que j'ai adoré ce livre ! Et qu'est-ce que j'ai détesté Andréa ! C'est peut-être le diable en fin de compte. D'un côté, son personnage met en relief tout ce que subissent les personnes dans le monde de la mode vis-à-vis de cette obsession du corps parfait (des pantalons taille 36) et des salades (= le plat). D'un autre côté, elle rabaisse constamment ces personnes qui travaillent par passion, parce qu'elle considère que cette passion est inférieure. Tu m'étonnes qu'Emily ne l'aime pas, Andréa arrête de faire comprendre qu'elle est là par dépit, qu'elle aime pas ce qu'elle fait (voire qu'elle s'en fout) et qu'elle pourrait partir à n'importe quel moment. En plus, elle aurait pas pu plus foirer sa relation avec son petit copain et sa meilleure amie : elle a jamais agit pour les autres ou fait des efforts pour les aider. Okay ta vie est compliquée, mais tout le monde a eut au moins fois un boss horrible !
Bon, après c'est pas comme si Miranda respectait le code du travail et avait le moindre respect pour son personnel.
Au final, il n'y a pas de vrai "grand" méchant : tout le monde a (plus ou moins) fauté.
Un avis tout en nuances. L'histoire est bien écrite, agréable à lire. La plume de l'auteur dans sur le papier. Toutefois, l'histoire devient à la longue redondante : l'héroïne arrive au travail, se fait constamment agresser par une femme aigrie et acariâtre et rentre chez elle assommée de fatigue pour dormir quelques heures si elle n'est pas dérangée par quelques coup de téléphones indésirables.
Dans ce roman, on suit l'introduction de l'innocente dans le monde impitoyable de la presse de mode. En devenant l'assistante personnelle de la rédactrice en chef de Runaway, Andrea croit avoir accès au job de ses rêves, il en ira tout autrement.
Ce livre est drôle, aérien, de temps en temps cruel. Il se lit avec plaisir. Une chose est sure, cela ne donne pas envie de travailler dans une rédaction de mode et encore moins de côtoyer ce milieu fait d'apparence et d'apparats !
Ma déception fut grande, les personnages sont , hormis Andrea, très manichéens, Miranda est futile, les amis d'Andrea plus en retrait. J'espérais retrouver des scènes clés du film dans le roman, comme la tentative de renvoi de Miranda, l'entretien final dans la berline mais en vain. Miranda parait inutilement méchante alors que dans le film sa cruauté et son caractère ont un sens. Gentillet mais pas inoubliable
J'imagine que, comme beaucoup, j'ai découvert ce roman après avoir vu le film.
Ma préférence va au film, non pas que le roman soit mauvais mais je l'ai trouvé un peu brouillon dans sa chronologie et j'ai eut du mal à imaginer qu'Andrea n'y connaisse rien à la mode tant elle a vite intégrer les codes de l'industrie.
Résumé
Andrea, journaliste débutante fraîchement débarquée de province, est engagée comme assistante personnelle de la rédactrice en chef de Runway, un grand magazine de mode new-yorkais. Un job prestigieux que tout le monde lui envie… Sauf que le rêve se transforme vite en cauchemar… Andrea se retrouve propulsée du jour au lendemain dans un univers hostile, peuplé de créatures aux langues fourchues et aux silhouettes acérées. Une drôle de secte dont les dieux ont pour noms Prada, Armani ou Versace…
Miranda, sa patronne, tyrannique et narcissique, la traite comme bonne à tout faire, corvéable à merci et Andrea se retrouve chargée des « missions » les plus improbables : affréter un jet privé pour expédier le dernier Harry Potter aux enfants de Miranda qui vivent en Europe, localiser LA boutique dont Miranda a oublié le nom, mais où elle a repéré le meuble de ses rêves, faire en sorte que les repas de la diva soient toujours servis à l’exacte température… Alors que la poudre aux yeux se dissipe, Andrea commence à comprendre que « le job pour lequel des millions de filles seraient prêtes à mourir » pourrait bien la tuer, elle
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