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*Le Festin nu* (titre original : *Naked Lunch*) est un roman emblématique de **William S. Burroughs**, publié en 1959. Ce livre novateur et controversé est souvent considéré comme une œuvre phare de la littérature beat et de la contre-culture des années 1950.
L'intrigue suit **William Lee**, un écrivain et consommateur de drogue, qui navigue dans un monde chaotique et hallucinatoire, plein de rencontres étranges et de situations surréalistes. Le récit est non linéaire et composé de vignettes qui explorent des thèmes tels que la dépendance, le contrôle social, la sexualité et la corruption.
À travers une prose provocante et un style décousu, Burroughs dépeint un univers où la réalité se mélange avec des visions cauchemardesques, remettant en question les normes de la société. Le roman aborde des sujets tabous, ce qui lui a valu d'être censuré dans plusieurs pays, mais il est également célébré pour son audace stylistique et sa critique sociale.
*Le Festin nu* est une exploration brutale de la condition humaine, marquée par le désespoir et la recherche de liberté, faisant de Burroughs une voix incontournable de la littérature moderne.
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William S. Burroughs (1914-1997) est un auteur américain, connu pour son style expérimental et sa contribution à la littérature beat. Ses œuvres abordent souvent des thèmes de la drogue, de l'aliénation et de la sexualité.
Rhabille ta peau dans l'hôtel des Chancres à Louer où les fraudeuses allongent toute la comptée à la maison passe-vérole, c'est du même, rien de sain dans ces chtouilleuses pourries jusqu’au trognon de ton vide-pomme tout neuf. Qui a tiré la pomme? Tell que je te dis, pomme de reinette et pomme d'api, tapis tapis rouge... Le rouge-gorge tombe sous le trait de ma fidèle arbalète, une goutte de sang rougit sa gorge...
Après 250 pages, 8 mois, 9 jours, 29 livres intercalés et beaucoup de motivation j'ai ENFIN fini ce foutu bouquin.
Je ne sais pas comment le classer. J'ai envie de le mettre en diamant pour la virtuosité de l'exercice : C'est un livre brut qui vient du fond de l'âme, sans chercher à plaire, et qui nous plonge dans le même état que l'auteur au moment de son écriture. Et le style est d'une beauté sensationnelle.
Mais aussi dans une liste pire que la terrible "je n'ai pas aimé", car j'en hais viscéralement le contenu. Je n'ai jamais auparavant eu des hauts le cœur à la lecture d'un livre, un profond malaise venant d'on ne sait pas trop où, un peu comme le mal des transports. Mais ça reste une expérience unique qui rajoute encore du poids à ce livre, dont je me souviendrai certainement toute ma vie, et que je risque de relire un jour, juste histoire de voir si j'ai muri (Masochisme, quand tu nous tiens).
Déjà, le contexte de lecture était en soit vraiment étrange. J'ai en effet eu le privilège d'avoir eu entre mes mains un exemplaire de la première édition, imprimée à 4000 exemplaires numérotés, qu'un ami m'a prêté. C'est le genre de vieux bouquin où chaque fois que tu tournes une page, t'as l'impression d'en louper 3 tellement elles sont épaisses, c'est le genre de bouquin auquel tu fais super attention et que tu ne lis que de chez toi dans un endroit où tu es sur de ne pas l'abimer, uniformément blanc, si ce n'est jauni par le temps, mais choyé avec amour depuis plus de 50 ans. Expérience en soi assez troublante.
Et là vient s'ajouter une suite de nouvelles sans aucun lien à l'intérieur de chacune d'elles, pas d'histoire continue, juste des bribes sans grand rapport à quelque moment que ce soit. Sans grand rapport si ce n'est cette perpétuelle peinture d'une société putride, rongée par la drogue, dépravée sous toutes ses coutures : sexualité malsaine (pédophilie, nécrophilie vécues comme des scènes banales notamment), des transformations physiques vraiment écœurantes... On ne peut qu'imaginer entre ces lignes un homme désabusé, vivant quotidiennement dans ce monde qu'il s'est créé sous l'effet de la drogue.
Je l'ai lu avec une grande difficulté, 10 pages par 10 pages, un dégout et un déboussolement constant devait pouvoir se lire sur mon visage, mais je suis néanmoins heureuse de l'avoir lu car ce fut une expérience unique et déconcertante, qui me suivra encore quelques temps.
Ce livre délivre l'atmosphère chaotique d'un junky, un vrai délirium trémens sociétal, ça fais froid dans le dos, c'est cra cra mais le génie de l'auteur est à l'oeuvre pour donner forme; l'intelligence trust la créativité et les limites de la raison, j'y vois une pensée arborescente dans l'organisation du livre et des énoncées, ce qui pour le quidam normo-pensant est égale à folie et coq à l'âne. Perso, je sais une chose, cérébralement vivre très intensément équivaux à souffrance, je compatis.
Cet ouvrage de BUURROUGHS est un ovni littéraire, malheuresement je n'ai pas du tout accroché sur le style de l'auteur.Une des toutes premières fois ou je referme un livre avant la fin .Malgré mes efforts je n'ai pas eu le courage de le finir... Je ne comprend vraiment pas les critiques élogieuses sur ce livre .....
J'avais été alléché par une critique récente d'une lectrice de booknote...
Membre du trio KGB (Kerouac Ginsberg Burroughs) et faisant partie de la "Beat Generation", William Burroughs signe ici un essai de la technique d'écriture développée à cette époque, nous faisant passer d'une émotion à une autre en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Un drôle de récit devenu un véritable mythe ! A lire.
Une œuvre extrêmement difficile à appréhender, tant dans sa structure narrative complexe, qui part dans tous les sens, que dans son contenu, qui nous conduit dans les méandres d'un cerveau sous emprise de drogues,nous entraînant malgré nous dans délires hallucinatoires et paranoïaques.
Nous avons cette impression malsaine d'être dans l'esprit torturé d'un homme en bout de course, et devenir complice de toute sa perversité et de son désenchantement.
Après 250 pages, 8 mois, 9 jours, 29 livres intercalés et beaucoup de motivation j'ai ENFIN fini ce foutu bouquin.
Je ne sais pas comment le classer. J'ai envie de le mettre en diamant pour la virtuosité de l'exercice : C'est un livre brut qui vient du fond de l'âme, sans chercher à plaire, et qui nous plonge dans le même état que l'auteur au moment de son écriture. Et le style est d'une beauté sensationnelle.
Mais aussi dans une liste pire que la terrible "je n'ai pas aimé", car j'en hais viscéralement le contenu. Je n'ai jamais auparavant eu des hauts le cœur à la lecture d'un livre, un profond malaise venant d'on ne sait pas trop où, un peu comme le mal des transports. Mais ça reste une expérience unique qui rajoute encore du poids à ce livre, dont je me souviendrai certainement toute ma vie, et que je risque de relire un jour, juste histoire de voir si j'ai muri (Masochisme, quand tu nous tiens).
Déjà, le contexte de lecture était en soit vraiment étrange. J'ai en effet eu le privilège d'avoir eu entre mes mains un exemplaire de la première édition, imprimée à 4000 exemplaires numérotés, qu'un ami m'a prêté. C'est le genre de vieux bouquin où chaque fois que tu tournes une page, t'as l'impression d'en louper 3 tellement elles sont épaisses, c'est le genre de bouquin auquel tu fais super attention et que tu ne lis que de chez toi dans un endroit où tu es sur de ne pas l'abimer, uniformément blanc, si ce n'est jauni par le temps, mais choyé avec amour depuis plus de 50 ans. Expérience en soi assez troublante.
Et là vient s'ajouter une suite de nouvelles sans aucun lien à l'intérieur de chacune d'elles, pas d'histoire continue, juste des bribes sans grand rapport à quelque moment que ce soit. Sans grand rapport si ce n'est cette perpétuelle peinture d'une société putride, rongée par la drogue, dépravée sous toutes ses coutures : sexualité malsaine (pédophilie, nécrophilie vécues comme des scènes banales notamment), des transformations physiques vraiment écœurantes... On ne peut qu'imaginer entre ces lignes un homme désabusé, vivant quotidiennement dans ce monde qu'il s'est créé sous l'effet de la drogue.
Je l'ai lu avec une grande difficulté, 10 pages par 10 pages, un dégout et un déboussolement constant devait pouvoir se lire sur mon visage, mais je suis néanmoins heureuse de l'avoir lu car ce fut une expérience unique et déconcertante, qui me suivra encore quelques temps.
Un livre assez déconcertant écrit sous acide. Les notes ont été réunis par d'autres auteurs (Ginsberg, Kerouac...)
Mais j'ai du mal à me faire un avis sur ce livre. Tantôt des passages avec une écriture plaisante et d'autre où l'auteur nous emmène dans son délire. Je ne peux pas dire si j'ai aimé ou détesté. Ce roman (si on peut l'appeler comme ça) est inclassable.
Ce livre m'a fait découvrir une nouvelle sensation jamais ressentie pendant mes lectures.
Un livre troublant et extraordinaire, un livre qui est en dehors de la normalité.
Les thèmes: drogues et sexe. Il n'y pas une histoire continue, mais des épisodes, chaqu'une avec des personnages caractéristiques. Burroughs a coupé ces épisodes en petites sections et les a monté dans un ordre quelconque, effectuant une série de petites scènes cauchemardesques comme un drogué peut les avoir.
Quand j'ai lu ce livre pour la premiére fois je n'ai pas pigé à cause de la nouvelle technique de narration et je n'ai pas su quelle était l'intention de l'auteur. Quand
même j'étais fasciné.
Plus tard j'ai découvert qu'il y une annexe où Burroughs
parle sérieusement et en connaissances de cause sur les drogues diverses, leurs effects et les dangers, et sur ses essais divers de se débarrasser de ses problèmes de drogues.
Bien sûr, il y a quelques scènes sexuelles qui sont uniques.
Titre original: Naked Lunch, 1959 à Paris.
PS Je trouve les images de la couverture niaises. Ça ne montre absolument rien du caractére du livre. Sur la couverture il devrait avoir un montage de scènes cauchemardesques.
Un livre immense!!! Vision morose d'une vie maudite, le ton est cynico-poétique.. un tel livre est indescriptible, à conseiller vivement à tous et toutes!
Roman en grande partie autobiographique. L'auteur couche ses pensées délirantes (sous effet d'hallucinogenes ou autres) ... Il décrit à la fois un mal-être profond et un espoir qui ne peut qu'être vain. A lire absolument
Résumé
*Le Festin nu* (titre original : *Naked Lunch*) est un roman emblématique de **William S. Burroughs**, publié en 1959. Ce livre novateur et controversé est souvent considéré comme une œuvre phare de la littérature beat et de la contre-culture des années 1950.
L'intrigue suit **William Lee**, un écrivain et consommateur de drogue, qui navigue dans un monde chaotique et hallucinatoire, plein de rencontres étranges et de situations surréalistes. Le récit est non linéaire et composé de vignettes qui explorent des thèmes tels que la dépendance, le contrôle social, la sexualité et la corruption.
À travers une prose provocante et un style décousu, Burroughs dépeint un univers où la réalité se mélange avec des visions cauchemardesques, remettant en question les normes de la société. Le roman aborde des sujets tabous, ce qui lui a valu d'être censuré dans plusieurs pays, mais il est également célébré pour son audace stylistique et sa critique sociale.
*Le Festin nu* est une exploration brutale de la condition humaine, marquée par le désespoir et la recherche de liberté, faisant de Burroughs une voix incontournable de la littérature moderne.
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William S. Burroughs (1914-1997) est un auteur américain, connu pour son style expérimental et sa contribution à la littérature beat. Ses œuvres abordent souvent des thèmes de la drogue, de l'aliénation et de la sexualité.
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